1er Épisode | Épisode précédent
Loïs 6 : Déplacement en Suisse
Sasha a reçu la nouvelle demande de sa suissesse. Alors qu’habituellement elle use de nos services sur Paris où maintenant au château, elle demande une « intervention » en suisse chez elle. Enfin chez eux puisque son mari sera de la partie.
Elle me veut avec un second escort qu’elle veut Bi aussi et jeune comme moi. Pour faire un essai. Sasha leur propose Yanis son dernier Bo-Frère en date (le propre frère de Jérèm). Il a tout juste 18ans mais est plus expérimenté que moi car arrivé plus tôt au Blockhaus !! Je le connais j’ai même déjà baisé avec lors qu’une mini-touze de fin d’entrainement. Je n’aurai pas de mal à bander à ses côtés 😊
Sasha planifie cela la première semaine complète de libre que nous avons en commun. Vu le délai j’ai le temps de me faire percer l’oreille. Le Tatoueur de Sasha qui me fait ce piercing est un vrai pro et j’ai juste la sensation d’une piqure d’épingle alors qu’il m’enfile un anneau en inox d’1,2mm de diamètre (le fil pas l’anneau !!). Je la fais faire à mon oreille droite comme Sasha. Je cicatrise bien et 3 semaines plus tard, l’anneau glisse parfaitement. Jérem lui se l’ai fait faire plus tôt et pique dans les bijoux de Sasha.
Entre cette oreille et mon rapprochement avec Tilian et Anne qui ne cachent pas leur relation homo, je suis catalogué par l’encadrement du lycée comme tel. Je m’en fous complètement. Mes collègues d’étude savent que j’aime baiser des meufs. Maintenant ils savent que j’aime baiser des meufs aussi ! Côté famille, c’est mon petit frère qui a le plus tiqué et plus à mon travail sur mes poils que sur mon oreille percée. Il est à un âge où le poil est important pour assoir sa virilité devant les jeunes meufs qu’il tente de baiser et/ou qu’il baise. Mais il me respecte vu que la première meuf qu’il a baisée c’est moi qui lui aie mis entre les mains ! Et j’ai même pris soin de lui montrer comment ça marchait 😉.
En attendant nous sommes attendu à l’aéroport de Genève.
Sasha nous coache pour le voyage. Passeports, pass sanitaires (nos sommes OK depuis que les vaccins sont arrivés. Nous avons reçu la 2ème dose 15j avant notre départ. Bagages : ce que nous devons mettre dans nos valises et nos sacs de cabine. Argent liquide en Francs suisses, moyen de communication, smartphone pro + PC… tout y passe. Pour le sexe, il nous laisse gérer. J’ai pratiqué la cliente mais pas encore les mecs et Yanis c’est l’inverse, il a déjà « Escorté » des mecs mais pas de meufs, même s’il sait faire.
Quand je confie à Sasha qu’on est peut-être un peu léger sur le coup. Il me rassure que c’est aussi pour cela que la cliente et son mari nous désirent. Il nous a d’ailleurs fait quand même passer par les enchères. J’ai fait aussi bien que pour ma première et Yanis aussi pour qui c’était une première « meufs ». Mais là, on tape dans le très, très haut de la clientèle.
Le vol vers Genève en 1ère est justement une première pour moi et pour Yanis. On détonne un peu parmi les hommes et femmes d’affaires avec nos jeans même s’ils sont de marque. Par contre le service nous traite pareil. On se fait draguer par le steward et même l’hôtesse de l’air. L’appréhension de ce qui nous attend nous retient d’en profiter. Le vol est court et nous sommes déjà à récupérer nos valises.
Alors que je m’attendais à voir la cliente, on tombe sur un chauffeur qui tient entre ses mains un panneau avec nos deux noms. Emmenés vers une grosse limousine, je note que nous pénétrons dans une Maybach. Une fois installés le chauffeur nous explique qu’il va nous conduire jusqu’à Monsieur et Madame, dans leur villa sur le bord du lac à ¾ heure de Genève. Puis il ferme la vitre de séparation.
Avec Yanis on est stupéfaits par le luxe : cuir bien sûr, télévision, champagne (auquel nous ne touchons pas), cigares (pas plus) … le temps passe vite et nous sommes bientôt arrivés. Grand portail en fer adossés à un pavillon année 30/40, 1 bon Km de chemin et nous arrivons devant une grosse villa cubique (Bauhaus nous l’apprendrons plus tard). Sur sa droite on voit une grande piscine et derrière le Lac Léman.
