Chapitre 1
Bonjour, je vous écris cette nouvelle histoire vraie afin de vous relater ce qui m’est arrivé cet été. Moi c’est Nico, 37 ans, originaire de Tours et je me mesure 1.75 pour 68 kg, et plutôt bien dessiné. Voilà pour la description, et j’oubliais le plus important, je suis une vraie cochonne.
Je rentrais de Tours en voiture un vendredi au mois d’août et je décide de m’arrêter sur le parking après Montargis, pour ceux qui connaissent. J’arrive sur le parking et regarde les véhicules garés. Trois poids lourds, une camionnette et deux voitures. Un peu de monde à priori mais bon. Je me gare devant un poids lourd et regarde le conducteur. Je fais style de m’étirer et laisse ainsi bien apparaitre mon jockstrap sous mon short. Je vois que le chauffeur me regarde. Il est dans sa cabine en débardeur. Il doit avoir une quarantaine d’années et d’après sa plaque, c’est un espagnol. Je ferme la voiture et me dirige vers le bois. Je me retourne une fois mais le chauffeur ne semble pas réceptif à mon invitation. Je continue de marcher dans le bois et tombe sur un mec, la soixantaine. Il semble intéressé mais ce n’est pas réciproque, je lui fais vite comprendre que ce n’est pas possible. Puis un deuxième. Je vois un peu plus loin, un autre homme qui semble pisser contre un arbre. Je m’approche et comprends qu’il est en train de se caresser le chibre. Je le regarde, un homme d’une quarantaine, peut-être moins, typé « de l’est ». Je lui dis bonjour et le mec me répond dans une langue que je ne connais pas. J’en déduis qu’il doit s’agir du mec à la camionnette immatriculée en Roumanie. Oui, je suis très observateur. Je fixe sa queue, demi-molle, il décalotte son gland rosé et me fais signe que je peux m’approcher. Je me rapproche de lui, et met ma main sur son sexe chaud. Je le branle délicatement et il semble apprécier. Il me fait signe que je peux le sucer si je veux. Je finis de défaire son pantalon, baisse son boxer, qui sent le mâle à mort et prends sa queue en bouche. Elle sent fort, et je kiffe. Il pose ses mains sur ma tête pour imprimer la cadence de ma bouche sur son chibre. En moins de 30 secondes, il est devenu dur. Il a une bonne bite en plus. Je décide de me mettre à genoux, et je continue de le pomper avec entrain. Je salive beaucoup et je l’entends gémir de plaisir.
Puis mon regard capte l’attention d’un invité, c’est mon chauffeur routier. Il est là, posté derrière un arbre la queue sortie en train de mater et se branler. Dès qu’il voit que je l’ai aperçu, il se décide d’approcher et nous rejoindre. Le roumain a l’air d’accord et voilà qu’une deuxième queue s’offre à moi. Elle est plus petite que celle du roumain mais elle mérite amplement de se faire pomper, surtout que le chauffeur est sacrément bien gaulé.
Ma bouche alterne ces deux chibres, et je me délecte de les pomper. Le chauffeur routier, me fait comprendre d’enlever mon short afin de montrer mon jockstrap et par la même occasion, mon cul. Je me suis remis debout et penché sur la bite du roumain. Pendant ce temps-là, le chauffeur me titille l’anus. Je l’entends me cracher à trois reprises sur la rondelle et je sens un doigt forcer l’entrée de mon trou. Au vu de l’excitation, je suis assez ouvert. La vue que j’offre au roumain à l’air de lui faire plaisir et il me bifle à deux fois. Le chauffeur vient devant moi, et me redonne sa queue bien dure à sucer. Je m’efforce de bien le pomper mais au bout de 30 secondes, il se retire de ma bouche et sort une capote de sa poche. Je crois que je vais la ramasser celle-là. Il l’enfile et vient poser son gland sur ma rondelle. Et hop, dedans en une fraction de seconde. Il m’attrape les hanches et fais coulisser sa tige en moi. Pendant ce temps, je continue de pomper le roumain. Cela doit bien faire 10 minutes que je le pompe et le mec est toujours au taquet. Le chauffeur routier lui, s’en donne à cœur joie, après les quelques aller-retour calmes, la cadence a changée, il me défonce littéralement le cul. Ses couilles claquent tellement sur mes fesses que nous devons gêner tous les animaux de la forêt. Mes couinements sont étouffés par la queue en bouche, fort heureusement.
