Saison 1
Chapitre 1
Tout ce que je vais vous raconter est vrai. Toutefois, la mémoire étant oublieuse, il est possible que certains faits ne soient pas racontés dans un ordre chronologique parfait mais l’intensité des rapports sexuels et leur nombre sont justes. A une certaine période, ma vie sexuelle était trépidante et le nombre de rapport journalier si nombreux que les dix doigts ne suffisaient pas à en faire le compte. J’étais une lope, une vraie mais totalement consentante et avide de plaisirs. Si je vous narre cette histoire, bien qu’elle soit postérieure de quelques années au début de ma vie homosexuelle, c’est parce qu’elle fut l’une des plus intenses et l’une des plus représentatives de ma vie sexuelle pendant une très longue période.
Je m’appelle Luc. A l’époque où commence cette histoire, j’avais 20 ans. J’étais étudiant en droit à la fac de Bordeaux et comme tous les étés, je cherchais un stage chez un avocat pour apprendre les rudiments du métier.
Depuis plusieurs années, je vivais en couple avec Stéphane et mon homosexualité, quoique totalement assumée, ne se voyait pas au premier regard. Rien ne le laissait présumer dans mon attitude. Certes, j’attirais les hommes de façon naturelle du fait de mon physique et en général, des hommes plus âgés que moi. L’appât de la jeunesse probablement. Et n’étant pas farouche, je cédais facilement aux tentations avec le consentement de Stéphane qui n’hésitait pas à me partager dès qu’une occasion se présentait. Vous l’aurez compris, j’étais plutôt passif et assez chaud du cul. J’avais un goût immodéré pour la bite et les sentir au plus profond de moi était toujours un plaisir renouvelé. Mon côté « salope » y trouvait son compte. Quoiqu’encore assez jeune, j’avais déjà connu de multiples et très nombreuses expériences et avais goûté à tous les plaisirs : duo, trio, gang bang, abattage, double sodo, gorge profonde, uro, fist, etc… J’avais donc une certaine expérience sinon une expérience certaine de la baise homo.
Donc, cet été-là, j’avais trouvé un stage chez un avocat d’affaires. Proche de la quarantaine, il entretenait son physique et respirait à plein nez le mâle alpha chargé de testostérone. Dès notre première entrevue, je fus envoûté et je pense que lui aussi, même si rien ne se passa sinon, de ma part, quelques regards furtifs vers son entrejambe ce qui ne lui échappa pas. Ce jour-là, il était en blazer et jean et ses formes se laissaient facilement deviner derrière la braguette qui lui moulait parfaitement le sexe. Mon regard était donc irrésistiblement attiré vers cette bosse qui laissait sous-entendre des voluptés à découvrir.
C’est quelques jours plus tard que tout commença. Sous prétexte d’un dossier à étudier, il me convoqua dans son bureau. Après les salutations d’usage, il me fit asseoir et pour mieux me dominer se plaça juste devant moi en appui sur son bureau. La position était idéale. Sa braguette juste devant mes yeux attirait mon regard comme un aimant et il m’était impossible de l’en détacher tellement la bosse était appétissante. Il aurait fallu qu’il soit aveugle pour ne pas s’en rendre compte. Je réussis malgré tout, dans un moment de lucidité, à relever mon regard vers lui. Un sourire narquois illuminait son beau visage. Décroisant les bras, il me prit le menton m’obligeant à le fixer. Cette première approche physique électrisa mes sens et sans détour il me demanda :
- Je constate que tu as une certaine attirance pour un endroit particulier de mon anatomie. Me trompe-je ? Fit-il en accompagnant sa remarque d’un sourire à faire craquer toutes les midinettes en chaleur.
- Euh… pardon. Excusez-moi… lui répondis-je, gêné par sa question et ne sachant quoi répondre.
- Mets tes pudeurs de côté, mon garçon ! Je vois bien que tu me zyeutes la bite et t’inquiète pas, j’en suis aussi.
