Je ne sais pas exactement ce qui m’excitait le plus chez lui, son corps puissant et sec, ses poils ras de son torse, ses avant bras musclés, sa nuque solide, son sexe ferme ? Je ne sais pas. On dit que je lui ressemble. Peut-être est-ce son sourire ravageur, ses fossettes qui lui donnaient un air coquin? Ou bien son cul ferme et velu, sa virilité abusive qui s’épanouissait lors d’étreintes? Je le regarde aujourd’hui et l’énigme reste intacte. Ma silhouette est plus robuste que la sienne et ma peau plus clair. Mon sexe est une copie conforme au sien. On dit que je lui ressemble, je le sais.
J’ai pu le vérifier à maintes reprise. Ca a commencé avec Théo, mais il y en a eu d’autres. Sur son téléphone, des applications de rencontre, hétéro, gay, bi, chantaient un doux refrain de sexe et de cul. Il partait rapidement et revenait avec la même désinvolture. Seuls stigmates de ces étreintes sexuelles, une cravate de travers, ou mal renouer, une braguette pas tout à fait remontée, un bout de chemise mal remis dans son pantalon, une chaussette sur deux… c’était assez drôle et excitant de le voir partir, happé par cette pulsion. Je l’avais vu à l’oeuvre bourinant le cul de mon meilleur ami sans parler de Victor, mon petit copain trop curieux qui avait été comblé à grand coup de butoir!
C’était un dimanche tranquille d’hiver. Mon père s’affairait à ces occupations dans le salon, cheminé allumée, whisky posé sur la table basse, livre sur l’accoudoir et son téléphone en mode avion. C’était ritualisé chez lui les dimanches d’hiver, ils étaient ainsi fait, pas d’application, pas de sexe, pas de tentation. Victor s’était occupé de moi et l’endorphine avait fait le reste. Je ne l’ai pas vu se faire aspirer par l’entre-baîllure de la porte. C’est son absence, et ses râles lointain qui m’ont sorti de ma torpeur. Je savais intuitivement ce qui se déroulait un peu plus loin. C’est à pas de loup que je traversais la maison, direction le salon.
Victor, la vingtaine, petit blond aux cheveux court, aux petites fesses bien arrondis avec une cambrure parfaite, corps sec d’un jeune homme pas encore avec un corps d’homme, la peau blanche et douce, au look de surfeur californien s’empalait sans retenue sur la bite de mon père! Son regard croisa le mien, surpris sans l’être, embarrassé mais sans gêne.
- Désolé, me dit-il en haletant, je voulais confirmer tes dires et voir si vous aviez vraiment la même bite!
Mon père était en mode pacha, adosser au canapé face à Victor, il ne pipait mot, pas un bruit ne sortait de sa bouche.
- Et? Dis-je en les regardant ?
- Et bien maintenant que je suis assis dessus, je peux pas savoir! Il faudrait les mettre côte à côte pour que je puisse les différencier.
J’avoue que de voir Victor prendre son pied sur la bite de mon père m’électrisa. J’avais beau avoir été pomper une demi heure avant, je bandais dur. Ma bosse proéminente trahissait l’expression figé de mon visage. Mon sexe ne demandait qu’à sortir de mon boxer.
- T’as entendu ce qu’a dit ton petit copain? Viens t’assoir! Lança mon père d’un ton autoritaire.
Je glissa mon pantalon sur mes genoux et vint me mettre juste à coté de mon père. Nos jambes se touchaient, je sentais sa peau contre la mienne, ses poils me caressaient la cuisse au rythme des allés retours de Victor. Mon sexe était droit comme un « I » et Victor l’empoigna avec sa mains pour me branler. Mon père regardait mon entrejambe avec un regard que je ne lui connaissais pas, un peu hypnotisé, un peu fasciné et très excité. Il l’empoigna, prenant le relais de Victor. Sa main était puissante et son étreinte sur ma queue était juste parfaite, ni trop serrée, ni trop relâchée. Une pression connue, comme si c’était moi-même qui me branlait.
- T’as vraiment la même bite que la mienne! Me dit-il. J’ai l’impression de me branler.
