Mon mec a dû partir à l’étranger pour le travail, déjà une semaine d’absence, et encore trois à venir… J’ai une envie folle de me prendre une bite dans le cul. Mais il me l’a interdit avant de partir. Je devrais attendre qu’il rentre pour organiser un trio et finir à ma place ; en leur léchant les pieds avant de me faire baiser par tous les trous.
Nous sommes samedi après-midi, je me décide à aller au sexshop pour m’acheter un nouveau gode pour assouvir mes besoins de chienne. Lorsque j’arrive dans le magasin, le vendeur m’accueille avec un grand sourire en me demandant s’il peut m’aider. Je lui explique pourquoi je suis là et lui demande conseil sur les différents jouets. Il se montre très professionnel et une fois que mon choix s’est porté sur un gode classique, une bite bien veinée avec une bonne paire de boules couleur chair, il me propose de m’offrir l’entrée de la zone de cruising pour l’essayer avec les mecs présents. Je dois dire que la proposition est tentante mais je décline gentiment en lui promettant de revenir avec mon mec pour tester les gloryholes. J’adore m’occuper de bonnes queues sans avoir aucune idée de leur propriétaire. Je passe en caisse et rentre chez moi, j’ai pleins de chose à faire dans l’appart, j’essaierai mon nouveau jouet plus tard.
Les heures passes lorsque je reçois un sms d’un numéro inconnu :
« Salut, c’est Adrian du sexshop ;) ».
Je reste étonné de ce message et me demande comment il a pu obtenir mon numéro.
Deuxième message :
« Alors ce gode, il te fais du bien ? ».
Je viens de comprendre, il a récupéré mon message lorsque j’ai rempli le formulaire pour la carte de fidélité du sexshop.
Je lui réponds :
« J’ai été très occupé, pas encore eu le temps de l’essayer ».
— « Ha c’est dommage, tu me diras ce que tu en pense ».
— « Oui sans faute, je pense que je vais l’essayer ce soir ».
— « Tu voudrais pas un peu d’aide ? ».
Je ne sais pas quoi répondre… Bien sûr que je voudrais son aide, qui la refuserai ! Adrian a un corps de rêve avec des muscles saillants que j’ai pu deviner sous son t-shirt noir. Une belle barbe fournie et des yeux noirs intense. Mais j’ai promis à mon mec que je ne verrai personne pendant son absence. Je décline donc la proposition.
Nouveau message deux heures plus tard :
« Testé et approuvé ? ».
Il commence à être lourd là. Je réponds :
« Pas encore ! ».
Soudain on sonne à la porte, ce doit être ma livraison qui arrive. Ca tombe bien j’ai vraiment la dalle.
Je réponds à l’interphone :
— « Bonsoir, deuxième étage gauche ».
Je sors mon portefeuille et entend le livreur sonner à la porte. Je vais ouvrir et il ne s’agit pas du livreur mais bien d’Adrian qui a qui j’ai aussi sans y penser donné mon adresse lors de mon adhésion.
Sans que je l’y autorise il passe la porte et rentre dans l’appartement.
— « Alors petite salope, on s’achète des jouets et on ne les essaie pas ? ».
En entendant ces mots, mon cœur se mets à battre de plus en plus fort. Je n’ose pas répondre et referme la porte.
D’un ton ferme il me lance un :
« Je te parle petite pute ! Tu ne comptes pas l’essayer ? ».
Je parviens à répondre un petit :
« Si bien sûr, je vais le tester » tout en bégayant.
— « Sers-moi une bière bien fraiche, je vais m’installer dans le canapé. Toi tu te mets à genoux sur le sol et tu vas me montrer comment tu utilises ton nouveau jouet ».
J’obéis, le me dirige vers le frigo et lui sers une bière bien fraiche. Lorsque j’arrive au salon, je retrouve Adrian sur le canap, les jambes écartées. Une main malaxe son entrejambe et il tiens le gode qu’il m’a vendu plus tôt dans la journée de l’autre main. Je lui tends sa bière et d’un coup sec, il colle la ventouse du gode sur la table basse.
Je reste debout à regarder le gode pointer vers le ciel sans oser bouger.
Mon hôte m’ordonne alors de m’agenouiller et de lui montrer comment j’ai l’habitude de manger de la queue en utilisant mon gode.
Je m’exécute. Après quelques minutes de suce, il n’est pas satisfait du spectacle et exige que je m’applique d’avantage en la gobant entièrement. C’est difficile, le gode est vraiment gros. Même si l’idée de sucer devant Adrian m’excite beaucoup, rien ne faut une vraie queue !
Il a certainement lu dans mes pensées. Il commence à déboutonner son jean et à sortir une belle bite encore mi-molle mais d’une taille plus que remarquable.
« Viens me la faire durcir avec ta gorge petite pute » m’ordonna-t-il.
Oubliant toutes les promesses faites à mon mec, me m’approche et gobe sa queue directement.
Adrian lâche un râle de plaisir et semble satisfait que je m’applique d’avantage avec une bite de chair.
Il ne tarde pas à bander complètement et ma bouche est complètement remplie.
Il me demande de m’arrêter et de regarder sa queue. Je trouve ça bizarre mais je m’exécute en me disant qu’il doit en être particulièrement fier. D’ailleurs, il y a de quoi, c’est une bite magnifique, veinée et large.
Il me demande : « Elle ne te rappelle pas quelque chose ? ».
Bientôt la suite !
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