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Arret au bord de la route

Je rentrais de r�union en ext�rieur et j'avais deux heures de route � faire avant d'arriver chez moi. Bizarrement alors que je m'engageais sur une voie rapide je commen�ais � penser � des histoires de rencontres lues sur le net.

Ayant une activit� sexuelle des plus pauvres en cette p�riode, et oui cela m'arrive, je trouvais cela bien venu et laissait mon esprit vagabonder tout en surveillant la route. Et je ne sais pas ce qu'il me prit, mais me voil� en train de d�faire le bouton de ceinture et descendre le zip de la braguette de mon jean. � mesure que je m'ex�cutais, je me sentais de plus en plus excit�. C'�tait la premi�re fois que je me livrais � ce genre d'exercice et le fait d'avoir pas mal de voitures, camions et autres v�hicules qui me doublaient, et qui donc pouvaient me griller, me donnait l'envie de continuer et d'aller plus loin.

En fait, je pensais ne rien avoir � craindre vue la vitesse � laquelle les v�hicules passaient � c�t� de moi ; que pouvaient-ils voir ? De mon point de vue, pas grand-chose. � partir de cette conclusion, je d�cidais de baisser pantalon et slip � mi-cuisse, apr�s pas mal de contorsions. Le tout �tait tout de m�me de faire gaffe pour ne pas aller dans le foss� !

Je me suis donc retrouv� la queue � l'air bien tendue, et en profitais m�me pour remonter pull et t'shirt le plus haut possible. Jamais je n'aurais pens� que cela me ferait autant d'effet. Il fallait que je me contr�le pour ne pas jouir trop vite et profiter au maximum de cette nouvelle exp�rience. Franchement m�me encore aujourd'hui je ne sais pas ce qu'il m'a pris ce jour-l�. Je me croyais � l'abri de tous les regards, sachant que c'est moi qui doublais les camions et que les voitures elles me doublaient trop rapidement pour voir quelque chose. Oui sauf que...� un moment je me suis fait doubler par une esp�ce de fourgonnette et qu'� son bord il y avait un passager ! Qui bien s�r me grilla en beaut�.

Je n'y avais pas pr�t� attention sur le moment et c'est au bout de quelques minutes que je me r�alisais qu'il y avait quelques choses d'anormal et je compris rapidement en r�alisant que le v�hicule � ma gauche roulait � la m�me vitesse que moi. Regardant alors de c�t� je suis tomb� nez � nez avec un bonhomme d'une quarantaine d'ann�es qui me matait � ne pas en perdre une lamp�e et qui �tait en grande discussion avec son conducteur.

Surpris je tentais de camoufler ce que je pouvais, mais il �tait de toute �vidence trop tard. Plut�t que d'acc�l�rer et de me doubler, le v�hicule resta � ma hauteur et le passager entama quelques exercices de mime plus que suggestifs. Essayant de m'en d�barrasser, j'acc�l�rais, mais ils firent de m�me, je ralentissais, mais idem....Ils avaient quelques choses en t�te et ils me le faisaient savoir.
D'autant qu'� l'approche d'une voie de garage signal�e le passager me fit signe de m'y arr�ter.

L� aussi, allez savoir pourquoi je mis mon clignotant et m'engageais sur l'aire de repos ridicule, qui ne pouvait � peine contenir trois v�hicules, au bord de la route. A peine avais-je stopp� le moteur et que je commen�ais � essayer de me rhabiller un peu que l'on tapait � mon carreau.
Le mec me fit signe d'ouvrir la fen�tre. Sans aucune autre forme de pr�sentation il se redressa et glissa les mains dans son pantalon de son jogging, attrapa celui-ci ainsi qu'un cale�on quelque peu douteux par la couleur et fit descendre l'ensemble pour faire appara�tre une queue pas trop grande, mais bien large, au repos, le gland d�j� d�calott�.

Je compris qu'il fallait que je me saisisse de ce morceau de chair pour m'en occuper. J'attrapais la bite � pleine main, ne pensant m�me plus � ma tenue, pantalon et slip toujours baiss�, pour la malaxer et la branler entre mes doigts, alors que les v�hicules continuaient de passer � c�t� de nous sans se douter de ce qu'il se passait, c'est du moins .ce que je pensais.

� mesure que je tripotais cette bite, elle se mit � gonfler et prendre des proportions impressionnantes. Le propri�taire ne bougeait pas, toujours dos � la circulation. Il se laissa faire pendant quelques instants puis se pencha et dans un fran�ais approximatif me dit de le sucer. Il se redressa de nouveau pour me repr�senter son pieu et c'est sans me poser plus de question que je me suis mis � le pomper, salivant bien sur la hampe, �cartant au maximum les l�vres pour tenter d'en avaler le plus possible, ce qui n'�tait pas simple du fait de la position dans la voiture et de la grosseur du mandrin. Au bout d'un moment il se retira, rentra sa bite dans le jogging et me demanda de sortir. Il voulait me niquer.

