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18 Mars

Grosse queue
"Plan à 3"
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HISTOIRE

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Confiné chez mon Maître Cuir

8 |  Un anniversaire

C’était un soir début Mai. Nous étions tous les deux dans notre lit, nus comme à notre habitude. Mon maître était endormi à côté de moi, paisible. Sûrement mon cul lui avait permis de se détendre après une nouvelle journée à ne rien faire de particulier, rien à part me baiser en latex évidemment. Il venait d’être minuit passé quand un portable sonna la réception d’un message sur ma table de chevet. Je le pris mais je vis qu’il s’agissait du portable de mon maître. Sans doute l’avait-il posé là au moment de se coucher puis laissé ici quand nous avions inversé nos places alors que nous nous roulions des pelles profondes avant qu’il m’encule… il venait effectivement de recevoir un message d’un certain « Max Taff », sans doute le fameux Maxence : – Bon anniversaire mec, à tes 27 ans ! Ce message eut l’effet d’une douche froide. Aujourd’hui était l’anniversaire de mon maître et je ne le savais pas. Je réfléchis un instant. Je n’étais pas particulièrement fatigué alors je me motivai à me lever et à sortir en silence. Mon maître ne se réveilla pas. Je me rendis dans la cuisine prêt à cuisiner un gâteau pour son réveil. Un pithiviers au glaçage vanille, un glaçage blanc. Je vis qu’il me manquait un seul ingrédient : la farine. Je faillis abandonner l’idée, ne sachant pas comment remédier à ce problème lorsque me vint à l’esprit un dernier espoir : Sertih. Sertih était le nom d’un couple tenant une épicerie de proximité dans le quartier. Comme elle était la seule dans le coin, ils avaient réussi à se faire décréter Commerce nécessaire et à ne pas fermer boutique pendant le confinement. Il n’en restait pas moins que celui-ci était un véritable coup de massue dans leur fortune. Comme toutes les épiceries dans son genre, ses horaires ne suivaient pas tout à fait le modèle standard 8h-19h. Par ailleurs, pour combler leur manque à gagner, ils assouplissaient le plus possible leurs disponibilités. Autrement dit, si j’avais une dernière chance de trouver de la farine à cette heure, c’était là. Ne voulant pas réveiller mon maître en cherchant mes affaires, je décidai de prendre sa combinaison cuir intégral, c’était aussi plus rapide. Je pris mon masque de cuir, me fis une attestation de sortie puis quittai l’appartement en espérant trouver porte ouverte à l’épicerie. Lorsque j’arrivai devant, un jeune homme se tenait sur le pas de la porte, près à fermer à clef et baisser le rideau de fer. Je me sentis un peu soulagé, c’était Samy, le fils des propriétaires. Il devait avoir 18 ans et aidait ses parents à tenir le magasin. Il connaissait mon maître et s’était vite entendu avec lui puis donc avec moi. Je pressai le pas cependant pour arriver avant la fermeture. – Attends ! – Bah tiens ! Titus ! Qu’est-ce que tu viens foutre à cette heure ? – J’aurais besoin d’un pot de farine, s’il te plaît ! – De la farine à cette heure-ci ? Tu veux pas revenir demain ? – Non non j’en ai besoin ce soir, c’est pour faire un gâteau en urgence. – C’est pour ton mec ? – Oui voilà, c’est son anniversaire. – Eh bah, tu dois beaucoup l’aimer pour lui faire un gâteau à minuit. Sans doute avait-il raison. Peut-être que je l’aimais, mon tendre maître, mon ‘mec’. J’aimais bien ce mot. Je n’appelais jamais mon maître ainsi mais aux yeux des autres j’étais son mec. Et ça m’allait bien. Alors peut-être qu’au fond je l’aimais bien. – Oui voilà. Répondis-je simplement. – Pffff… j’allais fermer là, j’ai la flemme de rallumer la caisse et tout… – Pas la peine, au pire je reviendrai te payer plus tard… – … – S’il te plaît ! Je tentais de l’amadouer avec des yeux