Décontenancé par cette réponse à laquelle je ne m’attendais pas, je rougis comme une pucelle mais instantanément, ma rondelle se rappela à moi et se mit à frétiller. Lentement, il approcha son visage du mien et se mit à m’embrasser tendrement puis goulûment. Il cherchait probablement à tester ma résistance à ses charmes. Voyant que je n’étais guère farouche, d’un geste qui ne souffrait aucune contestation, il prit ma main et la posa sur sa queue.
- Je sais que tu n’attends que cela et d’une certaine façon, moi aussi. Dès notre première rencontre, j’ai su ou plutôt senti que tu étais un petit pédé. Ça se sent ces choses-là, surtout quand on l’est soi-même. Alors, vas-y et applique toi !
Je n’en demandais pas tant et joignant la parole au geste, je lui répliquais :
- Vous avez de l’intuition, maître. Et vous êtes tombé juste. En effet, je suis un petit et jeune pédé et j’adore ça.
- Pas besoin de le dire, ça se voit au premier coup d’œil pour l’habitué que je suis. Et puisque tu m’appelles Maître, tu continueras. Ok ?
- Bien Maître.
- C’est parfait. Tu comprends vite.
- Si vous me permettez une question Maitre… je vous croyais hétéro ?
- Eh bien non, vois-tu ? Je suis pédé des orteils jusqu’à la racine des cheveux et je crois que je le serai jusqu’à la fin de ma vie. Mes expériences féminines n’ont jamais été très concluantes et leur corps ne m’attire plus. Je préfère celui des mecs, d’autant plus qu’ils sont souvent plus libérés du côté sexuel et qu’en chacun d’eux sommeille une bonne salope. Surtout chez les petits minets dans ton genre.
L’utilisation de ce mot de « salope » dans sa bouche me fit l’effet d’une douche chaude. Le décalage entre son allure et ce mot détonait, mais laissait percevoir chez lui une touche de vice qui me plût immédiatement. Je sentis qu’entre nous, le langage pouvait enfin se libérer des conventions du « bien parler » et sombrer rapidement dans une grossièreté excitante.
Avant même que je puisse lui répondre, il reprit :
- Mais arrêtons de parler de moi ! Parle-moi de toi. Tu es pédé depuis longtemps ?
- Depuis mes 18 ans. C’est mon colocataire qui est devenu mon amant qui m’a fait découvrir ma vraie nature et depuis j’enchaine les expériences.
- Quoi comme genre d’expérience ?
- Un peu tout : duo, trio, gang bang, double sodo, uro, fist, etc…
- Ok je vois. Un peu salope sur les bords si je comprends bien ?
- Un peu beaucoup, Maître, fis-je en lui envoyant mon plus beau sourire coquin.
- Voilà qui promet. Tu me plais de plus en plus. Et tu as un copain ?
- Oui Maître, mais il adore que je me fasse baiser par d’autres. Ce n’est pas un problème.
- Vu le morceau de choix que j’ai devant moi, le contraire m’eut étonné. Je sens que nous allons passer de bons moments ensemble, si tu es d’accord.
- Oh oui Maitre. Bien sûr que je suis d’accord.
- Tu aimes les mots cochons aussi, voire te faire traiter en femelle ?
- Oui Maître, j’adore.
- Super, tout ça.
Pendant cette courte discussion, je continuais à lui malaxer la queue au travers de son jean et je sentais son gourdin prendre de l’ampleur. Soudain, il mit sa main derrière ma nuque et m’obligea à lui lécher la braguette. J’adorais être soumis et aussitôt devant ce geste autoritaire, ma chatte se mit à mouiller. Malheureusement - quoi que… vu la suite -, le téléphone sonna et je dus interrompre mon léchage mais lui ne l’entendait pas ainsi. D’un geste sans ambiguïté, il me fit signe de m’installer sous son bureau pour continuer mon œuvre ce que je fis sans aucune résistance, trop excité par la situation.
