Premier épisode | Épisode précédent
Les deux silhouettes étaient nues…
J’entendis mon père parler :
- « Allez, les gars, il est à vous »
Ils s’avancèrent vers moi. Ils devaient avoir la quarantaine, assez grand et bien bâti, mais avec un physique plutôt banal.
Mon père,
- « Ils bossent avec moi… et ils aiment les petites fiottes comme toi », dit mon père.
Je ne savais plus quoi dire, j’étais pétrifié.
Mon père,
– « Tu croyais peut-être que je dormais hier soir… et bien oui je dormais jusqu’au moment ou je me suis réveillé et j’étais en train de jouir dans ta bouche… tu as abusé de moi pendant mon sommeil espèce de petit pervers détraqué… »
Moi :
- « Excuse-moi papa, je ne voulais pas, je ne sais pas ce qu’il m’a pris de faire ça »
Lui : « C’est trop tard, le mal est fait »
Puis l’un des deux mecs se mit sur moi, chevauchant ma poitrine avant de me mettre sa queue devant mes lèvres… il me fit ouvrir la bouche, la força et commença à me la baiser vigoureusement. L’autre était derrière et attendait son tour…
Ensuite il détacha mes liens et me retourna sur le ventre. L’un deux mis un préservatif et s’enduit la bite de gel. Il se coucha sur moi et me pénétra brutalement. Je hurlais…
Son collègue me fit respirer du poppers quelques secondes… je me laissais partir… l’effet du produit fut très rapide… je sentais moins la douleur et les va et viens commencer à me faire bander.
Mon père, toujours assis sur le fauteuil :
« Tu as l’air d’aimer ça petite pute »
Effectivement, je commencer à pousser de petits gémissements. Ils me baisaient à tour de rôle.
Au bout d’un quart d’heure de limage intensif, ils jouissent en moi.
J’entendis l’un des deux mecs parler à mon père :
- « Merci chef, le cul de votre fiston vaut de l’or… on s’est régalé à le défoncer »
– « De rien, merci à vous deux, les gars » répondit mon père.
Les deux hommes partirent, me laissant seul avec mon père.
J’étais toujours allongé sur le lit. Mon père se leva et vint vers moi.
Il était en caleçon.
Moi j’étais encore un peu sous l’effet du poppers.
Moi :
- « J’ai en vie de te sucer papa »
Sa réaction fut immédiate. Il me gifla violemment.
Lui :
- « Tu es une vraie pute comme ta mère ; cela ne t’a pas suffi de te faire baiser par de mecs, espèce de petite chienne »
Moi :
– « Non, c’est toi que je veux en moi, je veux que tu me fécondes comme une femelle et je veux sentir ta grosse bite me défoncer »
Soudais, j’avais un peu l’impression que sa queue avait pris un peu de volume dans son caleçon… j’avançais ma main pour le branler rapidement
quelques secondes, puis se recula.
Lui :
– « Arrête ça, petite merde »
Moi :
- « Tu vois je commence à te faire de l’effet »
Je reçus immédiatement une nouvelle gifle.
Sa bite avait effectivement pris beaucoup de volume et maintenant était bien raide… je réussis à faire tomber rapidement son caleçon et me jeta dessus. Je commençai à le sucer.
Lui :
- « Non arrête, moi je ne suis pas comme toi »
Je pris dans ma main le flacon de poppers que les deux mecs avaient laissé là sur le lit et le lui mis de force sous la narine…
Lui :
– « Qu’est-ce que tu fais, c’est quoi cette merde ?
L’effet rapide du poppers le fit s’allonger sur le lit… je lui refis respirer la petite fiole quelques secondes…
Je n’avais plus rien à perdre maintenant. J’enlevais son caleçon et me mis à califourchon sur lui… rapidement je pris sa queue dans ma main et me positionna dessus.. Je m’empalais doucement sur lui… le poppers était devenu mon allier, mon père était maintenant complètement shooté…
Lui :
- “Non, je ne veux pas”
Je commençais de rapide va et viens de plus en plus fort sur cette grosse bite qui m’avait toujours fait fantasmer.
Lui :
“Ohhh non, hum !!! je ne veux pas”
La dernière respiration forcée dans le flacon magique eut raison de mon père… il commençait à bouger le bassin par lui même.. Il me prit les hanches avec ses deux mains puissantes… Maintenant c’était lui qui me baiser intensément....
Il me renversa sur le dos, releva mes jambes sur ses épaules, il était déchainé… maintenant je pouvais entendre ses couilles claquer sur mes fesses… il me baiser violemment et c’était trop bon…
Baslucas
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