de chat. Je savais qu’il nous aimait bien avec mon maître, il avait de la sympathie pour nous. Mon maître pensait qu’il nous enviait, qu’il aimerait bien avoir une relation sérieuse lui aussi. Il était gay donc parait-il, j’aurais pu le deviner en observant sa manière de me mater. Il ne semblait pas spécialement fétichiste du cuir mais il n’en restait pas moins qu’un motard en combi cuir c’est sexy. J’appréciais me sentir sexy, percevoir son envie dans ses yeux ; s’il savait que j’étais nu en dessous… Au bout d’un bref instant il poussa un soupir qui m’indiqua que j’avais gagné. Il me laissa entrer et prendre un paquet de farine. Au moment où je repartis, il m’interpella. – Reviens payer rapidement s’il te plaît ! – Promis ! Merci beaucoup Samy ! – Embrasse ton mec pour moi ! – Avec plaisir ! Et c’est ainsi que je pus cuisiner un pithiviers à 1h du matin. Je restai dans la combi cuir de mon maître tout le long. Elle était agréable et j’adorais me sentir recouvert de cuir. Encore une fois, son toucher, son odeur, son bruit… tout m’excitait. Lorsque j’eus fini, je reposai la combi dans le dressing, y récupérai un petit quelque chose puis retournai me coucher. Au moment où je me glissai dans les draps, mon maître remua à côté de moi et sembla se réveiller légèrement. – mmhsquispasssss ? – Rien, rendors toi. Je lui déposai un baisé sur la joue alors qu’il replongeait déjà dans les limbes. Avant de m’endormir je restai un moment à le regarder. Quand il dormait il était encore plus beau. Le regarder ainsi me donnait certes du plaisir, mais aussi de l’attendrissement. Je pense que Samy avait raison, je devais l’aimer beaucoup. Je le désirais c’était certain, je voulais qu’il me domine. Mais il y avait un truc en plus. Un truc qui s’était installé au fur et à mesure du temps, au fil de nos journées, de nos habitudes, à force de le regarder et de le sentir en moi. Oui je pense que j’étais tombé amoureux. – Rendors toi mon beau. Et bon anniversaire. Le lendemain, il se réveilla avant moi et comme à son habitude, d’attaque. Moi c’est sa bite en moi qui me réveilla. – Debout là dedans ! – Mmmm ouais vas-y continue. – Supplie moi – Oh s’il te plaît maître, je t’en supplie, bourre moi mon petit cul de chienne. – Mmmm ouais c’est ça. Dès le matin, ça réveille ! Et je sais que tu aimes ça ma salope. – Mmmmm Il me pilonna pendant les quelques minutes habituelles de notre réveil puis il sortit tout guilleret de la chambre pour aller manger. Rapidement je pris sous le lit des affaires que j’avais récupérées dans le dressing avant d’aller me coucher. Il y avait un petit nœud papillon en cuir noir ainsi qu’un slip en cuir. Je m’en revêtis avec empressement puis me posai sur le lit dans une pose sexy de soumis en attendant qu’il revienne. J’entendis alors un « Oh ! » surpris dans la pièce à côté puis mon maître entra, tenant dans ses mains le plat avec le pithiviers. Sur le glaçage blanc j’avais écrit « Bon anniv maître <3 ». Il me regarda ébahi. – Mais… mais… tu as fait ça quand ?? – Hier soir, quand tu dormais. – Mais comment tu sais que c’est mon anniversaire ? – Ah ça c’est grâce à Max, Maxence, il t’a envoyé un message à minuit ! – Bah ça alors ! – Joyeux anniversaire Maître ! Il remarqua alors ma tenue. Il eut un petit rire qui trahissait son amusement d’avoir été ainsi dépassé. Il posa le gâteau puis s’avança jusqu’à moi. En m’attrapant par le nœud pap, il me roula une pelle monumentale. Celle là était particulière, c’était une de celles qui n’était pas emplie de désir sexuel. Depuis quelque temps, il nous arrivait de plus en plus de nous embrasser ainsi. Je ne sais pas comment j’arrivais à faire la différence entre elles et celles accompagnant nos envies de sexe, mais elles étaient singulièrement différentes. Bien sûr il y avait du désir sexuel, parce que nous étions