J’avoue avoir un faible pour les godes, les modèles sont d’un réalisme extraordinaire. Mais c’est vrai aussi qu’il en existe de forme différente.
J’aime recevoir dans mon trou des bites de grande taille, la sensation d’être bien rempli me fait grimper très vite.
Dernièrement, j’avais envie de m’offrir un gode de taille un peu plus large que ceux que j’ai depuis un bon bout de temps. Donc j’ai commandé en ligne un bel objet, réaliste.
Quelques jours après, je reçois un mail de la société de transport et livraison disant que mon colis arriverait prochainement à l’adresse de référence. Super, je vais bientôt m’amuser et me remplir à souhait.
Lorsque mon téléphone vibra le lendemain, un homme me dit qu’il était à l’adresse de référence pour livrer le colis. C’était rapide, je n’étais pas prêt, je pris ma voiture et me rendis sur le parking pour reprendre mon colis.
Le chauffeur, un mec d’origine du sud me demande si je suis bien le destinataire, et me présente le colis sans faire d’histoire.
Le colis était emballé de façon très simple. La discrétion n’avait pas été une priorité chez le vendeur. Donc le gode était très… reconnaissable vu sa forme réaliste et la pauvreté de son emballage…
Mon visage changea de couleur voyant que le livreur savait ce que contenait cet emballage médiocre, je piquais un fard bien vif, mais le mec très sympa me fit un joli sourire qui en disait long sur sa délicieuse expérience dans ce domaine.
Il me demanda si s’était pour moi, ce à quoi je répondis « oui, c’est pour moi ». « C’est un joli objet » dit-il, « tu vas mettre ça dans ton cul ? »
« Oui, j’aime la bite, et plus elle est grosse plus j’aime ! », comme ça je me senti plus à l’aise…
« Si tu veux la mienne, je te la donne ! »
Non mais je rêve, tu viens à peine de voir un mec et il te propose une baise directe !!!
Je lui ai dit suis moi, on va aller faire une balade. Et à cinq cent mètres, dans le bois je me suis mis à genoux devant sa queue pour le pomper.
Il avait une grosse queue et il bandait très dur. Son liquide prés-séminal coulait par petit jet, il avait un goût salé. Son gland remplissait bien ma bouche.
Tout en suçant, je dégrafais mon bouton de pantalon. Je lui dis qu’il pouvait me baiser, j’étais prêt à le recevoir, j’en avais très envie.
En me relevant, j’attrapais l’arbre sur lequel il s’était appuyé, mon livreur derrière moi maintenant attrapa mes fesses de ses mains et sans hésiter me traversa le fion avec sa grosse bite.
Ma respiration se fit plus forte, plus haletante, je gémissais de plaisir.
D’abord quelques coups de bites très rapides et puis plus doucement, il me baisait .
Ses mains me serraient les hanches avec force, puis il reprit une cadence plus rapide. Je lui dis d’aller plus vite et plus fort encore, dans le creux de mon ventre la sensation de jouir annonçait un bel orgasme, je lui dis d’aller bien au fond, d’écarter mes fesses tout en les relevant pour qu’il puisse s’offrir le plaisir de voir mon fion de salope écartelé.
L’effet fut immédiat, il annonçait sa délivrance. Une bonne queue pleine de jus.
Je voulais qu’il me crache sa semence en facial et dans la bouche. Sans attendre, il me retourna et pris ma tête pour la coller à sa grosse bite, son jus gicla sur mon visage, j’ouvris la bouche et son gland s’enfonça au fond de ma gorge pour expulser le reste de son foutre chaud et salé.
Je refermais mes lèvres sur cette queue généreuse et suçais au plus fort ce que son corps m’offrait. Ses fesses étaient prises de spasmes à chaque coup de sucette. Un petit rire s’échappait de sa gorge, « doucement » me disait-il, « je dois en garder pour ma femme ce soir ».
Me forçant à relâcher sa queue, il remit sa queue dans son boxer. Je lui dis que cela fut un plaisir de le rencontrer, qu’il avait mon numéro de téléphone maintenant, qu’il pouvait m’appeler de temps en temps s’il était de passage ou si l’envie de me baiser lui venait.
La porte s’ouvrit, la camionnette démarra pour aller à l’opposé de ma route. Je rentrais chez moi le cul encore tout chaud et la gorge encore sensible.
J’espère qu’un jour mon téléphone sonnera et qu’un livreur me donnera rendez-vous dans le bois.
Elixir DeVie
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