Premier épisode
2 | Kévin se doute de quelque chose
L’année de première est passée à une vitesse folle ! Tout est allé tellement vite depuis cette soirée avec Julien lorsque j’étais en terminale. J’ai continué à gagner en performances et suivant ses conseils, j’ai commencé à faire de la muscu mais de manière intensive ! Pas de repos pour les braves : 2 h minimum par semaine. Avec des journées dédiées au travail de muscles particuliers afin que les autres puissent se reposer et croitrent ! et j’ai commencé à prendre pas mal de prots à ce moment ! et tout ça grâce à Julien qui payait les prots ! Ben oui au lycée, je n’avais pas assez d’argent pour en payer : heureusement que mon prof était là !
Et ce n’était pas que mon prof. Oui vous le savez, je vous ai raconté ma première fois… C’était avec lui !
D’ailleurs toute l’année de terminale, je n’ai pas fait que pousser de la fonte. Je poussais aussi ma bite dans son cul aussi souvent qu’on pouvait : sous la douche, dans les vestiaires, dans la salle de muscu, chez lui, etc… Je venais de découvrir le plaisir du sexe et je voulais en profiter au maximum !
En une année, mes cuisses, mes bras, mes pecs avaient bien grossis, je commençais à être très très bien dessiné : ce qui est vraiment pas mal quand on a 17 ans. Je me retrouvais avec pleins d’admiratrices et d’admirateurs… Kévin était de ceux-là.
« Tu es grave musclé Axel ! Tu as changé depuis que tu fais du sport intense avec Julien. Et pas que du sport, n’est-ce pas ? »
« De quoi tu veux parler ? »
« Ne fait pas l’innocent ! Je sais ! » me répondit-il d’un regard coquin et malicieux
« Tu sais quoi ? »
« Que tu t’es tapé Julien le prof de sport »
« Qu’est-ce que tu racontes ».
« Je vous ai entendu gémir il y a presque un an en mai ! Et cette année, je vous ai observé et je vous ai surpris en train de baiser plusieurs fois dans les vestiaires ou sous les douches… En fait tu es carrément gay Axel !»
Bon, pas besoin de faire un dessin : j’étais grillé auprès de Kévin ! Autant assumé après tout !
« OK, oui tu as raison, je baise Julien depuis presque un an ! »
« Wooowww, j’y crois pas ! tu assumes grave ! »
« Oui, en même temps j’ai pas trop le choix Kev ! »
« Tu m’impressionnes Axel ! »
« y a pas de quoi… »
« Tes parents le savent ? »
« Alors, en vrai oui, je leur ai annoncé que j’étais bi et que je flirté avec mon prof de sport en février dernier »
« ils l’ont pris comment ? »
« ils l’ont accepté facilement. En fait on est une famille assez ouverte sur le cul. On parle cul tout le temps et puis mes parents sont naturistes tu sais. En bref, j’ai de la chance… »
« Ha ouais trop cool tes parents ! Moi ils ont eu plus de mal à le reconnaître… Ils ont fait la gueule pendant presque un an ».
« Tu n’as pas de chance mec ! »
« non, je ne suis pas comme toi.. et du coup tu te tapes Julien ou c’est Julien qui t’encules ? »
« Tu veux savoir si je suis plutôt actif ou passif Kev ? »
« Ouep c’est l’idée ! » Il ne perd pas le nord Kévin !
« Eh bien j’ai toujours été actif »
« Ha mais c’est super ça !! »
« … » « ??? »
« Oui… ah pardon, je voulais dire c’est cool ouep. Tu fais bien mâle en tout cas »
« Tu veux ma bite, c’est ça Kev ? »
« Elle est plutôt grosse ta bite, non ? t’a du remarqué que je la mesurais du regard sous les douches après le sport… Combien de cm ? + de 22 je dirais, non ? »
« 25 cm »
« Ouep je me disais bien que ce devait être qqch comme ça… tu es méga bien membré !»
