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Un samedi soir XXL

A l'�poque j'avais 20 ans et je vivais dans une petite ville avec aucun �tablissement gay. Seul les "endroits de drague" habituels et tout ses inconv�nients, tr�s peu pour moi! Alors avec deux amis gay, dont un qui avais le permis, nous allions certains samedi soir dans la grande ville la plus proche pour sortir, s'amuser, ;mais aussi, soyons clair pour "tirer sa crampe".
Donc un samedi soir, direction Toulouse, les endroits gay : bars, discoth�ques. Mais pour commencer on d�cide de se rendre dans un club sexe. On entre, pas grand monde, cinq personnes, on se met au bar pour boire un coup. Au fond de la salle une entr�e, c'est l� que tout se passe...


Le verre termin�, nous allons voir. Ce sont des couloirs avec des portes donnant sur des "salles de repos", sur des salles vid�os porno gay, et un labyrinthe. Tout ceci, dans une l�g�re p�nombre �clair�e par les vid�os qui passent sur des t�l�s accroch�es sur les murs.
Ici, ;il y a beaucoup plus de personnes. Tout le monde se regarde de haut en bas pour voir si lui, ou lui nous plait (on fait tous pareil). Le plus beau de mes amis voit tr�s vite l'objet de ses fantasme, un jeune bourgeois (comme il dit). En quelques secondes ils s'enferme dans une salle. Je reste avec mon autre ami et continu l'exploration des couloirs. tout au fond on arrive dans une grande salle �clair�e seulement par la vid�o porno. Stup�faction, plusieurs hommes se branlent sans aucune pudeur . Plut�t mal a l'aise, je retourne sur mes pas, je me retrouve tout seul, mon ami et rest� dans la salle vid�o.


Je me retrouve dans le couloir le plus large et je m'assois sur un banc. je regarde les hommes passant devant moi. Je sent que quelqu'un me regarde avec insistance. Dans la p�nombre je remarque un superbe grand mec. Je d�tourne le regard en me disant c'est pas pour moi.Mais je sent qu'il me regarde toujours, alors je fini par le fixer � mon tour.Il se d�place, se dirige vers une "salle de repos" et avant d'y rentr� me regarde une derni�re fois. Le signal ;m'est donn�. Je me dirige vers la salle, me place � l'ent� et demande :
- je peux rentr� ?
Il me r�pond :
- ;bien s�r.
Je rentre et ferme la porte � clef, je me rapproche de lui. Il est en effet tr�s grand, ;brun, cheveux court, il est beau comme un Apollon son corps est carr� et il a un sourire craquant .
Il me tire vers lui et ;essaie de m'embrasser plusieurs fois, je tourne la t�te ( � l'�poque je pensait qu'il fallait �tre amoureux pour embrasser, quel na�vet� !). Un peu exc�d�, ;il me prend la t�te entre ses deux grosses mains et m'embrasse goulument avec ses l�vres charnues, et arrive � rentrer sa langue dans ma bouche. Finalement il embrasse si bien que j'ouvre bien grand la bouche et r�pond � son baiser.


Je me colle � lui et je ressent son sexe dur contre mon ventre(le mien l'est aussi). Il a l'air d'�tre bien membr�, hummm j'adore. On continu a s'embrasser et je caresse son corps sous son t shirt. Il a corps magnifiquement sculpt�, lui me caresse plus sur la r�gion du bas du dos ( on me dit souvent que j'ai un tr�s beau cul, bien cambr�). Cela dure assez longtemps je d�cide d'attaquer "le morceau". Je descend lentement mes mains caressant ses cot�s. Au niveau de sa ceinture, au dessus de la poche de son jean, ;je butte ;sur quelque chose, je me dis, non c'est pas possible c'est pas �a. Ma main va � la rencontre de l'objet... C'est ENORME! Alors je d�fait ceinture et boutons du jean, je le baise et d�couvre un slip tendu � mort. Je veux en voir plus, je baisse son slip et en surgit devant mes yeux un sexe g�ant, dur et vein� avec un gros gland tr�s rouge. Elle est magnifique, j'en ai ;jamais vu de si grosse et un frisson d'excitation, de d�sir ou de peur me parcours le corps.