Je relevais vite fait bien fait mon fut pour �viter de sortir le cul � l'air, redescendis mon pull pour camoufler la braguette encore grande ouverte ainsi que ma queue band�e, le slip roul� dans le pantalon au bas des fesses. Je suis sorti de la voiture en faisant attention de ne pas me faire happer par un camion, qui passait � ce moment-l� et rejoignis vite fait le mec � l'abri de la fourgonnette qui faisait maintenant �cran par rapport � la route.

� peine arriv�, j'ai juste eu le temps de voir qu'il avait baiss� son froc qu'il me plaqua face contre la porti�re passager. Il releva mon pull au maximum sous mes bras pour attraper mon pantalon et le descendre d'un coup sec. Mon slip subit le m�me traitement et aussi vite. Il me chopa les fesses � pleines mains en les attrapant par le dessous, ce qui lui �tait facile, car j'ai un petit cul rebondit et ferme, pour les �carter au maximum et positionner sa teub que je sentais bien gonfl�e et tr�s dure.

Il voulut me niquer comme �a, direct sans aucune pr�paration, mais vu la grosseur de sa bite, cela ne se passa pas correctement. Face � la douleur, j'ai commenc� � avoir peur et � me dire que je n'aurais pas d� m'arr�ter. Plus il for�ait et plus j'essayais de me d�gager de son emprise, mais il me coin�ait et j'avais du mal � m'en sortir.

Il eut l'id�e de cracher dans sa main et de me badigeonner la rondelle de salive. Cela lui valu d'avoir plus de facilit� pour m'enfoncer rapidement un de ses pouces dans le cul. Ce dernier rentra � ma grande surprise assez facilement. Il me travailla un moment la rondelle de la sorte, avec des mouvements brusques, jusqu'� ce qu'il me crache dessus de nouveau et qu'il enfonce le deuxi�me pouce.

Lorsque ses deux furent bien enfonc�s et qu'ils coulissaient facilement, il s'en servit pour essayer de m'�carteler la rondelle, mais il se trouvait g�n� par le fait que je ne pouvais pas �carter les jambes, bloqu�es par mon pantalon � mes chevilles. Il dut s'en rendre compte, car sans retirer ses doigts pour continuer sa t�che d'�largissement de ma rondelle, il me demanda de virer enti�rement mon froc et mon slibard. Pas simple � faire avec deux pouces dans le cul, et j'ai m�me �t� oblig� de faire sauter une pompe pour arriver � retirer une jambe du pantalon et lib�rer mon slip.

Il faut reconna�tre qu'� partir de ce moment cela favorisa ses manipulations, surtout d�s que j'ai eu la possibilit� d'�carter les jambes et de me pencher un peu en avant, lui offrant mieux mon trou, qui ne devait plus ressembler � grand-chose, meurtri par les incursions sauvages. Les mains appuy�es contre la carcasse froide de la fourgonnette, pantalon et slip en boule au pied droit, l'autre en chaussette � moiti� retir�e, le cul offert et ouvert de plus en plus par un mec que je ne connaissais pas, sur le bord d'une voie rapide, voil� l'image que j'avais de moi � ce moment-l�.

Le plus humiliant je crois, est de me rappeler que j'avais la gaule. L'autre continua de me travailler le cul jusqu'� ce que je sente son gland se repositionner. Je pensais qu'il allait retirer ses doigts, mais il n'en fit rien, �cartant encore plus et poussant pour faire coulisser le gland. Malgr� la pr�paration et la position je sentis sa bite entrer pour me perforer les intestins.
Je n'ai pas pu retenir des cris de douleurs, qui de toute mani�re ne pouvaient �tre entendus que par moi face au bruit incessant des v�hicules qui passaient, tellement j'avais mal. � mesure qu'il m'enculait, j'avais l'impression que l'on m'�cartelait de toute part tellement la douleur �tait vive et diffuse

J'ai voulu une nouvelle fois faire une tentative pour me d�gager, mais je me suis retrouv� coinc� et aplati entre lui et la t�le de la fourgonnette. Le dernier mouvement l'avait aid� � m'enculer compl�tement. J'avais sa bite au fond des entrailles et il savourait le moment en restant bien au fond, apr�s avoir semble-t-il vir� ses doigts vu que je sentais ses mains sur mes hanches qu'il avait attrap�es vulgairement. Puis il m'enserra et mit ses mains sur l'int�rieur de mes cuisses et commen�a � me bourriner le cul comme un tar�. J'�tais plaqu� contre la t�le froide et subissais ses assauts en haletant rapidement, press� que cela se termine. Il me niqua comme un cl�bard , me soulevant de temps en temps la jambe libre, pendant un long moment jusqu'� ce que je le sente se raidir une derni�re fois, tandis qu'il se vidait les couilles dans mon cul.

J'ai � peine eu le temps de remettre mon slip et mon fut que d�j� il �tait remont� et que la fourgonnette repartait, me laissant me d�patouiller sur cette aire de repos. Je regagnais rapidement ma voiture pour finir de m'ajuster, le cul en feu et sentant le sperme commencer � s'en �chapper.

Scarlasky

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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