Chapitre -02 : Cyril
Durant ma formation, je me suis retrouvé par mal de fois à avoir l'eau à la bouche devant certains beaux petits culs très alléchants. Alors même si le petit Antoine m'avait bien perturbé, il y en a un en particulier qui me faisait vraiment bien mouiller : Cyril.
Cyril, c'est un formateur, grand mec aux tempes grisonnantes, un corps de rugbyman qui donne envie d'une troisième mi-temps avec lui sous les douches. Je l'ai eu par hasard vers le mois de novembre, en remplacement d'un de mes profs et mon pantalon s'est de suite trouvé bien serré. Un sourire à tomber, un cul parfaitement mis en valeur dans son jeans et une chemise noire qui faisait ressortir une musculature qui n'appelait que mes lèvres pour se poser dessus. Rien que d'y repenser, j'en mouille déjà.
À chaque fois que je le croisais dans les couloirs, je ne pouvais que m'arrêter pour lui faire mon plus beau sourire et ensuite bien lui reluquer les fesses dès qu'il avait le dos tourné. Je sais que je suis loin d'être quelqu'un de discret et pas mal de fois, je me suis fait prendre la main dans le sac... enfin les yeux rivés sur ses fesses et je n'avais pas l'impression que ça le dérangeait plus que ça. Mais bon, il paraissait tellement hétéro et j'étais tellement intimidé par son charisme que jamais je n'oserai ne serai-ce qu'imaginer avoir un mec de ce genre dans mon lit.
Plus les jours passaient, et plus je me faisais de moins en moins discret. À tel point qu'un jour, en cours avec lui, après avoir parlé pour la énième fois de son corps de rêve à ma voisine de classe qui partageait mon opinion, il nous a rétorqué que peut importe où l'on était dans la salle, il pouvait tout entendre... Je me suis retrouvé bête, ne sachant pas si il parlait de moi ou de quelqu'un d'autre et j'ai préféré me faire discret jusqu'à la fin de la séance.
J'étais tellement troublé que je me suis retrouvé être le seul à la fin à ne pas avoir rangé mes affaires. Mes amies m'attendaient et je leur ai dit de partir devant pendant que je rangeais. Lui me regardait, attendant que je parte pour enfin finir sa journée. J'étais tellement mal à l'aise que j'ai fait tomber tous mes cours par terre. Je l'ai vu s'approcher de moi et m'aider à tout ramasser.
- Tout va bien ? Je vous ai vu perturbé pendant le cours, vous n'avez pas compris quelque chose ? Je peux vous aider si besoin.
- Non ça va merci...
Oh mon dieu, mais la seule aide que j'aimerai de sa part c'est qu'il ôte tous ses vêtements et qu'il me prenne dans cette salle, juste là sur le bureau sans ménagement ! Rien que le fait de penser à ça, j'en bande directement et je rougis instantanément. Et son parfum, il était tellement près de moi que je pouvais m'enivrer de ses doux effluves musqués qui me faisaient entrer en transe...
- Vous êtes sûr que ça va ? Vous êtes tout rouge ? Il n'y a pas de honte à ne pas comprendre, et je suis là exprès pour aider.
Il me dit ça tout en posant sa main sur mon épaule, je n'ose même pas le regarder dans les yeux tellement il me fascine. J'essaye de me cacher le visage et d'inventer une excuse bidon pour m'échapper de ce moment gênant.
- Je suis désolé, je suis un peu fatigué dernièrement et j'ai eu du mal à suivre une partie du cours, mais je potasserai chez moi pour mieux comprendre.
- Vous êtes libre demain après-midi ? Je n'ai rien de prévu donc je peux vous donner un cours particulier pour vous aider.
- Je n'ai rien demain, mais...
- Donc c'est d'accord, demain 14h, vous m'attendrez devant ma salle. À demain, alors.
Son sourire quand il me rétorque ça m'a fait perdre mes mots. Comment je pouvais me sortir de ce guêpier. Le seul problème avec son cours, c'est juste que je perdais mes moyens devant lui, mais je n'avais aucune lacune et il allait s'en rendre compte demain... Et quand il s'en apercevra, qu'est ce qu'il va en penser. Que je suis un pervers qui veut juste profiter d'être seul avec lui... Oh non je suis dans un merdier pas possible...
Je suis rentré directement chez moi après, l'esprit embrouillé par des images de Cyril et moi dans une salle, lui assis à son bureau et moi, à califourchon sur lui, m'empalant sur sa queue... Au grand plaisir de mon mari, après lui avoir raconté ma journée dans les détails et le voyant bien excité lui aussi, je me suis jeté sur lui pour qu'il me prenne, étant tellement exalté par la situation.
