9 heures l'on sonne à ma porte, j'ouvre, un petit jeune d’une vingtaine d’années, bonnet sur la tête d’où ressorte des mèches de cheveux bruns et bouclés avec du matériel, se trouve sur le seuil :
- Bonjour madame, heu pardon monsieur.
Dit-il d’un ton gêné, il est vrai que je suis en robe de chambre en soie de couleur rose et avec mon visage imberbe et efféminé il arrive qu’on m’appelle madame.
- Ce n’est pas grave, cela ne me dérange pas, c’est pourquoi ?
- Et bien je viens pour le ramonage de votre cheminée.
- Ah oui c’est vrai, entre.
J’avais oublié que l’on devait passer pour le ramonage de ma cheminée. Je l’amène dans mon salon, il s’approche et voit 2 gods que j’ai mis en décoration avec d’autres objets sur ma cheminée. Le garçon sourit et me jette un regard coquin, il a deviné mon orientation sexuel. Je le trouve mignon avec son bonnet et son petit nez retroussé, il est râblé et des cuisses arquées, signe que le garçon doit être bien couillu.
Je le laisse à son chantier et vais dans la cuisine finir mon petit déjeuner. Je reviens dans mon salon et m’assied dans un fauteuil. Je le regarde ramoner la cheminée, j’imagine que ce bogosse à un gros manche dans le caleçon et qu’avec il ramone ma cheminée intime.
Il me dit :
- J’en ai pas pour longtemps, m’sieur.
- Tu peux m’appeler Gilou, c'est aussi tantouze Gilou pour les intimes. Dis-je de ma petite voix de grosse pédale.
Le garçon retourne sa tête et sourit d’un air narquois en me regardant. Il finit son ramonage, je lui demande :
- C’est pas trop dur comme métier ?
- Ça va, et puis il m’arrive des aventures.
- Des aventures ?
- Oui des vieilles fiottes qui me font des gâteries, j’aime bien baisé les fions des fiottasses.
- Ah oui, tu sais que tu m’intéresse. Dis-je avec envie.
- Ça j’ai compris. Dit-il d’un ton malicieux.
Il a fini, range son matériel et me regarde les mains sur les hanches. Je me lance décidé de ne pas laisser partir ce bogosse qui aime bien baiser des vieilles pédales.
- Je peux te faire une gâterie, puisque t’aime ça.
- Pourquoi pas, j’ai une heure à perdre avant mon prochain rendez-vous.
- Approche mon chéri.
Le petit ramoneur se positionne devant moi toujours assis dans le fauteuil, je dégrafe son jean et le baisse, j’embrasse son caleçon moulant et hume sa virilité, je sens sa bite s’épaissir, je baisse son caleçon libérant une belle bite. Le garçon est bien monté et bien couillu comme je le pressentais.
Je lèche sa bite, son gros gland décalotté, baisse un peu plus son caleçon pour bouffer ses grosses couilles. Je le pompe, il a un pubis bien poilu, j’arrête de pomper pour respirer, j’embrasse ses abdos puis le suce de nouveau en palpant ses grosses baloches. Il retire son tee-shirt, il à un beau torse athlétique et imberbe.
Je lève les yeux, il me regarde en souriant, les mains sur ses hanches. Je lui fait des gorges profondes qu’il apprécie en murmurant «c’est bon grosse salope »
J’arrête pour reprendre mon souffle et lui dit en le branlant :
- Ramone ma cheminée intime avec ton gros manche.
- Tu veux que je t’encule ?
- Ben oui.
- Met toi contre la cheminée je vais m’occuper de ton fion grosse fiotte.
Je me lève, retire ma robe de chambre et mon string, m’installe devant la cheminée.
Il prend un god et du gel sur le rebord de la cheminée et me demande d’écarter mes fesses. Il me doigte le cul avant d’insérer le god, il l’enfonce petit à petit en le tournant, je gémis. Il me ramone et me dit en claquant une de mes fesses avec sa main libre :
- T’aimes ça la tantouze de faire goder le cul.
- Oui c’est bon.
- Je vais te défoncer le fion avec ma grosse queue.
- Ah oui baise moi.
Il retire le god, je sens son gros gland se frotter contre la raie de mon cul, il pénètre sans difficulté mon anus déjà lubrifié et dilaté. Il est entièrement en moi, il se retire et me re-pénètre d’un coup. Je gémis fortement, il me ramone par des coups de reins saccadés, j’ai l’impression que mon cul va exploser.
Je l’entends souffler dans mon dos ses mains appuyés sur mes épaules, il se retire et re baise mon cul, ses coups de reins s’accélèrent. Il jouit en moi, se retire, je ressens comme un grand vide dans mon fondement, son sperme coule le long de mes cuisses.
- Alors la grosse fiotte, je t’ai bien ramoné le fion ?
- Oui c’était bon.
Dis-je en l’embrassant sur une joue.
Le petit ramoneur se rhabille après avoir essuyé sa belle biroute.
- Je dois y aller pour mon prochain rendez-vous.
- Au fait, c’est comment ton petit nom.
- Théo.
- On se reverra
- Si tu veux mais se sera payant, et je suis pas toujours dispo j’ai d’autres vielles fiottes à baiser.
- Pas de problème.
Le petit Théo me quitte en me donnant son 06.
Je vais prendre une douche, me nettoie le cul en faisant gicler l’eau de la pomme de la douche contre mes fesses, j’aime ça sentir l’eau gicler contre ma raie du cul.
Je branle ma petite bite et jouis rapidement en pensant à Théo ce beau petit brun qui m’a bien défoncer le cul.
Gilou
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