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Loïs-4
Sasha :
La semaine se passe pour mon nouvel escort entre cours en distanciel, travaux communs avec Anne et Tilian, sport (muscu, MMA, natation) et baises.
Anne lui a placé baises en premier dans son programme ! Comme dit Tilian il y a pas pire que les homos qui se sont retenus toute leur enfance. Il le sait d’expérience puisque ça été son cas ! Il laisse faire car tous les soir c’est quand même dans son lit et ses bras qu’Anne termine sa journée.
Vendredi dans l’après-midi, je fais « réviser » Loïs pour sa première prestation. Sans qu’il soit en panique, il est tendu le garçon !
Je le rassure qu’il ne risque pas de rester mou devant la cliente car cette dernière à fait ce qu’il fallait en chirurgie pour paraitre encore 15ans de moins ! En plus, dès le samedi soir, Jérèm le rejoindra et le dimanche mon mari Ludo et son frère Côme seront de la partie.
Loïs hallucine devant le programme. Il me dit que cela va couter un œil à la cliente.
C’est le cas mais avec le Covid19 elle avait fait des économies étant bloquée en Suisse !
Vers 18h30, j’emmène Loïs au château. C’est la première fois qu’il y vient. La Ferrari immatriculée en suisse, garée devant l’escalier d’entrée donne le ton du WE. Nous sommes accueillis par Enguerrand. Comme nous entrons dans l’immense entrée (70m² environ) je le vois mater de bas en haut mon nouvel escort. Le Slim Slim que je lui ai imposé pour cette fois donne le rendu espéré. Mon BoF nous dis qu’elle allait apprécier le petit nouveau.
Il nous conduit jusqu’au salon d’apparat qui donne sur le parc et au premier plan sur le bassin /piscine. La cliente nous attend. Je al salue et la félicite qu’elle est plus jeune à chaque fois que nous nous rencontrons. Mon escort la salue à son tour. Elle le fait tourner devant elle et se déclare ravie de la version réelle. Elle délace la ceinture de sa robe légère et apparait en maillot de bain 2 pièces. La plastique parfaite du corps, beaux seins ronds et bien suspendus par la chirurgie, taille fine et hanches larges mais pas trop, beau fessier et jambes fines et galbées, fait bander direct mon escort qui ne peut le cacher.
Elle minaude qu’elle ne se savait pas si irrésistible, alors que je referme la bouche de Loïs dont la mâchoire inférieure était un peu tombée de surprise.
Elle nous invite à la suivre dans la piscine en train de se former (le sol s’enfonce transformant le bassin plat de 50cm de profondeur et piscine de 2m.
Je décline l’invitation prétextant des points à aborder avec Enguerrand mais pousse Loïs à y aller. Il me regard « j’ai pas de maillot ». « Ton shorty fera l’affaire ». Je le laisse en train de de dévêtir et part avec Enguerrand parler affaire.
De son bureau dans l’aile droite, nous avons vue sur la piscine. Devant la grande porte fenêtre, Enguerrand me demande où j’ai bien pu trouver cet escort. J’explique en quelques mots. Pendant ce temps-là, les deux protagonistes de ce début de WE plongent dans l’eau chaude. Quelques minutes plus tard, ils sont rejoints (enfin sur la terrasse) par un des Escorts de services qui apporte deux peignoirs et dans un sceau une bouteille de champagne. Et qui attend.
Sortie de l’eau, L’escort présente le peignoir à la cliente puis à Loïs. Je devine ce dernier un peu gêné par la situation. Ils éclusent une flute chacun puis la cliente le prend sous le bras pour rentrer au château et gagner leur chambre.
Loïs :
Je suis un peu gêné par le Slim slim que m’a fait enfiler Sasha. Même au-dessus d’un shorty Addicted, on devine nettement ma queue et mes boules. Quand je rencontre la cliente sa robe est tellement fine qu’on voit plus ce qu’elle doit cacher.
Elle est 100 fois plus bandante que les petites meufs que j’ai pu me faire. Un canon mais dont l’on devine, à son regard qui me met à poil, l’expérience. Je bande, ça se voit et je rougis !!
C’est pire quand elle retire sa robe légère et qu’elle apparait en maillot 2 pièces. Quand Sasha nous quitte, je commence vraiment mon travail !! ça me calme un peu et je n’ai plus qu’une ½ molle quand je retire mes vêtements pour l’accompagner à la piscine.
Quand on sort de l’eau je suis revenu à ma forme optimale ! Elle n’a pas arrêté de me frôler, pousser, tâter et même m’a carrément empoigné le paquet après m’avoir bloqué dans un coin et roulé une pelle.