nu, parce que je portais des sous-vêtements en cuir, mais il ne faisait pas de doute que ce n’était pas le sentiment dominant. Il m’embrassait avec passion. Non, nous nous embrassions avec passion. Dans ce genre d’instant il n’était plus question de maître et de soumis, simplement de deux mecs qui veulent s’embrasser et qui le font. Deux égaux qui se reconnaissent l’un dans l’autre et prennent plaisir à partager un instant intime sur les lèvres de l’autre. Notre embrassade n’était pas simplement un mélange de nos langues le plus longtemps possible. Ce fut aussi de simples baisers répétés, délectés. Cela dura un moment, je le tenais par les hanches, lui me tenait par la tête. Lorsqu’il se dégagea de ma bouche je pus voir dans ses yeux qu’il était sincèrement heureux. Et cela me remplit de bonheur. Il me prit par la main et nous allâmes manger dans la pièce à côté. Je restai sur ses genoux, tandis que nous mangions, nous eûmes des gestes tendres l’un envers l’autre, ce fut vraiment un moment agréable, de complicité et de fusion entre nous. À un moment, je sentis sous moi que sa bite était dure, alors je décidai de me relever un peu pour lui permettre de se redresser. Puis je la pris pour la caler droite et je me rassis dessus, l’enfonçant bien profondément dans mon cul. Il poussa un léger gémissement de plaisir puis m’embrassa le cou. Je restai dans cette position le reste du petit déjeuner. Parfois il donnait des petits coups de rein, mais globalement ce qui nous excitait était de nous sentir l’un dans l’autre alors que nous mangions normalement. – C’est quand ton anniversaire à toi ? – En septembre. – Il faudra que je pense à t’offrir quelque chose… – J’espère que d’ici là nous serons déconfinés haha ! – Tu pourras revenir bien sûr ! De toute façon je ne sais pas si j’ai bien envie de te laisser partir ! – Je ne sais pas si j’ai bien envie de partir… Nous nous embrassâmes encore longuement. – Bien maintenant, dis-je en sautillant sur sa queue, comme cadeau d’anniversaire, j’ai décidé… de te donner 100 % de contrôle sur moi. – Comment ça ? – Eh bien, comme je suis ton soumis et que tu es mon maître, aujourd’hui et jusqu’à ce soir, tu as le droit de me faire tout ce que tu veux, même les choses auxquelles je rechignais avant. – Oh ! Bah ça alors ! Mais… non, je ne vais pas le faire, si tu ne voulais pas c’est que tu n’aimes pas ! – Écoutes maître, si je te l’offre c’est que je suis d’accord. C’est ton anniversaire, alors fais toi plaisir. Jusqu’à ce soir, mon corps ne m’appartient plus, je n’ai plus de libre arbitre. Tout ce qui compte c’est ta volonté et tes envies. – Tu es sûr ? – Oui ! Ton plaisir sera le mien. Alors il accepta. Il me prit dans ses bras et me retourna complètement pour me rouler une pèle. Ce jour-ci fut bien différent des autres jours. Mon maître décida complètement de ce que je devais faire et je ne refusais rien. Notre séance de sport fut modifiée, ce jour ci je dus rester à ses pieds pendant qu’il s’entraînait dur et attendre ses sessions de récupération pour lécher rapidement toute sa sueur. À la fin, au lieu de m’enculer, il me fit le sucer. Sa bite n’était pas particulièrement agréable car elle était pleine de sueur et pas lavée de la nuit, mais il me baisa la bouche avec force, en m’attrapant par les cheveux. Sous la douche il me dit soudainement de m’asseoir à ses pieds, puis il me pissa dessus allègrement. Je n’avais jamais fait de golden shower avant et n'étais pas très attiré par cela, mais je le laissai faire en appréciant mon nouveau statut exceptionnel d’esclave. Il décida de m’habiller pour la journée avec une tenue spéciale. Il me revêtit de la combinaison en latex ainsi que de gants et chaussettes de la même matière afin que je sois complètement recouvert. Il me passa ensuite sur la tête le masque à gaz noir. Devant le