Il est dans ma tête

Chapitre 4

Après cette première journée, nos échanges ont continué. A chaque message, j’avais un coup au cœur ne sachant pas ce qui allait m’arriver. Ce mec me mettait dans des états pas possible. Il s’était insinué dans ma tête, manger le cerveau était l’expression qui me venait en premier. Même quand j’avais des rapports avec mon mec, je pensais à lui. Alors qu’il ne m’avait pas baisé!!

La raison reprenant le dessus, je me dis que je ne peux pas continuer comme ça. J’avais construit ma vie et lui tranquillement sans faire d’effort venait la chambouler. Promis demain j’arrête disent les drogués, je me dis la même chose.

Le lendemain, je me connecte pour lui envoyer un message comme quoi j’arrête. Et la, j’ai un message:

« Ça va petite pute? Tu penses à moi? Je te prépare une journée qui va te plaire. Dis moi quand tu es dispo. On va prendre notre pied! »

Punaise, mon sang ne fait qu’un tour! Mes jambes vacillent. Non non je tiens bon. Et laisse un message dans ce sens.

La réponse arrive rapidement. Des photos: moi dans le train la tête contre son pied, et plusieurs lors de la séance dans l’appartement que je ne l’avais pas vu prendre dont une où il est assis sur mon visage. Rien qu’en les voyant, mon cul mouille. Ce mec sait y faire.

« Ne me dis pas que tu n’as pas pris plaisir! Regarde comment tu y mets du tien. Tu veux arrêter? Avoue que ça va te manquer. Je te laisse 48h. Dans 48h, tu me dis ok et tu viens je m’occupe de toi, tu me dis j’arrête et c’est pas la peine de revenir ».

Je suis dans tous mes états, mon cerveau me dit j’arrête, mon cul qui mouille à la vue des photos me dit vas-y. Durant ces 48h, il m’envoie des photos prises ensemble, de lui, de ses pieds,… a chaque fois, il fait vaciller ma foi. Je ne sais plus à quel saint me vouer.

Au bout des 48h, je suis perdu. Je me connecte pour répondre et je reçois une photo de lui de pied prise du sol comme si j’étais allongé. Oui c’est la ma place! A ses pieds, l’implorant, le subissant. Je lui dis ok! Je suis foutu.

Le lendemain, on se recroise dans le train. J’ai mes écouteurs sur les oreilles et suis plongé dans mes pensées. Comme la fois précédente, un mec s’assoit à côté de moi, je n’y prête pas attention. D’un coup, je sens mon oreillette de droite qui est enlevée. Je me retourne et lui fait face. Il est là tranquillement installé. Et comme dans un film au ralenti, il me montre mon oreillette et de l’autre main écarte le haut de son jean pour la fourrer dedans! Comme ça, devant tout le monde! Comme si c’était normal!!

« salut petite pute.

C’est une petite assurance. J’ai mis ton oreillette entre mes couilles et ma queue. Si tu veux la récupérer, soit tu viens fouiller mon entrejambe et sache qu’une fois ta main à l’intérieur je ferai tout pour que tu y restes bloqué. Dans un train c’est discret me dit-il avec un clin d’œil et un sourire qui en dit long sur son sentiment de domination de mon mental à cet instant.

Soit, tu la récupères quand on passe la journée ensemble.

- non mais…

- Je vais peut être m’en servir de plug avant. C’est petit mais tu la récupéreras avec des poils et une odeur… mmmh… qu’est ce que tu en penses?

- Non mais tu ne peux pas faire ça! Ce n’est pas…

- Oui c’est dégueulasse, oui tu vas te retrouver avec l’odeur de mon cul dans l’oreille…. Mmh peut être il y aura même des traces marron. Qu’est-ce que tu en penses? Et ne te plains pas, sinon je prends l’autre!»

Il pense à des détails de fou. Je suis complètement affolé. Le mec est capable de laisser son emprunte n’importe où. Il dit ça comme si c’était courant et normal. Si j’avais un doute sur le fait d’y aller, là c’était fixé. Rdv est pris pour une séance « découverte » chez lui.

Le jour J, j’arrive à la gare, il est venu me chercher. Ça accroît ma dépendance vis à vis de lui mais je n’avais pas le choix. Il m’emmène chez lui, petit coin tranquille. Je devais être un peu trop détendu car d’un coup il me dit:

« Tu pourras crier ici et appeler à l’aide, personne ne t’entendra. »

Même si bizarrement je me sens en sécurité avec lui cet avertissement me fait peur. Il a du me prévoir un programme intense.

Cela commence dès l’entrée où il me fait me déshabiller entièrement. Il me caresse les fesses et me donne une petite fessée. Rien de violent car on en avait convenu mais cela me fait sursauter. Sa main sur son épaule fait une pression vers le bas. Je comprends le message et me retrouve à genoux. De manière très souple, il a enlevé ses vêtements. Tiens la douche n’a pas été prise du matin et je ne pense pas d’hier! Il se racle le fond de gorge et laisse tomber sur son gland… comment dire?? Une moule! Il n’y a pas d’autre mot.

