Un amant imaginaire
C’est une petite ferme reconvertie en chambres d’hôtes, l’établissement est tenu par un couple gay. Il y a 4 belles chambres et la plupart sont occupées.
Nous sommes trois à occuper une chambre chacun, l’une par un beau sportif, la deuxième par un photographe animalier, d’après ce qu’il dit et moi. Les propriétaires nous accueillent avec sympathie et le sourire aux lèvres, chaleureux.
Après avoir posé mes affaires, je reviens vers l’entré pour arriver à la salle à manger, nous sommes vers 19h et la fin de journée est agréable en cette fin d’été, et les jours sont de plus en plus courts.
La discussion s’installe et nous bavardons de tous et de rien, nous refessons le monde, je vois parfois des regards un peu soutenus, des sourires fuguasses que je renvois aussitôt. L’ambiance est vraiment très sympa, et je suis loin d’imaginer ma nuit.
Nous avions fini par un petit verre au salon, pour finir la soirée. Certains montaient déjà se coucher de leurs côtés et je me suis décidé à en faire de même après ces deux heures de routes.
Une fois dans ma chambre, j’allumais la lampe de chevet, la pénombre ne permettait pas trop de distinguer les différents meubles et surtout le chemin du lit.
Un coup de dentifrice et une petite douche avant de me mettre sous la couette et mon short pyjama. Je me couchais ensuite et après avoir éteint la lampe de chevet, je me retrouvais dans cette pénombre où mes yeux finir par s’habituer. Il y avait juste un petit rayon de lumière que la lune faisait passer au travers des volets a peine fermés.
Je devais certainement m’endormir, comme entre deux eaux, pas vraiment éveillé ni dans un sommeil profond. Je n’ai pas entendu la porte s’ouvrir, et juste quelques pats feutrés sur le parquet qui grinçait très peu, et je ne voyais pas mon visiteur, j’étais sur le côté, le dos à la porte dans ce grand lit bien confortable propice à une bonne nuit, et probablement à autre choses aussi.
J’ai senti une présence d’infiltrer sous la couette derrière moi, mon cœur palpitait ce qui m’a fait retrouver un semblant d’éveil. Je pense que c’était ce beau mec sportif car il avait l’air musclé, il était déjà nu et je pouvais sentir déjà ses mains chaudes caresser mon dos, des mains délicates qui parcouraient mon torse et mon sexe commençait à être à l’étroit dans ce short de nuit, l’excitation montait de plus en plus.
Cet amant se rapprochait et je sentais son sexe durci par le plaisir et le désir, il commençait déjà de faire des mouvements avec son basin et pouvait comprendre qu’il mouillait déjà bien. IL passa sa main droite que je pouvais sentir au travers de mon short, il avait les mains chaudes et puissantes, quant à son autre main, elle se positionnait devant moi sur mon torce par-dessus l’épaule et me caressait le téton ou le minçait très doucement. Son sexe faisait des sursauts. Sa main droite tirait mon short pour me l’enlever délicatement. Je pouvais entendre son souffle et ses gémissements qui me faisait des frissons et me sortait aussi des petits gémissements et mon souffle s’accélérait au fur et à mesure qu’il entreprenait son avancé. Je finissais par ne plus avoir mon short, qui se retrouva sur les genoux. sa bite passait le long de mes fesses, elle était chaude, très dure et humide, cela m’excitais encore plus de sentir cette barre de chaire. De temps en temps il s’arrêtait sur mon intimité et me branlait doucement en même temps où mon humidité rendait ma bite toutes glissante. Plus il s’arrêtait sur ma rondelle, et plus il poussait sa bite, très doucement et m’habitait petit à petit à son chibre qui ne demandait que d’entrer ce qui finit par arrivé avec son gland qui était déjà à l’intérieur, il faisait de petits va et vient pour faire pénétrer cet objet de désir. Plus il allait plus loin, et plus cela me donnait du plaisir, j’étais au paradis et j’attendais avec gourmandise et plaisir qu’il se retrouve complètement au fond. Avec tous ces va et vient, il finit par entrer complètement, où il s’arrêta comme pour reprendre de la vigueur, je senti mon petit cul à l’extase par cette bite de bonheur. Il commença ses allers retours, quel bonheur que de sentir son sexe qui me paraissait bien imposant, il avait des soubresauts, de temps en temps il faisait une pause pour mieux reprends son étreinte, j’étais aux anges, j’étais serré contre lui. Cette chevauché m’a parue durée une éternité, j’avais envie de plus, mais je sentais mon amant déverser sa semence avec plusieurs longs jets, ce qui m’a fait jouir juste après sans même me toucher. Il se posait un petit moment pour reprendre son souffle que je sentais encore dans la nuque, il m’embrassait depuis le début dans le coup, les oreilles et la nuque.
Il à fini par se retiré, je ne l’ai pas reconnu même après que l’on s’est allongé sur le dos, pour s’endormir profondément et très rapidement.
Le lendemain matin, je me réveillais seul, il avait qui ma chambre sans que je ne m’en rende compte. C’était presque un rêve, mais mon corp lui s’en souvenait bien.
Je fini par prendre une douche en pensant à cette nuit d’ivresse, pensées qui me redonnaient une bonne excitation pour un plaisir solitaire du matin.
Au petit déjeuner, je regardais discrètement les convives attablés, ils avaient les mêmes regardes et mêmes sourires que la veille. Reste à deviner qui était ce fougueux amant de nuit.
ReiveX