miroir, tout ce que je vis était une silhouette en latex, rien de très humain. Il se plaça derrière moi et passa ses mains sur mes hanches pour me caresser. Il me regarda dans le miroir et se pinça les lèvres en signe d’excitation. – Mon Titus tu es splendide. Comme ça tu es dans ta vraie forme, ta forme d’esclave. Regarde toi, tu n’es plus qu’une créature de latex. Un drone. Un jouet pour ma bite. Un vide-couille. Un esclave à inséminer. Sur ces mots il me rabaissa brutalement et plongea soudainement sa queue dans mon cul. Il me lima avec violence et bestialité. Mon maître de ce matin avait cédé la place à un maître avide de sexe, de mon cul et de domination. Il s’était totalement abandonné à son désir. Alors je décidai de faire de même. Je lui avais offert mon corps, je lui offrais maintenant mon esprit. Il voulait que je sois cette créature de latex accro à son sexe, alors je le devins. Mes gémissements se firent plus sensuels, plus soumis. Il poursuivit ainsi pendant de longues minutes puis il se retira. Il sortit de son armoire un gros plug anal en forme de pénis, bien plus gros que le sien, et commença à me l’enfoncer dans le cul. Je poussai des petits cris de douleurs mais rapidement il parvint à me le faire rentrer en entier. Il fixa alors une sangle en cuir devant mon cul pour éviter qu’il ressorte puis quitta la pièce. Je restai là un moment, le temps de m’habituer à cette grosse bite en caoutchouc dans mon cul puis le suivis dehors. Durant toute cette journée nous nous comportâmes de la manière que nos deux rôles nous imposaient. Lui en dominateur sans limite, moi en esclave sans libre arbitre. Cela venait presque naturellement. Nous savions que ce n’était qu’un jeu et que nos habitudes reviendraient le lendemain alors nous ne lésinions pas à la tâche. Je dandinais mon cul en caoutchouc autant que possible pour l’exciter et lui ne cachait pas son excitation. Parfois il me prit dans ses bras juste pour frotter sa bite à mon cul, parfois pour me lécher sous mon masque à gaz. À un moment, il me fourra sa queue dans ma bouche en me baisant sans vergogne, mais au moment où il allait juter, il sortit puis releva complètement mon masque pour me cracher sa semence sur le visage. Puis il remit mon masque et repartit. Je restai donc là, le visage recouvert de son sperme chaud, gluant et collant qui me coulait le long des joues et sur la bouche. Plus tard, dans l’après-midi, il m’ordonna de m’allonger sur le lit. Je m’exécutai en précédant mon geste d’un « oui maître » mielleux. Il prit des cordes et attacha mes poignets et chevilles aux pieds du lit. Il me fit tout de même relever mon cul pour dégager mon trou. Il sortit un gant en PVC, l’enfila puis s’agenouilla devant mes fesses. Je ne parvenais pas à voir grand-chose mais je pressentais ce qui allait venir. Il me retira la grosse teub en caoutchouc, me procurant un frisson au passage, puis commença à glisser trois doigts. Je retins ma respiration en attendant le reste. Il commença à plonger sa main avec lenteur mais rapidement je poussai un cri de douleur. Le diamètre était beaucoup plus large que tout ce qui était déjà entré dans mon cul. Il essaya encore un peu mais se contenta finalement de rester sur une pénétration avec quelques doigts seulement. Il les fit entrer légèrement puis en fin de compte les ressortit et retira son gant. Je ne pus m’empêcher de pousser un soupir de soulagement. Je ne me sentais pas prêt du tout à me faire fister, j’en avais peur. Sans doute l’avait-il compris, ou avait-il vu que ça ne se ferait pas sans me procurer une grande douleur. Quoi qu’il en soit il ressorti en me laissant là. Il revint quelques minutes plus tard, portant sa combinaison cuir Rebellion Leather ainsi que ses bottes, gants et casque. – Tant qu’à faire d’être là ! Dit-il Puis il s’enfonça brutalement en