Premier épisode
Chapitre 2
Pour rappel Moi : Julien, 1m82, 72kg, corpulence normale mais pas d’abdo, torse poilu, bon cul musclé, bi avec très peu d’expérience gay.
Juste après avoir reçu m’a première sodo en extérieure par Pierre.
Je fais une centaine de mètre et je croise un cycliste. Il s’arrête à ma hauteur. Il me dit
Cycliste : je t’ai entendu baiser dans les buissons, tu veux encore de la queue salope
Moi : vous devez vous tromper.
Je continue de marcher mais le mec me suit et ce met devant moi. Il descend de son vélo.
Cycliste : je vois que tu bandes, je t’excite alors ou quoi. Tu vas voir ce que c’est un hetero en rut.
Le moment m’excite et me fait peur à la fois.
Le cycliste sort sa queue de son jogging, elle est juste en demi-molle mais me parait bien grosse. Il me dit.
Cycliste : viens la gouter, j’ai les couilles pleines, tu vas voir ce que c’est une bite de vrai mâle.
Moi : non mais pas ici, en plein milieu de la piste cyclable.
Le cycliste se rapproche de moi et me susurre l’oreille
Cycliste : derrière la salle de sport, on sera tranquille.
Nous faisons 200m, sans dire un mot. Je vois à peine le mec dans la pénombre, je dirais qu’il a la trentaine, 1m85-90, plutôt fin et musclé, des cheveux courts. Il pose son vélo et se rapproche de moi, prend ma main et me la pose sur son jogging. Je peux sentir son sexe qui prend du volume.
Cycliste : tu la sens ma grosse queue, elle a grave envie d’une bouche baveuse, tu vas voir mes 19 cm vont glisser tout seul.
Il pose sa main sur mon épaule pour me faire signe de m’agenouiller. Ce que je fais. Il met ensuite sa main derrière ma tête et me l’enfonce dans son jogging.
Cycliste : bouffe mon chibre à travers salope, fais ca bien et tu auras une récompense.
Je m’applique comme il le souhaite, puis il sort sa bite de son jogging, une belle queue poilue de 19 cm qui me parait bien large encore plus que celle de pierre (voir partie 1). Je commence à lécher son gland mais apparemment il en veut plus et m’enfonce sa longue bite tout au fond de ma gorge. Je m’étouffe à moitié et j’essaie de sortir sa queue de ma bouche mais il m’en empêche avec sa main. Il décide de relâcher la pression et je peux respirer.
Cycliste : que c’est bon, ne fait pas ta fillette, je vais te défoncer ta bouche tu ne vas pas avoir le choix.
Il prend sa teub en main et me biffle plusieurs fois. Sa queue est lourde et puissante. Il me l’enfonce à nouveau dans la bouche, il n’y va pas par 4 chemins, je la sens rentrer au max, je lèche sa queue à l’intérieur de ma bouche. Je peux sentir ses poils de bite me chatouiller le nez. C’est à ce moment là qu’il commence les va et vient. Il me défonce la bouche pendant au moins 5 minutes, il s’arrête par moment, sort sa queue me biffle en me regardant et me traitant de bonne suceuse de bite. Après une bonne salve de fond de gorge, il me relève et me regarde dans les yeux. Je peux davantage le voir, il a une barbe de 3 jours et des yeux clairs. Il me dit :
Cycliste : j’ai bien fait de prendre ce chemin pour rentrer chez moi, je n’en ai pas fini avec toi.
Il baisse mon pantalon. Puis, il met sa main à l’intérieur de mon boxer pour me toucher le cul.
Cycliste : tu as un bon boul, je vais te le défoncer encore mieux que l’autre mec, tu vas en redemander.
Moi : je n’ai pas de capote.
Il me plaque contre le mur de la salle de sport et me fait comprendre que je n’ai pas le choix. Je me laisse donc faire pour éviter d’avoir trop mal. Il me met un doigt pour évaluer mon trou.