« Ben ecoute, je peux t’en montrer plus ce soir si tu viens chez moi. Mes parents ne sont pas là… On se dit 19h ? »
« Allez vendu »
Je rentrais tranquillement du lycée. J’étais trop bien. On était vendredi, et j’allais sûrement me taper mon meilleur pote… Comment va le prendre Julien au fait… Après tout, je n’étais pas en couple avec lui, et j’avoue que Kévin m’attirait bien. Il m’avait sûrement beaucoup maté comme d’autres sous les douches mais j’en avais profité pour mater son cul et je dois avouer que ce mec m’attire…
18h55. Je regarde par la fenêtre et je vois Kévin arrivé en débardeur, short et en sac à dos. Je m’étais préparé à l’accueillir. Je sortais juste de la douche et j’avais enfilé un short de sport assez collant et un débardeur. Je n’avais pas mis de sous vet. Kévin sonne au portail, je traverse le jardin pour lui ouvrir.
« Salut mec »
« Salut Axel » On se tape la bise en étant un peu intimidé sachant pertinemment ce qui allait se passer dans quelques minutes…
Aussitôt rentré dans la maison, Kévin se déchausse, pose son sac à dos et me saute au cou. Il m’enlace de ses bras et me fais un baiser sur la bouche. Je lui rend l’embrassade, en plaquant mes mains sur ses fesses, je sors ma langue qui force entre ses lèvres et pénètre dans sa bouche. On reste bien 10 minutes à se caresser et à se rouler des pelles. Nos deux sexes dans le short commencent à bander très rapidement et ils se frottent l’un contre l’autre à travers les shorts. Au bout d’un moment, Kévin se détache de moi, enlève son débardeur, fait tomber son short et son boxer et se retrouve complètement à poil. Il s’approche de moi et enlève mon débardeur. Il se met à me faire des bisous sur tout mon corps, l’angle du cou, les épaules, mes pecs, mes pecs encore, mes tétons, mes abdos, mon nombril. Arrivé là, il glisse une main dans mon short et se rend compte que je n’ai pas de sous vet.
« Ah oui ! tu t’étais préparé Axel ! C’est marrant moi aussi ! Je me suis lavé pendant 1h ! J’ai le cul bien propre et je voudrais que tu me le lèches ! »
« Je n’ai jamais fait ça mais OK »
« Julien ne s’est jamais fait lécher la rondelle ! Ha trop content ! en plus tu pourras lui apprendre un truc grâce à moi !! »
Kevin se met nu à 4 pattes sur le canapé, les bras appuyés sur le dossier. Il cambre son cul et écarte ses cuisses puis se tourne vers moi en tirant sa langue et en la faisant frétiller. Je suis hypnotisé par son anus. Pas un poil, une rondelle rose-rouge toute lisse et brillante. Je me mets à genoux, sort ma langue et commence à toucher son trou avec la pointe de ma langue. Je lui lèche le trou, je le salive. Je plaque ma langue dans sa raie et ramone bien tout ça à grands coups de langue. Kevin mouille du cul. Sa mouille a un super bon goût et je hâpe tout ça avec ma langue tellement c’est bon. Kévin n’arrête pas de gémir et de redemander des coups de langue. Je découvre alors que son trou s’ouvre de plus en plus et que je peux vraiment y mettre ma langue dedans et lui rouler une pelle. Je lui roule carrément une pelle à son anus. Je kiffe sa mouille. Je prends vraiment goût à lui dévorer le cul et ça me fait bander bien fort. Mon sexe est bien dur quoi, 25 cm par 5 bien raide. Kevin se retourne, se relève et le gobe d’un seul coup direct en gorge profonde. Il se met à me sucer. Il me suce. Il me suce en me massant les couilles. Il me tète. Il me tète vraiment comme si sa vie en dépendait. Au bout de quelques minutes, je redresse Kévin, le mets à 4 pattes sur le canap. Je déroule une Kpote XXL sur mon gros pénis et je mets du gel. Puis, je le rentre doucement, mais tout doucement jusqu’au fond de Kévin. Cash quoi. Je commence à donner des coups de reins. Des petits coups de reins mais bien au fond de Kev. Avant de commencer mes vas et vients avec de grandes grandes cadences. Nous étions en train de niker, de se faire plaize. C’est méga bon. Je sens l’anus de Kévin serrer ma queue sur toute sa longueur au fur et à mesure que je la sors et que je la re-rentre dans son cul. Kev gémis de plaisir. La bouche grande ouverte, il crie son plaisir. Il kiffe grave on dirait :
« Axel !!! ta queue est tellement grosse ! C’est divin !! Tu es en train de me déchirer le cul mec ! mais qu’est ce que c’est bon… Vas-y, montre-moi que tu es un bon mâle ! »
« Tu es vraiment une salope en fait Kévin »
« tu en doutais ? »
« Non, je te voyais me mater sous la douche et j’espérais bien que je pourrais te tringler comme une chienne un jour ! »
« Oh oui, je veux être ta chienne Axel ! Ta bite en moi pour toujours !!! »
Dans les soubresauts de notre partie de sexe, je me retire du cul de Kévin et lâche la purée sur son torse. Enfin, je croyais que ça atterrirait sur son torse, mais c’est partie plus lojn que prévu… sur sa tête et sur le dossier du canapé…
« Wooo C’était trop bien Axel ! Je veux être ton amant ! »
« Tu l’es déjà Kev » je lui réponds en faisant un clin d’œil
« Trop bonne cette journée ! »
« tu viens me sucer la queue ? Enfin si ça ne te dérange pas de goûter aussi à ton jus de chatte ».