« Ouvre grand! Je vais te déposer ça en bouche. Tu avais parlé de mollard, en voilà un et il est pour toi.

- non non pitié. C’est dégueulasse.

- Oui mais aujourd’hui c’est ma journée, ça va être ta fête. Je vais bien m’occuper de toi. Je vais te renvoyer à la maison complètement cassé. Et physiquement et mentalement. Alors ne m’oblige pas à faire usage de la force, tu vas le regretter. Ouvre cette bouche »

A contre-coeur, j’ouvre et son sexe chargé en odeur rentre en bouche et laisse glisser le mollard sur ma langue. J’ai le cœur au bord des lèvres. J’avale tout. Enfin j’essaie de gober plutôt. Et il enchaîne sur séance de l’image de bouche intense.

Mais d’où lui vient toute cette énergie. J’ai la bouche en feu, je galère avec le gag réflexe et j’ai de la bave partout sur moi. Il s’arrête finalement sans éjaculer. Devant mon air incrédule, il me dit avec son sourire de mec confiant en lui et en son pouvoir:

« Je ne vais pas te casser de suite. Il faut que tu tiennes la journée. Maintenant enfile ça. »

Le ça est un masque pour dormir dans l’avion. Je suis maintenant à sa merci. Il me fait avancer en me tenant, me fait mettre à 4 pattes et m’attache les poignets aux pieds de ce qui semble être une table basse mais de jardin. Avec le vent que je sens on doit être dehors. J’ai le cul ouvert et à sa merci.

« Je ne manquerai jamais une occasion de te dégrader, de te rabaisser. Mais, je vais prendre aussi soin de toi.

- merci Boss c’est gentil!

- Je ferai en sorte que ton trou ne se referme jamais afin que tu aies moins mal la fois d’après

- Non non pitié! Stp ne fais pas ça.

- Mais si que je vais le faire. Tu sentiras l’air frais rentrer par ton ton trou du cul

- Mais… mais pourquoi? Je suis à mi chemin entre les larmes et le désespoir car je sais qu’il est sérieux, je sais que je ne pourrai rien y faire. Mais je sais aussi que j’aurai des vagues de plaisir.

- Mais pour rentrer mon pied bien sûr! »

Voilà que ça lui reprend!! Mais ça ne rentrera jamais!!

Je me concentre sur mon derrière mais finalement c’est un liquide chaud qui m’arrive sur le bas du dos et remonte jusque sur le visage où le masque se retrouve trempé. Oui, il me pisse dessus.

Je bouge mais ne peux de toutes façons pas partir.

« Mmmh j’adore marquer ma chienne. Rien de tel que du liquide odorant. Transpiration, pisse… autre bientôt. »

J’imagine d’ici son sourire de satisfaction.

« Tu te rappelles de la transpiration de mes pieds?

- oui bien sûr. Comment oublier cette odeur forte?

- Je suis certain que malgré la douche la dernière fois tu la sentais encore quand tu es reparti

- C’est vrai (mais comment il peut savoir? Il est dans ma tête c’est pas possible!!)

- La, ca va faire pareil. Et à chaque fois, tu m’appartiendras encore plus. Je vais te faire disjoncter le cerveau. Tu seras à moi. Même quand tu seras chez toi avec ton mec je serai dans ta tête. »

Et il se met à rire. Je suis effondré et au fond de moi je sais qu’il a raison.

Finalement, c’est quelque chose de froid qui me sort de ma torpeur. Qu’est ce que c’est? Du gel sur mon cul! Et quelque chose est à l’entrée.

« Mmmh tu sens mon gros orteil? »

Mouvement de panique, j’essaie de bouger mais il me tient les hanches en même temps. Et je sens que ça rentre. Ça rentre. Encore. Putain il m’a eu, il est en train de m’enculer. Ce n’est pas son pied. Je pousse un ouf de soulagement. Je note que c’est d’ailleurs la première fois qu’il me prend. Comme quoi, ce rapport de domination n’est pas basé sur le sexe uniquement. C’est un tout. Euh??? Il a mis un préservatif?

« Tu t’es protégé?

- seul moi je le sais. Touche pour voir si tu peux. »

Et il se met à rire. Avec mes mains attachées je ne peux rien faire.

« Je vais te tranquilliser. Oui j’ai mis un préservatif. Par contre, le bout était fragile et ton cul serré du coup, mon gland dépasse ».

Je commence à bouger, paniqué.

«arrête stp, arrête

- tu as raison, autant l’enlever. »

Je l’entends trifouiller le plastique et sens ce qui doit être une capote sur mon dos. Je ne peux rien voir, ni bouger. Je l’implore, crie, me lamente. Et je le sens s’introduire en moi et me besogner. Je suis anéanti. Encore plus quand il me dit je monte et que je le sens jouir dans mon cul.