Cycliste : Putain l’autre mec devait avoir un bon braquemard pour t’ouvrir comme ca. Parfait je pouvoir y aller sans problème.
Sur ces mots il cracha sur sa queue puis y enfonça son gland et sa longue tige d’un coup à l’intérieur de moi. Heureusement que Pierre m’avait bien ouvert sinon j’aurais crié mais je sentais tout de même qu’elle était plus large car il n’avait pas réussi à tout rentrer. Il posa ses mains le long de mon corps pour pouvoir l’enfoncer au max
Cycliste : putain ton trou est bon et encore serré. Tu vas voir ce que c’est un male qui baise une chienne.
Il commença ses coups de reins dévastateurs avec un rythme intense. Je pouvais sentir qu’il avait l’habitude de baiser hard car il gardait le rythme. Je pouvais sentir son souffle chaud sur ma nuque, que c’était bon. Par moment, il me prenait par les cheveux pour me faire comprendre que j’étais à lui. C’était bon mais j’avais quand même mal, il n’avait rien lubrifié, ca me chauffait le cul. Il finit par positionner ses mains sur mon cou, je sentais qu’il appuyait un peu. Je ressentais une drôle de sensation agréable. Sa queue était d’une dureté, il me défonçait vraiment comme une chienne. Il ne s’arrêtait pas. Je bandais également, mes 17 cm frottais le mur en tôle du gymnase avec les à-coups de ce mec. D’un seul coup, j’ai senti ma queue juter toute seule, 4 gros jets sur le mur. Le mec s’en est aperçu.
Cycliste : tu aimes ma queue ca se voit, tu jutes sans te toucher la queue, petite salope. Ton cul est trop bon, ca faisait longtemps que je n’en avais pas vu des comme ça. Tu vas avoir le droit à ta surprise.
Je ne comprenais pas sa surprise. Il continua de me limer le cul, j’en pouvais plus cela devait faire bien 10-15 minutes mais je n’avais pas de notion de temps. Il pose ses mains sur mes hanches, j’ai senti sa queue se contracter en moi et la il m’enfonça sa queue et je senti un liquide chaud envahir mes entrailles, le mec était en train de me remplir
Cycliste : ahhh putain que c’est bon de féconder un cul, prend mon jus en toi comme une récompense bien mérité.
Sa queue était encore un peu dure, il en profita pour me baiser encore 2 minutes pour me tasser son jus puis sorti sa queue de mon cul. Ca faisait du bien de ne plus avoir un membre à l’intérieur mais je sentais son jus encore en moi.
Cycliste : allez viens la nettoyer un peu, je ne vais pas la ranger dans mon jogging comme ça.
Je finis donc par le sucer pour enlever les traces de son jus.
Cycliste : alors tu l’as aimé.
Moi : oui c’était sympa cependant tu aurais pu éviter de juter en moi, je ne sais pas où tu fourre ta queue.
Cycliste : ne t’inquiète pas, je suis clean. Je me teste souvent. Ton trou était trop bon, on voit qu’il n’a pas trop servi aussi bon qu’une meuf voir plus. Donne-moi ton numéro, j’ai besoin de me vider les couilles très régulièrement et je ne dirais pas non à démonter ton cul à nouveau.
Je lui ai donné mon numéro.
Cycliste : bien, on se recontacte très bientôt. (j’apprendrais par la suite qu’il s’appelait Gregory et qu’il habitait dans mon quartier et qu’il était plutôt bi) puis il reprit son vélo et disparu dans l’obscurité de la nuit.
Je venais de me faire baiser par deux mecs en moins de 2 heures. J’avais adoré mais mon cul était en feu et avait besoin de repos. Je pris le chemin du retour et j’avais hâte de rentrer chez moi pour me laver car je sentais son jus coulé le long de ma jambe.
FIN
A bientôt pour de nouvelles aventures (pour info la 1ere partie était réelle mais la 2ème partie fictive).
Si vous avez aimé, n'hésitez pas à me le dire.
ChaudH24
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