Yanis :
Déjà que nous avions les yeux grands comme des soucoupes, la beauté simple de la villa nous scotche. Sur 2 niveaux seulement elle fait bien 40m de façade sans compter une aile qui s’allonge vers le lac l’autre côté de la terrasse donne sur la piscine qu’une grande verrière recouvre à moitié.
Je fais enfin la connaissance de nos clients.
Le chauffeur décharge nos bagages et se retire. Dès la porte refermée, nous nous saluons.
Alors qu’elle roule une pelle à Loïs qu’elle a déjà pratiqué, je me présente au mari. Il reste plus protocolaire et nous nous serons les mains. Echange, il salut de la même façon Loïs alors qu’elle aussi fait pareil et me dit bonjour d’une pelle bien profonde.
Le mari nous prie d’excuser sa femme qui, comme nous avions pu le remarquer, est assez démonstrative. Elle lui renvoi que lui au contraire ne l’est pas assez.
Ça se tacle mais j’ai l’impression qu’il y a beaucoup d’affection entre eux deux.
Nous les suivons jusqu’à nos appartements. Dans le corps de bâtiment, au premier avec vue sur le lac, nous disposons d’une suite avec chacun sa chambre + salle de bain. Nous sommes pressés d’y laisser nos valises et ils entament le tour du propriétaire. Visite de l’aile « Madame » : chambre panoramique sur le lac servie par un dressing grand comme une boutique de fringues et de sa salle de bain d’au moins 30m². Nous rejoignons le rez-de-chaussée. A l’opposé les services, cuisine et réserves, lingerie. Une immense salle à manger qui s’ouvre sur un salon encore plus grand le tout éclairé par un mur de verre donnant sur la terrasse et le lac occupe le reste. L’aile est identique à celle de l’étage avec la suite de Monsieur. Elle comporte un sauna et une salle de muscu.
Nous sortons sur la terrasse. L’air est frais malgré le soleil. Je m’approche du lac. Un grand escalier descend jusqu’à l’eau. La dernière marche semble profonde d’un bon mètre. Elle est suivie d’une autre identique juste sous le niveau de l’eau. La piscine occupe l’autre flan de la terrasse. Plus de 15m c’est sûr. Quand nous rentrons, le personnel nous est présenté. Cuisinière, lingère, homme de service en plus du chauffeur que nous connaissons déjà. La cliente souligne en passant que dès que leur service est fait, ils retournent au pavillon d’entrée. Ouf, je ne me voyais pas obligé de me retenir tout le temps !! Le coup d’œil de Loïs m’indique qu’il pense pareil.
Enfin les « périphériques » partent. Encore dans le salon, Loïs prend l’initiative et va entreprendre notre client. Il le fait se lever du canapé, l’enlace et roulage de pelle.
Je n’ai pas le temps de réagir que la cliente me fait signe. Je me lève à mon tour et la tire du fauteuil. Je l’enlace moi aussi. Première surprise avant même que je pose mes lèvres sur les siennes. Son corps ! Je sens sous mes mains des muscles fermes et des seins qui tiennent sans « armatures ». Surprenant ce que les vêtements peuvent camoufler.
Je l’embrasse. Elle entrouvre sa bouche et j’engouffre ma langue dedans. Elle lève ses bras et ses mains viennent me tenir la tête. Les miens descendent et je la prends par la taille pour plaquer son bassin contre le mien. Ma queue raide enfonce son ventre. Elle passe sa main entre nous et défait mon jeans. Sa main me semble brulante quand elle s’empare de ma bite.
Loïs :
Il était convenu avec Madame que je serais en premier avec son mari. Il est sensiblement de ma taille et s’il est plus discret que son épouse, il sait ce qu’il veut. Sa main attrape ma tête et l’attire vers la sienne pour un bon roulage de pelle. OK on sent que le mec sait ce qu’il veut. Quand je colle mon bassin au sien, j’ai une bonne surprise. Son pantalon à pinces cache une autre merveille. Je sens contre ma queue déjà bien raide, se plaquer la sienne qui ne l’est pas moins. J’ondule des hanches. Elles se collent parallèles. A première vue du même calibre soit 20x6 assez semblable à la mienne 19 x 6.5.