moi. Il m’encula avec puissance sans que je ne puisse rien y faire, accroché à son lit. Au bout de quelques minutes d’enculades vigoureuses, il se retira puis commença à défaire les liens. Avant que j’eus pu me relever il se jeta sur moi et se coucha sur mon corps en me bloquant les bras et en me couvrant la bouche sous mon masque d’une de ses mains ganté. Il recommença à m’enculer pendant un certain temps avant d’arrêter. Il ne quitta pas sa combi pour autant, se contentant de retirer son casque. Le soir, après le repas, nous retournâmes dans le lit où il me reprit avec vigueur. Il avait bien de l’énergie pour pouvoir me pilonner ainsi depuis ce matin. En cette fin de journée, nous savions que le jeu touchait à sa fin, alors nous profitions un maximum. Je me concentrai sur sa bite en moi qui se frottait contre les muqueuses de mon anus, son corps cuiré collé à mon corps en Latex. Je gémis de plaisir comme jamais. Je m’abandonnais à l’extase qu’il me procurait. Il retira mon masque à gaz pour me lécher et m’embrasser et poursuivit cette dernière session en l’accompagnant de phrases cherchant à appuyer sa domination sur moi encore une fois. – Tu l’aimes ma queue hein ? – Oh oui maître ! Elle est si bonne ! – Tu la sens bien là – Oh oui ! Oui ! Continue ! – Mmmm voilà prends la dans ton petit cul de salope ! – Mmmm oui !! – Tu aimes ça hein salope ? – Oui maître vas-y ! – Je vais te défoncer ton petit cul de salope ! Je vais t’inséminer et tu seras à moi ! – Mmmm ouiii je suis ta salope ! Donne-moi ton jus ! – Mmmmm vas-y – Oh ouiii mmmmm – AAAhhhhh – Hiinnnnn Il juta en moi ainsi, dans une explosion de plaisir et de sexe. Ce n’était pas la première fois que nous nous parlions ainsi, depuis le temps qu’il visitait mon cul, il avait pris l’habitude de m’appeler salope de temps en temps dans certaines parties de sexes. Et moi je m’y étais fait. J’aimais bien, cela me rappelait que j’étais sa propriété. J’aimais me sentir lui appartenir, d’autant plus quand je sentais son jus à l’intérieur de moi. Sans doute tout cela, cette sensation, avait été accentuée par notre jeu auquel nous nous étions prêtés si volontiers. Lorsqu’il se retira, il s’effondra sur le lit, allongé à côté de moi. Moi même j’étais épuisé. Aucun de nous n’avait la force de se désaper. Alors nous restâmes ainsi, lui dans son cuir, moi dans mon latex. La journée touchait à sa fin, notre jeu aussi. Je ressentis que nous étions en train de nous calmer. Je n’étais pas mécontent que nous reprenions un train de vie normal, j’avais certes pris du plaisir pendant cette journée mais je préférais notre vraie relation. Cependant je savais qu’il avait pris du plaisir en réalisant certains de ses fantasmes. Il me le confirma avant de s’endormir. – Merci pour cette journée Titus, tu es vraiment un mec formidable. – De rien maître, ça m’a fait plaisir de te faire plaisir. – Promis demain, retour à la normale. C’était rigolo mais c’est mieux quand on est nous même haha. Tout en me parlant il me caressait les cheveux. Nous étions déjà un peu revenus à la normale. Il expira et ferma les yeux de fatigue. – Je vais quand même laisser ton cul se reposer un peu… Encore merci Titus. Dors bien, tu as mérité du repos. – Dors bien aussi Maître. Il commença à s’endormir, le visage fatigué mais souriant. Je le regardais se relâcher dans son cuir luisant. À nouveau je ressentis un élan de tendresse en le contemplant. Drôle de sensation après toute une journée passée dans la peau d’un animal assoiffé de sexe et de domination. Mais je la ressentis inévitablement. Je restai coi un moment puis… – Je t’aime maître. Voilà c’était dit. Je fermai les yeux puis me retournai pour me lover dans mon latex contre lui. Je fermai les yeux pour m’endormir. – Je t’aime aussi Titus.

Nabe

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