Je confirme c’est autre chose que les meufs de mon âge ! Je vais vraiment m’amuser pour une fois.
Quand c’est un collègue rencontré au Blockhaus qui me tend le peignoir, je suis un peu gêné. Il me fait un clin d’œil complice. Je me rappelle que Sasha m’avait dit que tout le personnel du château serait constitué d’escorts pour assurer la discrétion. Comme cela les clients ne sont pas limités à baiser dans leurs chambres sans que ça choque !
Elle m’entraine quand même vers la sienne. Là aussi la même démesure que l’entrée du château. Facile 50m² et surtout un bloc sanitaire tout en verre posé en parallèle d’un immense lit à baldaquin. Je suis à remplir mes yeux des détails de la pièce et notamment du mobilier (on ne se refait pas) quand je me sens propulsé vers le lit.
Je me retrouve sur le dos couché en travers avec la cliente à cheval sur mes abdos. Elle se penche et me roule une pelle (autrement plus active que mes expériences féminines précédentes), ses tétons sont durs et je les sens appuyer sur mes pecs. Je bande (ouf !). Je délace son haut de bikini. Ses seins touchent directement ma peau. Ils sont fermes et bien ronds. Pendant ce temps-là elle fait glisser mon shorty et ma queue se plaque violemment sur ses fesses. C’est plus simple pour le sien (de slip ndlr) car deux ficelles retiennent sur les côtés. Les peignoirs volent et nous sommes nus l’un contre l’autre. Elle totalement épilée, ma main plonge et mes doigts entrent dans sa chatte. Gémissement de plaisir quand de la paume j’écrase son clito.
A nouveau elle me repousse contre le matelas. Sa bouche part de la mienne et descend sans quitter un seul instant ma peau, jusqu’à ma bite. Malgré mes 6.5 de diamètre elle me la bouffe direct entièrement. Trop kiffant de voir une meuf réussir ça ! ça me change des minettes qui te font une pipe que parce que tu le demandes et qui la font à reculons.
Là je vois bien qu’elle kiffe de me pomper à donf et de m’avaler le gland au plus profond qu’elle puisse faire. Son menton repousse même mes couilles pour en avaler plus encore. Sasha a raison. Les meufs plus âgées sont bien meilleures !!
Elle maitrise. Quand je sens mon sperme monter, elle aussi le sent et me calme direct. Elle joue de moi encore deux fois à me faire monter à la limite puis change d’orientation. Elle se redresse, remonte sur moi et couvre ma queue avec sa chatte. Bien chaude, elle laisse entrer ma bite entière. Alors que la pénétration j’avais trouvé trop facile et large, une fois bien assise sur mes cuisses elle me surprend par de fortes contractions vaginales qui massent ma queue. Trop bon !
Une fois j’ai dépucelé une fille, s’était serré, trop bon aussi, mais elle avait plus morflé que pris du plaisir !
Là, la meuf elle kiffe ma bite. Elle me le dit même crûment avec son accent suisse.
Quand elle se met à branler ma queue en faisant l’ascenseur, j’aide en relevant mon bassin quand elle descend. Ça tape dur mais elle kiffe et moi aussi !
Volontairement elle profite d’une remonté me laissant à découvert pour revenir s’assoir sur moi mais planté dans l’autre trou. Sodomiser une meuf qui apprécie, mon rêve !
Du coup je prends la main. Je la maintiens planté sur ma bite, replie mes jambes et me lève. Elle doit faire dans les 50/55Kg. C’est sans problèmes. J’écarte les pieds pour augmenter ma stabilité, elle entoure ma taille de ses jambes et je peux commencer. Je la soulève et la laisse retomber de tout son poids. Elle kiffe, je la vois se mordre les lèvres avant de gémir son plaisir. Ça me fait bander encore plus dur !
Les jambes en feu, je laisse glisser ses épaules vers le matelas pour l’enculer en chandelle. Le lit s’enfonce à chaque fois que je tape nos bassins. Je la termine (et moi avec) en levrette. Mes mains sur ses hanches je la tirent vers moi alors que j’avance mon bassin. Ça tape, ses fesses s’écartent pour me permettre de tout lui mettre dedans et elle kiffe, me demandant sans ambiguïté d’y aller encore et encore. Je déplace mes mains sur ses seins et pince ses tétons. Elle jouit m’écrasant la queue avec sa rondelle rendant tout va et vient impossible ! Quand elle relâche la pression j’explose dans son cul et le lui remplit à chaque relâchement de son anneau. 10 x je la dose.