« j’ai jamais fait mais ouais ! »
Kevin prend alors mon sexe en main. Il commence à débander mais à encore une bonne masse et un bon volume. Mes couilles pendent plus que jamais vers le bas. Kévin met des coups de langues sur mon gland puis finit par prendre ma bite en bouche. Il me pompe le dard comme un affamé. Comme s’il n’en avait pas assez eu dans le cul il n’y a même pas 3 minutes…
« Attends Kev, je crois que je vais renvoyer la sauce »
« … »
« Kev, attend, laisse moi la sortir, je vais juter »
« … »
« KEV ! Arrête tes conneries, je vais… »
« … »
« trop tard !!! Aaaahhhhhhhhh. Putain que c’est bon ! T’es vraiment une cochonne qui tète jusqu’au jus «
« j’aime trop ton foutre Axel » me répond-il la bouche pleine de mon sperme.
Kevin avale et vient se coller à moi pour me rouler une pelle. C’est la première fois que je goûte mon propre jus. Et c’est vrai que c’est pas désagréable de découvrir son goût avec un beau mec comme Kévin blottit contre moi…
On a fini par passer la nuit ensemble, nus, nos deux corps l’un contre l’autre. Je reçois un texto de Julien qui me demande si je passe ce soir. Je lui répond par texto pendant que Kévin s’est endormi dans mon lit à côté de moi. Je lui raconte tout… Il ne le prend pas mal et me dit de profiter. Que c’est cool aussi que je baise avec des mecs de mon âge. Il est assez ouvert niveau cul Julien. Un peu comme mes parents mais pas comme les voisins, c’est clair. En effet, vers 21h, j’entends sonner. Ce ne peut pas être mes parents car ils ne rentrent que le lendemain. Je laisse Kévin dormir, et enfile mon short rapidement. Je descends rapidement pour ouvrir.
« Bonjour Axel » dit le voisin.
« Bonjour Jean-Marc, il est tard, que puis-je faire pour toi ? »
« Je venais voir si tout allé bien, car ma femme et moi avons entendu crier il y a une heure de cela »
« Ha »
« Rien de grave, j’espère ? »
« non rien de grave Jean-Marc, j’avais ramené quelqu’un pendant que mes parents n’étaient pas là. Désolé de vous avoir déranger… »
« Ha excuse moi » Jean-Marc devient tout rouge devant la situation embarrassante. Il y avait beaucoup de bruits, désolé, mais si c’était pour une bonne cause alors me voila rassuré » réussit-il à bafouiller…
« Désolé Jean-Marc »
Jean-Marc se ressaisit et dit : « Mais Axel, tu ne préférais pas les garçons ? »
« Si tout a fait, et j’étais avec un garçon justement »
Jean-Marc interdit et vraiment très mal à l’aise : « OK, je ne dérange pas plus… Bonne fin de soirée Axel »
« Bonne fin de soirée Jean-Marc »
Je me disais en moi-même : quel curieux ce Jean-Marc, je pense qu’il n’aura pas été déçu du déplacement… Les voisins sont parfois un peu bêtes… Je retournais auprès de Kévin, il s’était réveillé.