Je veux le sucer mais vu la grosseur je n'arrive pas � la mettre dans ma bouche. Je me contente de t�ter le gland et d'humidifier mes l�vres pour les faire glisser sur la hampe. Je m'y prend bien car il appr�cie. Apr�s plusieurs minutes, il me rel�ve, se baisse, sort ma queue et la suce. Moi qui en suis fier, je la trouve petite.
Je veux aller plus loin. Dans mes relations je suis plut�t actif, mais je m'adapte suivant les mecs que je rencontre. Je lui demande :
- actif ou passif ?
Il me dit actif, (je m'en doutait). Je lui demande s'il souhaite me prendre et bien s�r il me dit oui.


J'ai un peu peur, il me dit qu'il ;sait y faire, mais je lui dis que c'est moi qui vais prendre les choses en main (plut�t plein le cul).
Il appr�cie. Je lui demande de sallonger sur la banquette, il se met nu et s'ex�cute. Je me d�shabille � mon tour et me pr�pare mentalement, je me dis on va essayer, mais ca va jamais rentrer.
Je lui branle la queue avec du gel, puis je prend un pr�servatif pour le lui mettre.L� il me dit non, je r�torque :
- ha non pas sans pr�so, il faut le mettre pour me mettre.
Il sourit, prend son jean, fouille dans sa poche et sort un pr�servatif et me dit :
- grande taille.


Je sourit ;� mon tour, et le lui enfile. Discr�tement je me met un bonne dose de gel sur l'anus. Puis je le chevauche, face � lui. Il me regarde d'un regard fi�vreux. Je respire lentement, puis prend sa queue et la place bien droite � l'entr�e de mon cul. Je ressent la chaleur et la grosseur de son gland, c'est terrible. Avec beaucoup de d�licatesse je m' assoie sur l'objet de mon d�sir. Lentement ;doucement mais surement et � ma grande surprise �a rentre. Je sens bien mon anus s'ouvrir et son gland forcer l'entr�e. Que c'est gros je m'en souvient encore. Petit � petit le gland rentre je m'assoie un peu plus sur son sexe j'en ai la moiti� en moi, je fais quelques va et vient, je commence a prendre mon pied.


Ca y est je suis ouvert et maintenant je veux qu'il fasse le reste du travail. On change de position, je me met � quatre pattes la t�te en appuie sur mes bras et ;le cul bien cambr� pour que mon anus soit bien ouvert. Il se place derri�re moi et me p�n�tre � nouveau. Hooo ! Qu'il est tendre et doux, il s'y prend vraiment bien. Une fois en moi il commence ses va et vient. Quel d�lice, il le fait en cadence comme sur un rythme de m�tronome. Je me retient de g�mir, c'est bon, je commence a quitter la terre. il me baise depuis vingt minutes au moins, moi j'en peux presque plus. il s'arr�te au fond de moi, enfin... c'est ce que je croyais et il me dit :
- je peux tout mette ?
et je r�pond avec la plus grande surprise :
- pourquoi, il y a pas tout ??
Accompagnant le geste � la parole je passe ma main entre mes jambes pour toucher et en effet il en reste encore pas mal � entrer.
Je souffle un oui.


Il se retire, me remet du gel et reprend sa sodomie. L� c'est violent de plaisir la p�n�tration parait interminable. puis bien en moi cette fois ci et je le sent plus que bien, il me dit :
- ca va ?
je r�pond oui va s'y ...
Il reprend ses va et vient interminables. D'un coup je ressent une douleur, mais ce n'est pas mon anus, c'est ma bite qui bande tellement fort qu'elle me fait mal. Je la branle un peu pour me calmer, mais je stop de suite, sinon je joui de suite. J'ai l'impression que tout a disparu autour de nous et que je perds la t�te, le plaisir est tellement fort. Puis dans des derniers coup de reins violents et un cri �toff�, il joui encr� dans mon cul, alors que j'ai un orgasme d�vastateur accompagn� de terrible soubresauts. J'ai m�me eu l'impression de sentir la chaleur se son sperme tout juste retenu par le pr�servatif. Moi j'ai macul� mon ventre et mon torse de mes jets puissants.Le temps de reprendre mes esprits il s'�tait rhabill� et ;il partit non sans me donner un dernier baiser ne me disant merci. J'ai mit du temps pour m'en remettre.

quand je suis retourner voir mes amis, ils m'attendais au bar et me dirent :
-tu as l'air d'avoir prit ton pied mon salaud !
je r�pondit que oui et je leur d�tailla mon plan baise en terminant mon r�cit par cette phrase :
- l�, j'en ai prit ;pour plusieurs mois.

Seithan

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