Comme je vais pour défaire sa ceinture. Il me tire vers ses appartements. OK la baise à 4 n’est pas programmée pour le premier soir !
Arrivé dans sa chambre, il laisse la seule lumière de la lune éclairer nos ébats. Mais avec un vitrage de trois des 4 murs, la pleine lune et son reflet dans le Léman, nous y voyons comme en plein jour. Je le mets nu. Son polo vole, son pantalon tombe sur ses pieds dégagés de leurs chaussures. Le slip moule une queue que j’avais bien senti. Un surprenant CR7. L’élastique déjà décollé des abdos se laisse étirer. Le sous-vêtement rejoint le pantalon. Il a une putain de belle queue bien droite et épaisse. Son gland déjà dégagé me semble plus gros que le mien.
Il sait que c’est une première pour moi. Bon, Ok, j’ai laissé mes collègues me rouler des pelles, me pomper. Je les ai un peu sucés moi aussi. J’ai pris aussi quelques doigts dans le cul et j’en ai enculé trois ou 4 mais en passif c’est vraiment une première. C’est ce qu’il s’est offert avec moi comme sa meuf avec Yanis.
Je n’ai pas de craintes. Mes nombreux passages au Blockhaus m’ont éclairé sur le sujet et j’ai vu suffisamment de mecs prendre du plaisir avec une bite dans le cul qu’il n’y a pas de raison que ce soit différent pour moi.
Il m’attrape par le cou pour une pelle très appuyée. Langue fraîche, longue et vigoureuse, plutôt agréable. Son corps contre lequel je me presse est tonic aussi. Musclé sans excès, tablette très légèrement enrobée et ventre tendu, il est tout à fait baisable.
Je tombe à genoux. Dans le mouvement son gland vient envahir ma bouche. Belle texture, bien gonflé mais souple quand même son rebord plie sous la pression de ma langue. Je rappe sa surface avec ma langue, il soupir ! Je titille le frein, tourne sa pointe sous la couronne avant de plonger en avant et de me l’enfoncer dans la gorge. Je recule fissa surpris par un renvoi.
Il me relève et me pousse sur le lit. Il m’y fait pivoter sur le dos pour que ma tête sorte du matelas. Ses mains sur mes oreilles, il bascule ma tête en arrière et je vois sa queue revenir vers ma bouche. Bientôt ce n’est plus que ses couilles que j’ai dans mon champ de vision ! Là, son gland repousse ma luette et s’enfonce dans ma gorge sans que j’aie de mauvaises réactions. Il me lime la gorge en augmentant progressivement son temps tout au fond. Je en fatigue pas et la position me parait naturelle pour les gorges profondes. De temps à autre je dégluti et ça le fit réagir par une défonce plus hard !
Sans e prévenir il se retire, me prends par les épaules et me retourne. Me voila à 4 pattes sur le lit avec vue sur mes fesses.
Il s’empare des deux globes pour les écarter et sa langue vient aussitôt se poser pile au milieu. Je retiens un « putain que c’est bon » mais les frissons qu’elle me procure à passer sur ma rondelle je ne peux les cacher. C’est un pro du bouffage de cul ! Alors que ce n’est pas ma spécialité, il m’ouvre comme une fleur. Je me sens me détendre et ma rondelle s’entrouvrir pour lui laisser le passage. Sa langue rentre de quelques millimètres augmentant mon plaisir. Si la sodo est du même genre je vais grave prendre mon pied !
Je bande comme un taureau sa main droite passe entre mes cuisses et s’empare de ma queue. Il a tenté de me tirer les couilles mais elles sont total collées à ma queue. Je dois lui demander de ne pas me branler de peur de juter direct. Il se contente juste de serrer fort à la base.
