Tout a commencé il y a 3 semaines. Comme souvent en sortant du taf, je suis en chasse sur le site coco. Mon pseudo « VideCouilles » laisse deviner ma vraie nature. Je contacte « DomiBeur13», 28 ans, qui est dans une ville proche dans les environs de Marseille. On échange quelques mots. Il a les couilles pleines et cherche une bonne bouche pour se vider après le travail. Il n’est pas douché, mais ça ne me gêne pas. Je kiffe les odeurs de mâle.
« -T’as une photo de ton visage ? »
Je lui envoie une photo de vacances sur un bateau. Grand brun grisonnant, souriant, poilu sur le torse et les jambes, je cours le dimanche matin pour rester potable sur le marché du sexe.
« - Et à poil ? »
Je lui envoie une photo prise par mon ancien Maître qui est allé poursuivre ses études en Bretagne. On me voit à 4 pattes au sol, fesses en l’air, une matraque sur l’anus, avec des inscriptions en arabe sur le dos.
« - et vous, vous êtes comment ? »
J’aime vouvoyer, ça met direct en position d’infériorité. Je n’ai pas de photo en retour, mais des mensurations : 1m84, 77 kg, sportif , teub de 17 cm.
Il est vénal, pas par nécessité car il bosse, mais car ça l’excite de se faire payer. En général je refuse direct, mais c’est dur de trouver un bon domi et je suis en manque. J’accepte son offre et je lui envoie mon numéro de tél. Nous nous donnons RV sur un parking pas loin de chez moi. Je passe par un distributeur retirer la somme demandée.
Il m’attend sur le parking. Il n’a pas menti. Il est plutôt BG, bien viril, en survêt et baskets Je monte dans sa voiture et je le guide vers une ancienne écurie abandonnée repérée lors de mes footings. Il est 19h et il fait nuit. On entre en utilisant la lampe de nos portables pour nous éclairer.
« A poil, à genoux, la pute ! Vite ». Je m’exécute le plus rapidement possible.
« T’as le fric ? ». J’attrape la poignée de billets dans mon blouson. Il vérifie. Je me remets à genoux devant lui.
« C’est bon, tu es réglo, tu vas te régaler, sniffe. » Il me plaque la tête contre la bosse de son survêt. J’essaye de renifler à travers le survêt. Je sens qu’il commence à bander. Puis il baisse son survêt.
« Lèche moi tout ça salope ! ». Je lèche et je tête. C’est un peu salé avec un léger gout de pisse. Je suis aux anges. Il extirpe son sexe bien dur.
« Snife bien, la pute ! ». J’essaye de capter un maximum d’odeur des couilles. Ça me fait plus d’effet que du poppers.
« Allez montre-moi tes talents de suceuse ! ». Je commence par lécher les couilles puis je remonte jusqu’au gland. Je donne des petits coups de langue avant d’engloutir le tout dans ma gueule. Je le suce longuement en suivant ses ordres.
« Ouvre la gueule, salope ! ». J’obéis. Trois jets de sperme bien épais atterrissent dans ma bouche que je garde grande ouverte.
« Savoure et avale ». Je déguste son offrande comme un bon vin avant de tout avaler et d’ouvrir la gueule vide.
« T’es une bonne suceuse, on va voir tes autres qualités. Aux pieds et lèche ! »
Ce mec a le sens du commandement. Je me sens chien, et je me mets directement à 4 pattes, à lécher le cuir de ses baskets.
Il me fait retirer ses baskets, puis ses chaussettes, que je renifle en me branlant. Puis je lui suce les orteils, un par un, avant de m’allonger sur le sol en terre battue de l’écurie pour prendre tout son pied dans la gueule.
« Très bien salope. On va bien s’amuser toi et moi. Relève-toi et viens snifer mon boule ! ». Il pose ses mains sur le petit muret de l’écurie et tend ses fesses recouvertes d’un léger duvet. Je sniffe son cul, il dégage une bonne odeur de musc qui me fait bander. Je me branle en suivant ses ordres : je donne des coups de langues bien large de la base des couilles jusqu’en haut de la raie, avant d’explorer son trou serré.
« T’es doué ma pute ! ». Il bande de nouveau comme un âne, se retourne et me plaque la tête pour enfoncer son pieu en fond de gorge. Je le resuce de nouveau, à la limite du vomissement, jusqu’à ce qu’il jouisse une deuxième fois, directement au fond de ma gorge cette fois.
Je lui demande la permission de jouir, mais il refuse. Je me rhabille et on retourne dans sa voiture.
« T’as une bouche de velours. Tu suces beaucoup mieux que ma meuf ». Je suis flatté du compliment. Il attrape ma main et me fais toucher la bosse qui se reforme de nouveau.
« Tu vas pas me laisser partir comme ça ? » Il est 20h, et je me demande quel prétexte je vais pouvoir trouver pour rentrer aussi tard du travail, mais ma bite est plus forte que ma raison.
« Je connais un petit cabanon pas loin ». Il se gare et me suit à travers champ. On croise deux jeunes ce qui me stresse un peu, mais ils s’éloignent. On arrive au cabanon, perdu dans un champ au milieu des immeubles. On devine au loin les lumières des fenêtres. Excitant.
Je me jette directement sur sa bite et j’ai rapidement le droit à une troisième dose. Mon schéma vaccinal est complet.
Il me ramène sur le parking ou ma voiture m’attends. J’ai grave kiffé et lui aussi. J’espère le revoir.
Post-Scritum : j’ai écrit ce rapport à la demande de BeurDomi13 que j’ai revu deux fois ensuite. Vous pouvez lui envoyer vos commentaires sur Snap (mrl22695), en particulier si vous voulez la suite.
Stephbi13
