Comme d’habitude, on est à la bourre ! Yves est certes habillé, mais il va lui falloir un bon moment pour choisir le parfum qu’il va mettre ou encore les boucles d’oreille qu’il va porter pour la soirée. J’aime mon copain de tout mon cœur, mais devoir toujours attendre sur lui quand on a un rencart chez des amis, ça m’énerve prodigieusement !
Habituellement, il suffit qu’il me fasse son sourire désarmant pour que je me calme rapidement. Mais ce soir, il en faudra plus ! Il a dû le comprendre, car au sourire s’ajoute tout aussitôt un baiser. Devant mon manque de réaction, il insiste et m’en colle un autre, à pleine bouche cette fois-ci. La douceur de ses lèvres me fait craquer, comme si c’était la première fois. Nos deux langues s’entremêlent avec fougue.
Cependant, si je ne l’arrête pas, je sais comment ça va finir et on ne sera pas à l’heure du tout. Je tente de le repousser, mais c’est peine perdue. Je ne fais pas le poids face à ses bras qu’il prend soin de muscler trois fois par semaine au fitness, et pas que les bras évidemment. Mais ça reste dans les limites du raisonnable car le genre « armoire à glace », ce n’est pas pour moi. Bref, mon mec, et je ne dis pas ça parce que c’est le mien, quoique, est à tomber : 1 mètre 85, le teint mat, les yeux verts, un sourire charmeur, le cheveu court et une barbe de cinq jours déjà poivre et sel malgré qu’il n’ait que 35 ans. Tellement sexy !
Quant à ses fesses, on les croirait sorties des mains d’un sculpteur tellement elles sont parfaitement bombées. Moulées dans un jeans bien ajusté, elles font baver autant les filles que les garçons. Et quand le soir il les secouent légèrement pour me provoquer, je ne m’en lasse pas ! Autant dire que je suis plutôt chanceux. Mais il n’a pas à se plaindre non plus, la nature ayant été plutôt généreuse avec ce que j’ai entre les jambes…
Je renonce donc à le repousser et me laisse faire. Tant pis pour le retard. Il faut parfois savoir lâcher prise, surtout quand votre partenaire vous empoigne fermement les couilles et vous susurre à l’oreille de le baiser sauvagement. Ses paroles ont un effet immédiat en-dessous de la ceinture ! Pas vraiment le temps d’y penser qu’Yves est à genou et descend mon pantalon sur les chevilles. J’ai hâte qu’il en fasse de même avec mon boxer et qu’il libère ainsi ma longue et grosse queue de son carcan.
Mais Yves prend tout son temps. Il lèche abondamment le tissu blanc jusqu’à ce que mon gland se laisse voir en transparence. Yves se décide enfin à laisser sortir ma queue qui, avec l’élastique du boxer, se plaque contre mon ventre plat et légèrement poilu jusqu’à la hauteur de mon nombril. Je mouille à fond. Il lèche goulûment ces gouttes salées. Mon pénis se dresse fièrement tel un glaive face à sa bouche. Il se met alors à me sucer avec une rare avidité avant d’engloutir mon sexe de 20 cm. Mon excitation est à son comble. Il n’en faudrait pas beaucoup plus pour que je laisse mon jus visqueux et abondant tapisser sa gorge.
Toutefois, comme il me connaît par cœur, il s’arrête, enlève enfin son pantalon et son sous-vêtement et offre à ma vue son splendide cul en se mettant à quatre pattes sur le canapé. Je me déshabille en deux secondes. Je commence à lécher avec empressement son trou imberbe. Ma langue glisse de bonheur avant de s’enhardir et de s’aventurer à l’intérieur. Yves fait des couinements qui ont le don de m’exciter encore plus. Je passe à l’étape suivante en le pénétrant avec un doigt. J’en mets un deuxième en l’enfonçant un peu plus. Il me dit « doucement ». Je fais exactement l’effet inverse : je lui en fourre un troisième en accentuant la pression. Il pousse un cri, tout en tortillant ses fesses pour mieux s’ouvrir. Je fais tourner mes trois doigts dans tous les sens pour bien élargir son orifice, tout en enduisant ma queue de salive. Puis, je me positionne devant sa rosette et le pénètre sauvagement, comme il me l’avait demandé.
Mais passer des paroles aux actes peut s’avérer moins facile qu’espéré. Surpris par cette pénétration virile, tout le corps d’Yves se cabre et met ainsi en valeur les muscles de son dos. J’opère une brève pause pour laisser le temps à ses entrailles de faire un peu de place à cet envahisseur largement au-dessus de la moyenne aussi bien du point de vue de la longueur que de la circonférence. Ma queue s’enfonce alors profondément. Je peux recommencer à le pilonner de plus belle. Les « encore » et les « plus fort » se succèdent. Yves serre et desserre son sphincter, avance et recule avec son cul, pour mon plus grand plaisir. Après quelques minutes de ce régime intense, je sors mon sexe, dont les grosses veines sont plus apparentes que jamais avec l’excitation, pour mieux y retourner sans avoir auparavant mis quatre, puis cinq doigts dans son anus à présent parfaitement lubrifié et dilaté. Yves en redemande.
Je lui en donne tant et plus jusqu’à ce que je n’y tienne plus. Je me prépare à l’explosion toute proche en bandant mes muscles pour donner encore plus de force et d’intensité à mon éjaculation. La sentant venir, je me retire, me branle quelques secondes et asperge à chaudes et répétées giclées son trou largement ouvert. A peine le temps de reprendre mon souffle que je le pénètre à nouveau, sans ménagement. Visiblement, il aime ça ! Mon jus s’écoule le long de ses cuisses. Il en met sur ses doigts, les lèche avidement et se retourne vers moi pour m’embrasser. Il se libère de mon emprise, me fait face et commence à s’astiquer. Quel beau spectacle j’ai devant moi ! Mes mains parcourent fiévreusement ce torse parfait, pince ses tétons et donne des petites tapes sur ses fesses bien fermes. Quand il me dit qu’il va jouir, je lui enfonce un doigt dans son cul encore plein de mon liquide séminal et lui offre ma bouche pour déverser son foutre chaud et légèrement amer. Je n’avale pas sa semence : je la lui rends en échangeant un long et passionné baiser.
Dégoulinant de sueurs et de sperme, nos ébats se terminent sous la douche où mes mains savonneuses et baladeuses ne peuvent éviter quelques incursions dans sa raie des fesses et même au-delà. Décidément, mes doigts ressentent le besoin de se mettre à l’abri…
Et pour la petite histoire, j’ai téléphoné aux personnes qui nous avaient invités pour leur dire que nous ne pourrions finalement pas venir en raison d’un empêchement de dernière minute. Ce qui n’est finalement que la vérité !
Bugs
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