Le lendemain, j'étais tellement stressé que j'ai failli rater mon RER. À 14h, j'allais me retrouver seul dans une salle vide avec un fantasme ambulant et j'allais devoir faire semblant d'être bête. J'ai passé la matinée à penser à l'après-midi, à me dire que j'allais réellement me faire coincer... J'avais plus trop faim le midi et mes collègues s'inquiétaient un peu. j'ai essayé de les rassurer comme j'ai pu et ils ont voulu rester avec moi l'après-midi pour réviser, mais je les en ai dissuader... je ne voulais pas qu'ils se méprennent sur le fait que j'allais rester seul avec lui et puis je ne voulais quand même pas partager ce moment avec quelqu'un d'autre aussi...
13h45 sur mon portable, je vapote à l'extérieur pour essayer de calmer les battements de mon coeur, j'ai des images tellement excitantes en tête que j'aurai peut être du aller me branler un peu pour faire redescendre la pression. Trop tard pour ça, quel con je suis, j'aurai du y penser. Je me dirige lentement vers la salle des profs, la peur au ventre et une semi-érection dans le pantalon que je cache tant bien que mal. Enfin, je me poste devant, il est 13h55, plus que 5 minutes avant ma descente aux enfers ou ma montée au paradis...
14h, la porte s'ouvre. Il est tellement sexy avec une belle chemise bordeaux, un jean légèrement délavé et moulant et son sourire toujours aussi beau... Ce n'est pas possible qu'un mec comme ça existe.
- Alors prêt à se donner à fond ?
- Euh oui, vous voulez qu'on aille où ?
- Suivez-moi, je connais une salle où on va pouvoir être au calme.
Je lui ai donc emboité le pas, le suivant jusqu'aux ascenseurs. Il faut dire que les salles de classe de notre formation sont basées au premier étage et il allait m'emmener dans les étages supérieurs, je me demandais vraiment pourquoi. On était entré dans l'ascenseur et il a appuyé sur le quatrième étage.
- Je préfère un bureau, pas besoin d'une grande salle de classe ou il y a trop de passage, ça pourrait nous gêner.
L'ambiance était étrange, j'étais stressé, mais troublé aussi. Je ne comprenais pas ce qu'il m'arrivait et cet ascenseur qui prenait son temps. Aucun de nous deux ne parlait et je ne savais pas vraiment quoi dire au final. Puis ce parfum qui prenait toute la cabine de l'ascenseur, j'en pouvais plus, j'avais tellement chaud.
- Vous allez bien, vous êtes encore tout rouge. J'espère que vous avez bien dormi cette nuit, car je vous ai préparé des exercices qui vont vous faire transpirer...
C'est moi ou ses propos sont assez tendancieux. Je me fais surement des idées, mais, parfois, de simples mots me font divaguer vers des pensées assez salaces. Au moment où je sors de ma rêverie, nous sommes enfin devant la salle. Il y a deux bureaux face à face dont un vide et un ordinateur sur l'autre.
- Installez-vous sur l'ordinateur, on va voir ce que l'on va pouvoir faire.
Je commence donc à sortir mes affaires, il fallait que je sois détaché sinon il allait voir mon trouble. Je devais ne penser qu'au cours, en tout cas j'allais essayer.
Au bout de 15 minutes, voyant que j'avais compris, il m'a laissé faire les exercices demandés et s'est installé sur l'autre bureau en face pour travailler sur des copies. Je lui jetais de temps en temps des regards discrets, mais me concentrais vite fait pour ne pas trop me disperser. Au bout d'une dizaine de minutes, ayant déjà fini les deux exercices demandés, je laisse trainer un peu le temps pour faire croire que j'ai quand même du mal. Je le vois jouer avec son stylo quand soudain, celui tombe sous son bureau. Il regarde en dessous et se tourne vers moi :
- Ah mince, est-ce que vous pourriez me ramasser le stylo s'il vous plait, il est de votre côté.
- Ah oui bien sur
Je m'exécute, passant sous le bureau. Je regarde par terre puis le ramasse. Lorsque mon regard se relève, je n'en crois pas mes yeux, il avait sorti sa queue de son pantalon et était en train de se caresser devant moi sous le bureau. L'odeur de sexe venait titiller mes narines et, perdant totalement le contrôle, je me suis lentement approché de cet objet de désir, j'étais en plein rêve c'est pas possible. j'avais la queue d'un de mes prof devant moi et quelle queue ! Elle n'était pas encore bandée à fond, mais elle faisait déjà dans les 15 cm et elle me paraissait bien épaisse. Moi qui ne suis pas fan des gros calibres, je ne sais pas si la sienne allait passer.
J'ai avancé ma main doucement pour la poser sur ce membre alléchant, puis ai commencé à le branler lentement. J'entendais des soupirs de satisfaction qui m'encourageaient à continuer.
- Ah enfin... Hummm
Hardis par la situation, j'ai avancé mes lèvres, les posant lentement sur le gland pour suçoter les premières gouttes de présperme, qui perlait de son méat. Sentant son sexe grandir encore, je commençais à le sucer, prenant bien le temps de jouer avec ma langue sur son gland. J'avais enfin la bête entière devant mes yeux. À vue de nez, j'aurai dit dans les 19 cm.
Il s'est ensuite levé, est allé fermer la porte à clé, a enlevé son pantalon puis s'est rassis, jambes écartée, plantant son regard dans le mien.
J'ai tout de suite compris que les choses sérieuses allaient commencer. Je me suis approché de lui, toujours à quatre pattes par terre, puis ai enfourné sa queue du mieux que je pouvais. J'avais quand même du mal, car elle était bien grosse, mais j'essayais d'en avaler le plus possible. Puis ses mains se sont posées sur ma tête et il a commencé à imposer son rythme, plus rapide, plus profond. J'en venais parfois à étouffer, mais il me laisser respirer de temps en temps. Il me baisait littéralement la bouche. J'ai essayé de défaire mon pantalon et il m'a enfoncé son pieu dans la gorge profondément.
- Je t'interdis de te toucher, tu as voulu ma queue, tu ne vas t'occuper que d'elle ! Depuis le temps que je vois tes lèvres qui ne demande que de la queue, tu vas être servis ma salope, je vais bien te faire téter ! Alors maintenant tu vas encaisser comme la bonne salope que tu es !
J'adorais cette situation, entre frustration et soumission. Je n'aime pas trop ça d'habitude, mais là, venant de lui, j'aurai dit oui à tout. Il m'enfonçait de plus en plus sa queue et restait au fond de ma gorge jusqu'à ce que je commence à avoir des haut-le-coeur. Je voyais sa queue suinter de ma salive et je m'appliquais le mieux que possible pour le satisfaire.
Il sortait parfois sa queue pour me frapper le visage avec pendant que je lui léchais ses couilles pleines de jus qui n'attendait qu'à sortir. Je voulais le sentir se vider en moi, je voulais gouter à sa semence, ce bon jus de mâle dominant. Il continuera de se branler pendant que j'enfournais ses couilles dans ma bouche, le regardant avec des yeux lubriques.
- Ah oui ma salope, je vois que tu aimes ça, tu le veux mon jus, tu veux te faire remplir la bouche comme la petite pute que tu es. Tu vas être servi mon petit.
Je le sentais de plus en plus excité, de plus en plus tendu... Il m'a attrapé les cheveux et m'a empalé sur sa queue d'un seul coup, m'étouffant au passage et après trois ou quatre allers-retours dans ma bouche, j'ai senti sa queue gonfler et cinq jets sont venus tapisser ma bouche. J'ai eu du mal à avaler la totalité et un filet s'est échappé de la commissure de mes lèvres. Il l'a récupéré avec ses doigts et me les a fait sucer puis m'a enfourné sa queue pour que je la nettoie.
- Bon, j'espère que l'exercice t'a permis de progresser, mais je sens que tu es bien doué dans cette matière. Je dois y aller, tu éteindras et tu fermeras la porte derrière toi.
Quoi ? Il allait me laisser là en plan... mais ce n'est pas juste et moi alors... Je le voyais se barrer de la pièce, moi toujours à genoux par terre. Je me suis relevé puis ai fermé l'ordinateur pour aller au premier étage me soulager dans les toilettes. Je me suis assis, sentant encore le gout de son sperme en bouche et j'ai commencé à me branler. Il n'a pas fallu longtemps pour que des jets de sperme partent dans tout les sens, s'écrasant surtout sur mon pull.. Ah mince, comment j'allais cacher ça moi.
J'ai essayé d'essuyer tant bien que mal puis je suis sorti, mettant de l'eau dessus pour faire disparaitre les traces. C'est à cet instant que quelqu'un est sorti de la cabine à côté de moi. Houla, j'espère que je n'ai pas poussé des gémissements trop fort. Je me concentre sur la tâche et ne regarde pas le mec qui s'approche pour se laver les mains.
- Alors on se fait une branlette après les cours à ce que je vois
Cette voix... Antoine
- Oh euh non ne pense pas que..
- Oh ne t'inquiète pas, ça m'est déjà arrivé aussi. Préviens-moi la prochaine fois, je viendrai peut être t'aider qui sait.
À suivre...
Matiti Yah
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