Victor s’empalait gaillardement sur la queue de mon père. Parfois il essaye de lui voler un baisé sans succès alors il se penchait vers moi pour me galocher. Le spectacle du petit cul sur la grosse bite, balaya ma timidité rapidement. Aussi je me suis relevé, me déshabilla complètement et grimpa sur le canapé pour présenter ma bite à Victor pendant qu’il faisait des vas et viens sur celle de mon père. Nous poussions des petits cris de plaisir qui augmentait l’état d’excitation ambiant. C’est alors que mon père invita, avec virilité, Victor, à changer de position. Il le mit à quatre patte face à ma queue et le cul bien tendu vers la sienne, en un éclair et il s’est vu embrocher par nos deux queues. Victor poussait des cris de jouissances que je ne lui connaissais pas. Je fixais le sexe de mon père s’enfoncer avec force et résolution dans l’orifice de mon petit copain. Je me penchais pour mieux voir et sans vraiment réaliser que mon geste fut interprété par mon père pour une invitation, me voilà sa langue dans ma bouche. Un baisé fougueux, chaud et insolite. J’ai sentis que j’allais défaillir à cette pelle par une belle éjaculation dans la bouche de Victor. Je dûs me décoller de son étreinte. J’avais sa salive en moi et mon père me regardait avec intensité. Son désir faisait l’effet d’un tsunami, cela me désorientait, j’étais perdu par son appétence. Il m’attira à lui sans violence, et m’enlaça. Sa langue se mêlait à la mienne fougueusement tout en enculant, Victor, sauvagement; il la faisait entrer et sortir comme un sexe, sa langue, cherchant à me remplir. Doux moment hors du temps, une parenthèse. Il se dégagea. J’évitais in extremis, pour la seconde fois, la jouissance. Ce deuxième baisé était plus troublant que le premier, nos bouches étaient aimantées, soudées. Victor n’existait quasiment plus; c’était comme s’il n’y avait plus que lui et moi. Mon père se retira et me fit face. Il m’enlaça avec passion, ses mains parcouraient mon corps s’arretant sur mon fessier musclé et vierge, je me cambrais comme jamais. Je me laissais envahir. Victor cherchait désespérément à choper une queue à sucer. Il parvient à s’infiltrer non sans mal. Il goba l’une puis l’autre en gémissement, essayant de les mettre toutes les deux dans sa bouche. Je lui tenais la tête pour l’aider dans son entreprise, en vain, elles refusaient de rentrer en même temps, trop grosses. Je me décolla de ce baisé fougueux pour me placer derrière Vic. Son cul était encore ouvert et humide. J’humectais ma bite de salive et m’introduit sans précaution, lui arrachant un cri. Mon père, lui, continuait à se fair sucer en me regardant. La chaleur du frottement, le regard perçant de mon père, m’amenaient a une rêverie fantasque : je l’imaginais se placer derrière moi et frotter sa queue sur mon cul. Les yeux à demi-fermés plongés dans mes divagations, ma bite dans le cul de Vic, mon père vint se placer derrière moi. Ses mains virent se positionner sur mes anches. Je sentais le souffle de sa respiration sur ma nuque. Sa queue touchait mon cul a chaque coup de butoir que j’administrais à Victor. J’avoue avoir espéré un instant accueillir mon père en moi. Un geste de ma part, un râle, un frottement insistant, et sa queue se saurait introduite en moi. Il était prêt, pas moi. Je me dégagea de cet position lui laissant la place. Il ne se fit pas prier. Il attrapa Vic sauvagement, lui tirant les cheveux pour qu’il se cambre au maximum. Il accéléra la pénétration. Je me tenais à coté de lui tout en me branlant. Je me délectais du spectacle qui s’offrait. Sans gêne de sa part, il me caressa d’une main ma croupe et s’arrêta juste au niveau de mon trou cherchant à solliciter ma prostate. Je crois que se fut le coup de grâce. Pris par des tremblements de plaisir, une énorme éjaculation de sperme atterrit sur le sexe de mon père, puis une deuxième suivit d’une troisième dans un vacarme jouissif. Mon père s’enfonça alors dans les profondeurs de Victor introduisant ma semence dans le cul de Victor et éjacula lui-même bruyamment. Vic se retourna et s’allongea sur le dos, les jambes en l’air. Mon père bandait encore. Il le pénétra à nouveau. Il n’a pas eu de difficulté à s’y introduire lubrifié par nos deux spermes et de la dilatation. Je chevaucha Victor en bloquant sa tête avec mes jambes afin qu’il puisse gober mes couilles. Il ne tarda pas à éjaculer, lui aussi, dans un spasme de plaisir. Mon père se retira et parti se doucher.
- Merci les garçons, c’était inattendu mais très bon! Nous lança t-il.
J’avoue que sur l’instant, j’éprouvais un mélange de sentiments. Je n’avais jamais jouis comme ça et même encore aujourd’hui je n’ai jamais ressenti autant d’excitation que ce jour là, ou peut-être une autre fois…
Stephane276
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