Sur le dos, bras en croix je reprends mon souffle. A côté de moi sur un coude elle me mate. Comme je vais pour lui demander si elle était satisfaite, elle m’évite la honte de cette question en me devançant d’un « parfait pour une première fois avec moi ».
Alors qu’on se douche elle m’informe qu’on va encore baiser 2 ou 3 fois seuls avant que Jérémy nous rejoigne. Et que je verrais qu’à deux pour et dans une femme c’est encore meilleur ! Je lui fais total confiance sur le sujet.
Il est tard quand nous arrivons nous restaurer. Mais le diner est parfait. N’ayant jamais été dans un restaurant étoilé, c’est à ça que les plats me font penser. Servis par d’autres collègues, je suis un peu mal à l’aise au début. Mais ils font tout pour que je me sente à l’aide.
Café au salon où nous avons fait connaissance. Les éclairages extérieurs soulignent la régularité du jardin à la française qui encadre la piscine jusqu’à la forêt plus loin. Elle me fait parler de moi, de ma formation de mes ambitions. C’est facile comme elle me met en confiance. Si ça se trouve elle est plus âgée que ma mère ! Mais ça ne me gêne pas finalement. Elle baise trop bien 😊 !!
Quand nous rentrons à sa chambre, j’essaye un truc. Comme elle ouvre la porte je dégage ma bite et mes couilles du Slim slim et dès la porte passée, je la plaque dessus, d’une main tient ses deux poignets au-dessus de sa tête et de l’autre remonte sa jupe. Je savais qu’elle n’avait pas mis de culotte et donc je me plante direct dans son oignon. J’y mets tellement de cœur qu’en fin de pénétration je la soulève du sol. Elle kiffe, ouf ! Après lui avoir bien massé les seins contre le bois, je la pousse/porte jusqu’au grand canapé en cuir et la plie sur le dossier. Je n’ai plus qu’un cul à défoncer devant les yeux.
Le meuble a beau être lourd, je l’aurai repoussé d’un mètre avant de remplir pour la deuxième fois le cul de ma cliente.
Quand je me réveille nu et seul au milieu de ce grand lit, il me faut quelques minutes pour rembobiner le film de la veille. Sur les coudes, je la vois en peignoir prendre son petit déjeuner tout en tapant sur son ordinateur. Elle me fait signe de me taire et de rester au lit. J’obéi ! Elle est en télécommunication. Mon envie de pisser devra attendre.
Elle me fait signe de la rejoindre. Je suis encore à poil quand j’arrive l’écran me montre un mec 45ans bien conservé. Elle me demande de dire bonjour à son mari et je vois au bas de l’écran dans le retour de sa propre caméra que je suis bien visible de son correspondant. Je m’exécute, elle m’a affranchi de mes retenues de classes. Je souris quand je vois que derrière le mari se prélasse dans un lit un mec qui doit me correspondre.
Quand elle ferme la conversation je me penche pour lui embrasser le cou, le lécher et remonte vers son oreille, elle me dit de garder mes forces pour le moment où Jérémy sera avec nous. On passe donc le reste de la matinée en salle de muscu, elle en fait pour entretenir ce corps qui me fait bander, sauna et salle de massage. C’est Clément notre Kiné maison qui nous les fait. J’en ressors en pleine forme.
Temps libre en attendant l’arrivée de Jérèm. Je le passe avec les collègues qui m’expliquent comme tout ça marche. Ils sont 4 en plus de la cuisine et de Clément qui n’intervient que ponctuellement ou en cas d’urgence si j’avais « coincé » ma cliente ! Je visite le reste du château. Impressionnant. Les autres chambres sont toutes aussi grand confort et même celles du « service » sont plus grandes que la mienne à la maison ! Je rencontre une nouvelle fois Enguerrand. Lui m’explique qu’il m’arrivera de revenir pour des clients hommes. Que souvent les escorts les suivent dans toutes leurs activités. Là il me cite : équitation, chasse, tir sur cible… l’Escort de haut niveau c’est ça aussi. Pas que du cul.
Je comprends qu’il va falloir que j’apprenne et pas que sur le métier du bois. Je lui dis que j’ai fait un peu d’initiation au cheval, gamin, mais que depuis rien. Mais j’ai pas peur de la bête ! Pour le reste c’est du chinois pour moi. Je suis pas d’un milieu de chasseur ni d’armes à feu.