Et d’un coup, apparait un mec, vraiment canon, avec son polo Point-P. Sûrement un commercial, la trentaine, un grand blond aux yeux bleus et avec une queue tout simplement sublime. Elle semblait juste énorme, 20*5 avec un bon gland charnu. Il se branlé à 2 mètres de nous et je ne souhaitais qu’une chose, la pomper et la prendre dans le cul. Malheureusement, ce ne fut pas le cas. Il s’est approché de quelques pas et j’ai compris qu’il allait jouir. Sa première giclée est arrivée dans mes cheveux et le reste à finit sur mon visage et mon cou. La quantité phénoménale de jus que j’ai reçu. Il a essuyé vite fait sa queue avec un mouchoir et nous a quittés. J’aurais tellement aimé qu’il reste.
A la vue du sperme, je pense, mon roumain m’a repeint le visage également et les cheveux quelques minutes après en se branlant énergiquement devant moi. Il s’est essuyé sur mon visage, remonté son boxer et son pantalon et c’est redirigé vers son véhicule.
Nous étions maintenant plus que tous les 2 avec mon chauffeur espagnol. Il continuait son labourage en profondeur. Moi j’étais rempli de sperme dégoulinant sur mon dos, mon visage. Il me fit mettre à 4 pattes et je tendais bien le cul en l’air. Il me mit en position du chien, surélevé et me défoncé encore plus fort. Je couinais toujours plus et j’avais l’impression qu’il kiffait çà. Au bout de 15 bonnes minutes d’un ramonage intense, il finit par se retirer, enlever sa capote. Il vint alors devant moi et se branlait. La purée a fini par arrivée. Deux grosses giclées ont atterri sur mon cul et le reste à fini sur mon visage. Quelle pression de dingue ce mec. Remis de nos ébats, je me rends compte que je suis totalement souillé de semence. En plus, je n’ai rien pour m’essuyer. Le chauffeur me remercie et m’indique dans un espagnol-français que je peux venir à son camion pour une petite toilette. J’accepte avec grand plaisir et nous voilà donc tous les deux sur le sentier du retour.
Et sur ce chemin, une nouvelle surprise m’attend. Un rebeu la trentaine, bien massif vient vers nous. On se croise et nos regards veulent tout dire. Je pense qu’il aurait aimé me baiser aussi. Je me retourne vite fait et vois qu’il s’est retourné. Il a dû constater que j’étais un peu souillé mais il semble avoir envie de s’occuper de moi. Le chauffeur me dit « Fuck ? ». Je lui réponds en rigolant à moitié « Yes ». Nous arrivons à son camion qui fort heureusement est garé au bord du bois. Il ouvre la portière et me fait monter côté passager dans sa cabine. Première fois que je monte dans un poids-lourd. Dans le camion, çà sent le mâle et la transpiration. Il me tend des lingettes bébé et je m’essuie comme je peux. Je le remercie en l’embrassant et lui souhaite une bonne fin de journée. Je descends du camion, et je recroise le rebeu (Yacine) qui est là juste à côté de ma voiture en plus. Il malaxe son entre-jambe et je distingue une bosse énorme dans son short de foot. Je m’approche de lui, lui dis bonjour et sa réponse fut « Salut, Tu la veux ? ». Je fais un signe de la tête et là sans aucune pudeur, il déballe l’engin. Wahou, le monstre à demi-dur circoncis et bien mouillé. Il me regarde et me dit « Allez viens la sucer ! ». Le mec est quand même chaud, comme çà sur le parking entre les véhicules. Je la mets en bouche et je reçois un « vas-y salope, suce la bien », chouette un poète…je le suce mais c’est plutôt lui qui me baise la bouche. Sa queue durcit et elle semble faire 21 ou 22 cm. J’en mal à la mâchoire.
Et contre toute attente, voilà notre routier qui nous interpelle en ouvrant sa portière et nous invite à monter dans sa cabine. Je n’en reviens pas. En fait, ce cochon nous voyait à travers son pare-brise. Yacine me regarde et me demande « Tu veux qu’on te baise dans le camion ? » Bêtement, telle une chienne en manque je répondis « oui ». Et nous voilà donc tous les trois dans la cabine du routier. Et ce coquin de chauffeur avait la queue raide comme du béton. Je venais juste de comprendre que j’allais encore ramasser un peu plus.
Mais je vous raconterais cela plus tard, j’espère que cela vous a plu. Je m’arrête de temps en temps mais je suis sûr que jamais je ne reconnaitrais telle situation.
Et tout ce que je peux vous dire, c’est que finalement je suis resté 2 heures sur ce parking et j’ai dit adieu à mon pauvre jockstrap ES.
Nico du 37
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