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66 - Je ne supporte pas Christiane et je la vire. Jona petit moment de baise.
Lundi matin au petit déjeuner, Rose et Christiane sont aux petits soins pour nous, même un peu trop à mon gout du côté de Christiane. Je file au bureau et Dimitri à ses cours. Felipe m'a demandé sa journée pour profiter de Jona et faire un peu de shopping. Au bureau donc, je vais voir comment sont les mains de Sylvain qui avait pris quelques jours de maladie après la punition que Damien lui avait fait subir, pas samedi dernier, mais le samedi précédent. Apparemment il a récupéré.
Sylvain : Suite à ça, nous avons eu une discussion et il a été décidé que plus aucune punition qui pourrait occasionner un arrêt de travail ne devrait se produire. De mon côté, je me suis engagé à être un bon esclave par contrat signé avec Damien. Bref, en dehors du travail, je dois être à lui, pour lui, et le servir du mieux que je peux.
Moi : Tu es mon meilleur ami, mais ce genre de contrat ne te laisse plus une minute de vie privée. Es-tu sûr de ton choix ?
Sylvain : Je l'aime et je suis prêt à tous les sacrifices pour lui.
Moi : Il t'a complètement larvé et surtout lavé le cerveau, mais c'est ton choix et je le respecte. Juste une chose, tu pourras dire à ton maître que pour ma part, ce genre de chose et de maîtrise d'un être humain me dégoute. Esclave oui, mais de la merde, non !
Je suis sorti de son bureau sinon j'allais lui en coller une de rage de voir ce qu'il subit. J'espère juste que j'ai au moins fait réagir un peu son cerveau. Ma journée s'est passée, je ne suis pas allé au sport, j'en ai fait assez ce weekend et surtout la nuit de samedi. Désiré m'a ramené à la maison et avec mon cabriolet je suis allé faire un tour à la maison de ma mère. Je venais d'y arriver que Stéphane m'envoyait un message pour dire qu'ils étaient enfin arrivés à destination. Après lui avoir répondu d'un " OK je t'aime " j'ai fait le tour de la maison. Tout est en ordre. J'ai repris ma voiture et je suis rentré sagement. À la maison, alors que je montais dans le dressing pour me changer, j'ai remarqué que tout avait changé de place. J'ai appelé Rose et lui ai demandé de monter dans le bureau.
Moi : Rose pourrais-je savoir pourquoi tout le dressing est rangé différemment ? Je ne m'y retrouve pas.
Rose : Christiane a voulu tout remettre à sa façon, je m'en excuse.
Moi : Il n'y a pas que ça, il me manque des bijoux.
Rose : J'ai tout remis dans le coffre moi-même, je n'ai pas confiance.
Moi : Alors Rose, si vous n'avez pas confiance, virez là ! Je ne veux pas de quelqu'un dans cette maison en qui vous n'avez pas confiance ! Je trouve ce genre d'initiative, et je parle du dressing, des plus fâcheuses ! En plus je n'aime pas son attitude de ce matin ! Stéphane l'aurait déjà viré depuis longtemps.
Rose : Elle est toujours à l'essai, je ne la prolongerai pas.
Moi : Rose, tant que vous n'aurez pas trouvé quelqu'un de confiance, nous vous aiderons, Felipe, Dimitri quand il est là et moi, dans vos tâches ménagères. Dites-nous, et n'hésitez pas, ce qu'on doit faire !
Rose : Bien Pat.
Moi : Rose, vous auriez dû me prévenir en l'absence de Stéphane de ce problème de confiance. À l' avenir je veux être tenu au courant.
Rose : Oui Pat.
Moi : Bon je vais essayer de m'y retrouver moi maintenant.
Rose : Je remettrais tout en ordre demain.
Moi : Je le ferais moi-même en rentrant du boulot Rose.
Rose : Merci Pat.
Rose sort du bureau alors qu'arrive Felipe, accompagné de Jona. Il loge ici pour la nuit.
Moi : Ah voilà les tourtereaux.
Jona vient vers moi et me roule un patin sous les yeux de Felipe.
Moi : Qu'est-ce qui me vaut autant d'enthousiasme ?
Jona : J'ai envie de vous, maître, enfin des deux. J'ai été sage.
Felipe : On te baisera ce soir dans le lit, en attendant tiens-toi tranquille !
Jona : Oui maître.
Moi : Bon, je vais prendre une douche et essayer de me trouver des vêtements pour ce soir. La future ex-nouvelle, enfin, Christiane a rangé les dressings à sa façon.
Felipe : Je vais voir dans le mien.
Il revient dans mon dressing trois minutes après.
Felipe : Pareil pour moi et mes bijoux on disparut.