« C’était qui ? »
« le voisin »
« Il voulait quoi ? »
« Dire que l’on avait fait trop de bruits »
« ha merde, désolé »
« non, t’inquiète, c’est pas grave »
« on peut remettre ça alors ? »
« Allez ! mets toi en position ! »
« Ok, mais je veux que tu me fécondes »
« sans Kpot tu veux dire »
« Ouais, t’inquiètes, je me suis fait testé il y a trois jours et j’ai pas eu de relation depuis. »
« je peux voir »
« oui »
Kévin sort le reçu du labo et me le montre, et effectivement il est en parfaite santé
« OK, mec, je te féconde ! ce sera une première pour moi ! »
« je suis super content d’être ton premier ! »
« en position Kévin ! »
« OK »
Sur ces mots, Kévin se met à 4 pattes sur le lit. Je fais tomber mon short. Ma queue est déjà bien raide et pointe vers le cul de Kev. Je prends une noix de gel dans ma table de nuit, et me caresse le gland avec. Avec les restes de gel sur les doigts, j’en profite pour caresser avec le bout des doigts l’anus de Kévin qui se remet à gémir. Je lui caresse l’intérieur des cuisses avec mon autre main. J’introduis alors mon gland en lui. Je m’attends à rencontrer de la résistance au bout de ma queue mais il n’en est rien et elle s’insère beaucoup plus rapidement que prévu : d’un seul coup.
« Ahhhh ! mais tu y es allé direct ! je te rappelle que ta queue n'est pas petite Axel ! fais gaffe ! »
« ça rentre comme dans du beurre ! »
« facile à dire pour toi ! mais c’est vrai que c’est bon ! »
« Ha tu vois ! Je vais bien te limer, mec ! »
« Fais moi un bébé Axel ! »
« mdr »
Là, je prends mon pied. Je baise mon meilleur pote. Je le nike, je le défonce. Je suis en mode mâle alpha. J’ai qu’une envie, c’est de juter dans son cul et de déverser un maximum de mon foutre en lui. Je le baise, je le baise, je le ramone, j’en profite pour écarter ses fesses de temps en temps. Il gémit, il n'arrête pas de dire que c’est trop bon, qu’il aime la queue, qu’il aime ma queue, qu’il veut mon jus, que j’envoie la sauce. Je continue a bien le niker, bien profond, à lui écarter son cul à chaque fois…
Pris dans l’action, on ne se rend pas compte qu’il y a du bruit, puis, tout à coup la porte de la chambre s’ouvre en grand. C’est mon père qui apparaît.
« Oh pardon, Axel, nous sommes rentrés, a demain »
La porte se referme. Kévin est un peu géné.
« On fait quoi ? c’est chaud !! »
« oui, c’est chaud, faut continuer à battre le fer tant qu’il est chaud »
« mais on s’est fait capté »
« et alors ? au moins on aura une bonne raison d’en discuter demain »
Je reprends où j’en étais resté c’est-à-dire dans le cul de kévin. Je continue à le niker, à le baiser, à le faire gémir quoi. Je le cartonne. Il continue à crier. Puis bien planter dans son cul, j’envoie la dose. Des frissons me parcourent tout le dos pendant que j’éjacule en lui ! C’est tellement bon que moi aussi, je râle de plaisir. On finit par s’endormir tout plein de foutre dans les bras l’un de l’autre.
Le lendemain matin, on se prend une petite douche et on descend pour déjeuner. Mes parents font des allusions salaces en disant qu’ils n’ont pas pu trop dormir, que les voisins ont fait du bruits, etc… On déjeune et on rigole même si c’est assez gênant pour Kévin qui devient rouge comme une tomate dès que mon père ou ma mère font allusion à la nuit passée. J’éclate de rire à chaque fois que Kévin rougit. Ben oui, on s’est fait griller, autant assumer ! On n’a pas trop le choix en même temps ! Mais je reconnais que j’ai des parents cool ! Puis à chaque fois que Kévin rougit il est BG : il est mignon Kévin quand il est embarrassé.
15 jours plus tard, Julien, Kévin et moi on se retrouvait sur la terrasse d’un café (notre bar en fait) en train de faire le bilan sur cette découverte de jeu de sexe entre potes.
Axel31