Il se penche sur moi, toujours à l’intérieur, me chuchote à l’oreille « tu es à moi maintenant ». Il enlève le masque, sort de mon cul et la… il avait toujours son préservatif. C’était un ancien qui avait été jeté sur mon dos. Je suis soulagé mais il m’a traumatisé. Ça devait être son intention.

« Je ne suis pas fou quand même. Je t’ai dit que je prendrai soin de toi! Enfin surtout de moi!! Il faut que tu dures longtemps!!!

Maintenant rentre la dedans »

Me voilà à rentrer dans une sorte de cage. Pas assez longue pour moi ni assez haute. Je me retrouve donc dans une situation inconfortable. Et je le vois partir. Je reste la un moment. Ça me paraît une éternité.

Finalement, il revient en transpiration.

« Rien ne vaut un petit footing après avoir éjaculé. Je suis trempé. Mais ça tombe bien. J’ai ta langue pour me lécher.

Sors de ta cage et commence par bien me décrasser les pieds. »

Tout y est l’odeur, le côté moite, la transpiration. Rien ne m’est épargné. Pieds, aisselles, couilles et le plat de résistance, le cul. Je suis sur le dos, limite comme d’habitude et il s’est assis sur ma tête. La dernière fois, j’étais terrorisé. Maintenant encore mais avec de la résilience, je l’ai accepté. Il arrive à me faire bouger mes limites. Il est très fort.

Finalement, il décolle un peu ses fesses. Je respire mais une déflagration retentit. Putain il est en train de peter!! Il me pete à la gueule.

« Respire bien! Respire à plein poumon! Tu la sens mon odeur?? Je vais te retourner le cerveau. A la fin tu l’imploreras pour venir chercher mon cul. En attendant, ta tête vaut le détour. Fais pas cette mine dégoûtée, j’en ai encore »

Et il recommence, j’ai le cœur au bord des lèvres. Je vois son anus bouger à chaque fois et l’odeur qui suit me monte direct dans les narines.

Je fais mine de me lever et il me repousse, me faisant perdre l’équilibre. Le temps que je réalise, il m’a retourné, lié les chevilles ensemble mais en passant autour des couilles. Si je veux me relever, ça me coupe les couilles. Je tente bien une fois ou deux mais la douleur est trop intense. Lui est là à côté. Il se marre de moi, de la position. « Vas-y lève toi si tu veux. Je t’en prie, la porte est là. Tu remontes dans la voiture et je te ramène. Si tu n’y arrives pas, je te mets la misère toute la journée.

- pitié, libère moi! Laisse moi partir!!

- Mais tu es libre voyons. Monte dans la voiture et je te ramène.

- Mais tu vois bien que je peux pas.

- Ah si tu tiens à tes couilles ça va être difficile. »

J’essaie, j’essaie d’avancer mais pas moyen.

« Tu sais quoi? Pauvre petit animal. Je suis certain que tu peux pondre des œufs! »

Mais qu’est ce qu’il raconte?

« J’ai préparé des œufs durs. On va voir combien tu peux en prendre et combien tu peux en pondre. »

Il arrive avec une boîte d’œufs durs écalés. Il me badigeonne le cul et commence à introduire un œuf. Ce mec est fou!! Je peux toujours pas partir et le mec m’introduit des œufs! J’essaie d’avancer mais je ne peux le faire rapidement.

« Ou comptes tu aller? A cette vitesse la je te rattrape en un pas! Aller, hop un 2eme. On continue? Mmmh c’est trop bon te voir avaler des œufs par le cul! »

Il est arrivé a 8. Je suis plein. J’ai mal au ventre. Il place son bac sous mon cul.

« Maintenant ponds! Pousse fort ! »

Je pousse et sens un œuf se faire le passage et plop tomber dans le bac. Il en profite pour se moquer de moi.

« Tu es ma poule. D’ailleurs, tu pourrais être là poule aux œufs d’or! Qu’est ce que tu en penses?

- Je ne sais pas. A quoi tu penses?

- Je vais louer tes services

- Ah mais non. Tu peux pas! Stp

- Mmmh c’est une bonne idée ça. Je t’attache comme tout à l’heure, cul offert. Tu ne verras même pas s’il faut qui t’encule et je fais payer les passes.

- Non non stp. Je suis à toi.

- Trop tard! Je suis en train de mettre une petite annonce. Alors, hygiène peu recommandée, gros calibres exclusivement,….

- Non mais ça va me détruire le cul.

- Mmmh oui, je vais en faire du steak haché pour pouvoir m’y introduire! Ça va être bon!!!

- Pitié !! S’il te plaît ne fait pas ça!! »

Je suis limite en train de sangloter. Il est en face de moi et me domine de toute sa hauteur. Je ne peux même pas me relever avec ce foutu lien aux chevilles.