Donc lentement, je continuais à lui malaxer le chibre avec ma bouche au travers du tissu tendu. Toujours prêt à prendre des initiatives, je décidais de libérer sa tension et lentement descendais sa braguette pour en extraire le membre turgescent qui n’attendait que cela. Cette initiative eut l’heur de lui plaire car pour être plus à l’aise, il défit sa ceinture. Aussitôt, sa bite me sauta au visage. Une bite de 22 cm environ avec un gland bien dessiné. Je m’empressais de la prendre en bouche et je sentis que mes coups de langue lui plaisaient. Sa respiration s’accéléra et sa conversation en devint légèrement différente, un tantinet haletante. De toute évidence, il avait hâte qu’elle se termine pour mieux apprécier l’instant présent. Rapidement, il y mit fin en renvoyant son interlocuteur à un prochain rendez-vous téléphonique.
- Humm, tu suces comme une reine ! Vas-y bien à fond comme j’aime.
Sans me faire prier, j’avalais son pieu au maximum de mes capacités.
La situation était d’autant plus excitante qu’une secrétaire pouvait arriver à n’importe quel moment mais vu son bureau, je resterai invisible. Et cela arriva bien sûr. Dès les coups frappés à sa porte, il avança sa chaise pour cacher à la vue de sa secrétaire ce qui se tramait sous son bureau. L’espace devint pour moi très étroit mais suffisant pour continuer mon office. Elle n’y vit que du feu et après lui avoir porté son courrier à signer s’éclipsa sans savoir que son patron chéri était en train de se faire turluter le jonc par une autre salope. Je bandais à mort et mouillais comme une truie. N’y tenant plus, j’avais sorti ma queue et me paluchais comme un malade. Dès qu’elle fut partie, il recula sa chaise pour me donner plus d’aise et me voyant me branler m’intima l’ordre d’arrêter et de tout remballer.
- Tu n’es pas là pour ton plaisir mais pour le mien. Compris ?
- Oui Maitre, j’ai compris.
- Parfait. Continue.
Il avait raison. J’étais là pour son plaisir et mon sens du sacrifice y trouva son compte. J’adorais être utilisé comme un objet sexuel, une bouche, un cul au service de la bite. C’est ainsi que me traitait Stéphane le plus souvent et c’est ainsi que j’aimais être traité.
Rapidement, m’appliquant au mieux, je sentis qu’il allait jouir et plusieurs giclées vinrent tapisser mon palais de son jus épais. Comme toute bonne salope, j’avalais tout ce que je pouvais.
- Non seulement, tu suces comme une déesse mais en plus, tu avales comme une bonne pute. De mieux en mieux. Tu me plais vraiment, petite salope, et je vais bien en profiter, crois-moi.
- Autant que vous le voudrez, Maître.
- Parfait, parfait. Finis de me nettoyer la bite et après reviens t’asseoir en face de moi pendant que je remets de l’ordre dans ma tenue.
Comme toujours, je m’appliquais et lui nettoyais le reste de jus qui coulait le long de son chibre.
- Je pense que nous allons devoir régler quelques points. Je suis un homme de droit et j’aime bien passer des contrats. Rien de tel pour bien cadrer les relations et éviter tout problème. Par contre avant, j’aimerais bien tester tes autres talents. Je n’en ai eu qu’un petit aperçu aujourd’hui. Il est 15 heures. Je te propose que tu reviennes ce soir vers 18 heures, ici dans mon bureau pour que je puisse apprécier tes autres dons. D’accord ?
- Oui, Maître. A votre service, Maître.
- Parfait. Au boulot maintenant.
C’est ainsi qu’il me congédia. Dès que je le pus, j’appelai Stéphane pour lui dire que je serai en retard le soir même et que j’aurais beaucoup de choses à lui raconter.
Luc