Je retourne vers ma cliente à l’arrivée de Jérèm. Durant la semaine passée au Blockhaus, j’ai eu l’occasion de le croiser plusieurs fois. S’il fait des études supérieures, il n’est pas fier pour autant devant nous autres futurs « artisans ». J’ai apprécié aussi qu’il me donne son cul après avoir bien défoncé le mien avec son 20x6. J’adore la caisse qu’il se trimbale. Dire que c’est Sasha qui lui a donné car elle était moins puissante que celle qu’il avait prévue !! 585 CV quand même ! Vraiment pas le même monde. Mais je ne me sens pas traité différemment.
La cliente l’accueille avec effusions. Impatiente et vu la température idéale, elle nous emmène vers la piscine. Un grand lit d’extérieur à fait son apparition au côté des fauteuils que j’avais vus la veille. Une nouvelle fois on nous sert une flute de champagne. Une fois vide c’est le plan cul le plus délirant que j’ai fait jusqu’alors même avec les mecs.
Jérèm qui l’a déjà pratiqué en simple et en duo, même la danse. Elle se laisse mener contrairement avec moi la veille, et n’a qu’à ressentir le plaisir que nous injectons dans son corps.
Sortis rapidement des roulages de pelles croisés, sur ordre de Jérèm, je lui bouffe la chatte alors qu’il fait de même avec sa rondelle. Debout entre nous deux, nous devons la soutenir quand elle se prend un premier orgasme. Toujours en position pour relancer la « machine », je sens une main de Jérèm vérifier l’état de ma bite. Je fais de même, on est plus que raide tous les deux !
Il pousse la cliente à passer ses jambes par-dessus mes épaules et je ne comprends le truc que quand elle se laisse glisser entre nos deux corps. Ses jambes se déplient et collent à mon torse alors que sa chatte engouffre ma bite et que son cul avale celle de Jérèm. L’effet doit être bon pour elle car ses muscles vaginaux pulsent pour écraser ma queue. Elle doit tout autant se crisper sur celle de Jérem qui me fait un clin d’œil par-dessus son épaule.
Quelques minutes qu’elle se calme et nous la soulevons pour la laisser retomber de tout son poids. Ça écrase un peu mes couilles et j’écarte les genoux juste pour leur laisser un peu d’espace.
A ce moment-là je me fous de savoir que tout le château puisse nous mater.
Jérèm nous pousse et je me retrouve sur le dos, la cliente toujours plantée sur moi. Comme il a plus de liberté, Jérèm sort du cul de la cliente pour me rejoindre dans son vagin. J’avais pas encore fait mais c’est kiffant de sentir un gland et une queue contre la sienne dans le même trou d’une femme. Ça la fait jouir une 2ème fois. Limite douloureux la compression vaginale qui en découle mais contre la queue de Jérèm c’est trop, trop kiffant !
Il retourne dans l’autre trou et alors que je pensais me retrouver flottant sans sa présence, je note que la meuf est vraiment performante car il ne lui faut pas 2mn avant que ses parois internes me collent à nouveau.
On lime ses deux trous lentement et bien profondément. Si le contact est moins proche, sentir nos queues progresser de concert dans la meuf, c’est psychologiquement et physiquement bandant.
Jérèm la fait se redresser et m’expulser d’elle. Mon gland claque mouillé sur mes abdos. Jérèm m’empoigne et tire ma tige vers lui tout en demandant à la cliente de redescendre. Nos deux glands réunis perforent sa rondelle et je m’enfonce dans son cul avec Jérèm. Encore plus serré que dans son vagin !
Mes mains sur ses seins, je la maintiens bien verticale comme Jérèm se couche sur le dos. Double sodo après une double vaginale, j’engrange les 1ères ce soir !
J’essaye de tenir mais le frottement de nos deux glands m’achève. J’explose dans la meuf, recouvrant de sperme le gland de mon pote lubrifiant l’ensemble mieux que le gel. La cliente me suit et son anneau qui broie nos queues a raison de Jérèm qui explose à son tour. Toujours présent à ses côtés, je sens la chaleur de son jus couvrir mon gland hypersensible. Elle s’écroule sur moi, Jérem avec pour ne pas déculer direct.
J’admire, quand nos queues en train de débander glissent en dehors, la tonicité de sa rondelle qui se resserre sans laisser couler une seule goutte de nos deux productions.
Là, je m’aperçois que la nuit est avancée et qu’il commence à faire frais malgré les chauffages d’extérieurs dont je n’avais pas vu l’installation. Pile au bon moment, le « service » arrive avec trois peignoirs chauds. Nous rejoignons la chambre avant d’aller faire un diner tardif.
Jérèm réussi à me féliciter pour cette première pendant que nous sommes encore sous la douche et que notre cliente est sortie s’habiller.
Loïs pour Jardinier
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!