Il la relâche, je l’entends se redresser et son gland se poser sur mon encore petit trou. Il se penche sur mon dos, la pression s’accentue sans qu’il ne me pénètre encore. Sa bouche vient me murmurer à l’oreille que j’ai une rondelle de rêve et qu’il va bien me faire jouir. Ses dents viennent attraper mon lobe d’oreille et dans le même temps son gland me pénètre. Waouu l’effet ! Ma rondelle se resserre dès son passage et empêche le reste de rentrer. Il se redresse. Il pose ses mains sur ma taille et me caresse. Je me détends et il pet reprendre sa progression. Lentement il s’enfonce. Il profite de sa diversion et du coup d’« électricité » que me vaut son passage sur ma prostate pour m’enfiler total. J’écrase mes épaules sur le matelas comme mes mains viennent écarter mes fesses. Il pousse les derniers mm possibles alors que je ne peux plus retenir un râle de plaisir. (Pour l’agonie en attendra un peu 😉).
Il temporise et profite de la chaleur qui enveloppe ses 20cm de chair épaisse. Quand il se retire je me sens vide. Terrible comme sensation, surtout si elle ne dure pas et qu’il réinvesti la place. Ce qu’il ne manque pas de faire rapidement. Il est tout en puissance c’est prodigieux comme c’est encore meilleur que je l’attendais ! Même si mes collègues me l’avaient assuré, rien ne vaut son avis perso.
Je me surprends à gémir sous les coups de buttoir du client. A force de taper mes fesses, je m’étale sur le lit. Il a suivi le mouvement et sa queue n’a pas quitté mon trou.
Renversement de situation, nous sommes face à face. Il rive son regard dans le mien. Mes yeux sont piégés et ils ne se dérobent pas alors même que je sens mes jambes se lever à la verticale, se placer contre son torse et sa queue réinvestir le territoire précédemment conquis. Ma rondelle avait juste commencé sa rétraction. La surpression nécessaire à la pénétration de son gland me fait ouvrir la bouche.
Il se courbe aussitôt et vient la couvrir de la sienne. Bataille de langue, échange de salive, il bande encore plus dur et moi aussi même écrasée entre nos abdos !
Pour s’approcher encore plus il fait glisser mes jambes de chaque coté et écrase sa taille entre forçant l’écart. Entre douleur là et plaisir plus bas, mon cerveau mélange et il finit par me faire jouir. Quand j’éjacule je lui broie la queue. Quand je jute pour la 3ème fois il crie tout en me marquant au sperme pour la première fois. Si de mon coté je largue bien 7 ou 8 giclées, j’en compte 10 dans mon intestin.
Encore meilleur que de jouir dans une meuf, même dans un cul de meuf ! Je pense que l’optimum pourrait être de se faire défoncer le cul tout en labourant celui d’une meuf !
Sans déculer (il est toujours raide), il bascule sur le côté m’entrainant avec lui. Nos respirations se calment. Il s’écarte. Je regarde en biais pour voir si sa queue est propre, elle l’est, ouf ! On comate un bon ¼ d’heure avant qu’il ne m’entraine sous la douche. Bien propre et débarrassé des liquides divers, il bande encore. Alors que l’eau coule sur nos corps je m’agenouille et le prend en bouche. Il s’appuie sur la faïence et me laisse faire. Je m’applique, avale son gland et le masse de déglutitions rapide. Ma amin droite attrape ses couilles et tirent sur le sac. Il est surpris et largue la sauce pour la 2nd fois. Les 2 premiers jets atteignent en direct mon estomac. Je me recule et garde en bouche la suite n’avalant que quand ça risque de déborder. Quan il cesse de se vider et commence cette fis à ramollir je recule et me redresse la bouche pleine. Il m’attrape par le cou et on partage nos langues battant la chantilly avant de l’avaler. L’eau qui continue à couler nous laisse propre comme le dernier spermato glisse dans ma gorge.
Il me donne un de ses peignoirs. Au moins 2cm d’épaisseur, trop confort ! On s’assoit dans le salon de sa chambre et il m’offre un alcool fort. J’accepte le verre mais ne fait qu’y tremper mes lèvres. Lui en boit 2 bonnes gorgées avant de parler.
Il tient à me féliciter car pour un dépucelage il a apprécié mon corps. Et de m’expliquer que ceux qui soi-disant le sont encore (puceau), le sont rarement. J’écoute n’ayant pas d’avis là-dessus !
Il ajoute que sa « femme » l’avait prévenu que nous étions plus que bons, mais là il vient de l’expérimenter.
Il me questionne sur mes collègues. Je les annonce encore meilleurs que moi car expérimentés. Il m’assure qu’il accompagnera sa femme lors de son prochain voyage en France.
Loïs et Yanis pour Jardinier
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!