Moi : Rose les a mis au coffre, viens je vais te l'ouvrir.
Je lui ai rendu ses bijoux et il les a planqués dans sa chambre. J'ai enfin pris ma douche et me suis habillé pour le soir. Nous avons pris l'apéritif au champagne, Jona adore. Rose nous a concocté un repas léger. Après le repas, nous l'avons aidé à faire la vaisselle et ensuite elle est rentrée chez elle. Après une nouvelle coupe de champagne devant la TV, Jona a voulu lancer les hostilités.
Felipe : Je t'ai dit dans le lit ! Viens ici !
Jona : Oui maître.
Felipe : Couche-toi sur mes jambes !
Jona s'est couché et il lui a descendu son pantalon.
Felipe : Comptes !
Il lui a donné une dizaine de fessées bien senties et le gamin a compté et il a fini par pleurer.
Felipe : Maintenant, monte te coucher et attends-nous !
Il est monté.
Moi : Tu le domines plus que nous ?
Felipe : Non pas plus, mais vous ne voyez plus que par Dimitri, il a des envies et votre domination sur lui se laisse aller.
Moi : Disons pour faire simple que pour moi, comme il est avec toi, je le laisse tranquille.
Felipe : N'oublie pas qu'il m'aime, mais qu'il aime que tu lui fasses l'amour.
Moi : OK j'ai capté, je monte m'occuper de lui. Tu viens nous rejoindre ?
Felipe : Plutôt deux fois qu'une.
Je suis monté et j'ai trouvé Jona à quatre pattes sur le lit le cul vers la porte. Je me suis approché, j'ai caressé ses fesses et ai posé mon doigt sur son anus. Il était bouillant et il palpitait d'impatience.
Moi : Tu es une salope accro à la bite !
Jona : Oui maître. J'ai envie que vous me fassiez l'amour ou que vous me baisiez.
Moi : Commence déjà par me faire bander bien dur !
Il s'est retourné et a descendu mon pantalon. Il a enfourné ma bite au fond de sa gorge direct et je me suis mis direct à bander. Il m'a sucé avec voracité, il aime sucer et se faire enculer, mais en plus, il prend de plus en plus d'expérience. Je dirais même qu'il suce mieux que moi. Felipe est arrivé et lui a présenté sa queue. Il a abandonné la mienne et je me suis mis derrière pour lui manger le cul. Il s'était déjà préparé, pourtant, il sait que je déteste. Je lui ai mis 4 fessées bien senties et ensuite je l'ai pris d'un trait comme la chienne qu'il est.
Jona : Doucement maître, s'il vous plait.
Moi : Tu t'es encore préparé le cul, or, tu sais que je déteste ! Tu es une pute et une pute, ça se tringle, tu devrais l'avoir compris !
Jona : Oui maître pardon, mais s'il vous plait, en douceur. Je n'ai pas mérité ça. Je voudrais qu'on me fasse l'amour.
Je l'ai couché sur le ventre et j'ai porté ma tête à son oreille.
Moi : Je vais te faire l'amour, mais ne te prépare plus le cul, tu m'enlèves mon plaisir.
Jona : Oui maître.
Felipe : Ne t'arrête pas de sucer !
Jona reprit son ouvrage sur la queue de Felipe. Moi, j'ai limé en douceur le petit cul de Jona pendant un bon moment. Il a gémi pas mal de fois et couiné aussi. Felipe le voyait dans ses yeux, il était au septième ciel. Je l'ai retourné et j'ai pris ses jambes sur mes épaules. Felipe l'a tiré un peu vers lui et lui a incliné la tête en arrière. Maintenant, il avait les deux trous complètement bouchés. Il a voulu se palucher, mais Felipe lui a pris les mains et les a bloquées.
Felipe : Tu jouiras quand on t'y autorisera !
Il lui a pilonné la gorge bien profond, heureusement que Jona arrive à caler sa respiration sinon Felipe l'étoufferait. Nous avons augmenté la cadence et c'est Felipe qui a juté en premier. Il lui a enfoncé direct dans l'estomac, le petit a joui sans se toucher et Felipe en a pris sur le visage. Le petit a eu un orgasme anal aussi, et c'est à ce moment que je lui ai rempli le cul sans bouger. Son anus bloquait ma queue. Jona a tapé sur les jambes de Felipe, car il étouffait.
Felipe : Oh pardon.
Jona a déculé de ma queue et est allé direct sur le WC vomir et surtout essayer de reprendre sa respiration. Felipe a accouru auprès de lui et l'a aidé à se ventiler, ensuite, il l'a nettoyé et s'est rincé la figure. À mon avis, il a failli l'étouffer au-delà de la résistance du petit. Il a fallu facilement dix minutes pour qu'il récupère. