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Chapitre 4
Ma chambre est devenue un véritable donjon. La penderie regorge de matos bien hard. Le matelas est dans un coin, la cage dans un autre et un treillage au plafond va permettre de m'attacher dans toutes les positions pour subir les volontés de mes maîtres et de leurs invités. La douche à l'italienne servira aux trips uro plus qu'à ma douche. Toute la pièce est sous vidéo, je vois dans la demi pénombre les voyants rouges.
J'attends au garde-à-vous des lopes dos à la porte, résigné dans l'attente des sévices du Chef qui devient de plus en plus vicieux et hard. Force est de constater que j'aime ça. Je suis ici entre ses mains à ma place, ma bite en pleine érection me trahit.
La porte s'ouvre, le Chef me jette à terre et me roue de coups de pied bien sentis. Le passage à tabac dure, je bande toujours. " Debout ", il me plaque contre le mur en me filant des baffes, j'ai les larmes aux yeux, il sourit, un sourire carnassier. " Prends du poppers ". A peine j'ai rebouché la bouteille que je reçois un violent coup de genou dans les couilles puis suivent des baffes et des coups, mes balls sont bleues, je morfle. Il fait une pause, retire son débardeur, il est bien gaulé dans son jeans. Il allume une clope, me souffle la fumée dans la gueule tout en triturant un à un mes nibs. J'adore, quelle chienne je fais !
Le Chef se prend une bonne rasade de poppers et m'en file. Il me passe son mégot sur les seins, je hurle et bande toujours. Il choppe mes couilles et écrase la cigarette dessus. Il les serre jusqu'à ce que j'arrête de geindre. " C'est bien bâtard ! Va me faire à bouffer. " Pendant qu'il déjeune, je suis sous la table et suce sa putain de belle queue. " Arrête connard, tu vas me faire jouir. Range et file au donjon. "
L'attente n'est pas longue. Il me fait mettre les bracelets en cuir aux poignets et chevilles puis m'attache, bras et jambes écartés. Le Chef me met des poids aux couilles puis joue avec mes seins avant de m'y fixer des pinces bien hard. Il saisit un fouet et me dérouille sur le dos, le cul, le torse en visant les pinces, la correction s'achève par un mollard dans ma gueule et un poids sur les pinces. " Bonne sieste " et il file. Je me vois dans le miroir qui occupe tout le mur en face. J'ai le corps strié de marques. Mon reflet de lope me plaît, c'est cette condition que j'ai voulu, je dois assumer maintenant. Je réussis à m'endormir.
La porte claque. Le Chef est déjà devant moi, nu. Il joue avec les pinces puis les arrache. Je hurle. Il pince mes nibs, la douleur est atroce et excitante. Il me mollarde puis me détache. " A genoux, suce. " Je prends sa bite large qui prend toute ma gueule. Il me saisit la tête pour me forcer à un bon fond de gorge, plusieurs fois je manque de vomir. Je ne peux résister. Une mare de bave gicle à ses pieds. Il saisit un fouet, me bourre de coups " bouffe ". Je nettoie jusqu'à la dernière tâche. J'ai droit de nouveau à sa bite que je suce avec plaisir pendant qu'il me cingle le dos avec un martinet puis me il me travaille le cul bien hard. " A quatre pattes chienne sur le lit. " Il mollarde mon trou, depuis bien longtemps je n'ai plus droit au gel et m'enfonce à fond son chibre. La douleur passe et ses va et vient puissant me font kiffer grave. Il me retourne et poursuit en me filant des baffes et des mollards et il jouit sur ma gueule. Il s'écroule en sueur à côté de moi. Ses abdos bouge au rythme de sa respiration. Trop beau le Chef !
Le répit est de courte durée. Il me choppe et me jette dans la douche. " Nettoie ". J'astique sa queue, elle devient luisante sous mes coups de langue puis ses aisselles poilues et enfin je bois sa pisse puis nous nous lavons. " Tu ranges ce bordel (le donjon) et ma chambre pour accueillir tes futurs maîtres quand c'est fait tu me rejoins. " Il file se mettre au soleil.
J'astique à fond le matos puis le sol du donjon, à quatre pattes avec la serpillière et j'attaque la chambre du Chef. La valise est prête dans un coin, cela me file le blues. Qui sont ses maîtres qui vont arriver ? Je change les draps, nettoie tout, vérifie le frigo et y mets des bières et autres boissons.
Je rejoins le Chef qui bronze sur la terrasse. Il est au téléphone avec mes futurs maîtres j'imagine. Il parle comme si je n'étais pas là. Une fois raccroché, il vient vers moi, son slip de bain moule son paquet à merveille. " Tu mets un short et fous ma valise dans ma caisse et tu reviens là. " Au retour, je me prends une baffe, " A poil connard ! Va mettre un collier et les bracelets. ". Au retour, il m'attache au portail côté jardin, je suis bien cadenassé, mains dans le dos. Il me pisse dessus. " Tu as intérêt d'être bonne pute avec mes potes. Allez, à plus ! "
Je suis à poil, attaché, j'attends les deux militaires qui devraient aussi bien me pourrir ma vie de lope...
La suite bientôt, juste déçu par le peu de mail donc à voir.
Sinon, je suis à dispo d'un maître( s).
Mat2336
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