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Chapitre 5
De sa hauteur, il en a surtout profité pour me prendre en photo dans cette position improbable, sanglotant sur mon sort.
Je ne sais pas s’il voit qu’il est allé trop loin mais il me libère et on passe à table. Le repas est l’occasion pour lui de mettre deux mollards sur le dessus de l’assiette. L’entendre se racler la gorge et le laisser couler, gluant, jaunâtre, épais, sur ma nourriture me révulse une première fois mais la seconde a encore plus d’effet car je sais que je vais devoir tout avaler. Il me regarde avec beaucoup de satisfaction manger et notamment cet accompagnement répugnant.
« Bon on va accélérer un peu le mouvement, viens par ici! »
Je suis assis sur un marche pied, entièrement scotché à une colonne/poutre.
Revoilà le masque de jour pour m’empêcher de voir. Et comme tout à l’heure, pour le rendre « bien opaque » pour reprendre son expression, un liquide chaud m’arrive encore dessus. Ça devient une habitude de me pisser dessus.
« Ouvre la bouche! Voilà, c’est bien! Oui j’en est encore en réserve pour toi. C’est trop bon de te pisser dedans!! Je vais te faire gonfler le ventre à force. Pourquoi crois tu que j’ai mangé en buvant de la bière? Pour bien te remplir bien sûr!! Tu n’es vraiment qu’une chienne!! Tu devrais te regarder!! »
Il profite de ma bouche ouverte pour travailler l’élasticité de la gorge avec sa main. Plusieurs doigts viennent me fouiller la bouche et la gorge. J’ai du mal à ne pas régurgiter. Quand il se retire, je pensais mon supplice terminé mais c’est son pied qui est venu. D’abord le gros orteil, puis les deux, puis plus d’orteils. Jusqu’à insérer tous les orteils et m’enfoncer son pied dans la bouche. Je me sens écartelé de la bouche!! Et je suis sûr que je n’ai pas grand chose, il en reste beaucoup dehors.
« Voilà, passe bien ta langue entre les orteils! Oui c’est bon!! Tu le sens mon pied. Je t’élargis bien la bouche là. Elle est toute distendue et je n’ai pas passé le coup de pied!! Mmmhh tu vas voir comment tu vas me sentir! Et ce n’est qu’un avant goût parce que j’ouvrirai pareil ton cul, avec mon pied!
- mmmmhhh rrrrggghhh (comment parler? Non pitié j’en peux plus! Je suis vanné physiquement !!)
- Il m’a semblé comprendre que tu disais oui boss, encore plus boss. Alors j’enfonce! »
J’en peux plus. J’étais tellement contracté que lorsqu’il me libère je m’effondre par terre. Je dois être en mode tapis au sol, il en profite pour me marcher dessus en démarrant des jambes et en remontant. Je suis obligé de contracter mes abdos pour ne pas être écrasé.
« Tu as bien morflé. Quel dommage qu’il reste le plan à plusieurs! »
Je n’ai plus de force pour protester, me battre. Il a eu raison de moi. Il pourrait faire ce qu’il veut de moi. Je me pensais résistant mais en fait pas du tout.
« Tu verras, bientôt j’aurai plus besoin de t’attacher, tu viendras tout seul chercher ce qu’il te faut
- Je pense pas dis-je dans un souffle.
- Tu sais quoi? J’ai pitié de toi pour aujourd’hui. Direction la douche et je te ramène. Je te ferai tourner une prochaine fois.
- Merci boss!! C’est très gentil!! »
Il m’accompagne à la douche. On passe un moment sympa et l’eau me fait du bien. Il me ramène ensuite.
« Ah j’oubliais, tiens »
Il me rend mon oreillette. Et effectivement il a du la porter au cul car il y a une odeur et je crois voir une trace marron!
Passifcfantastik
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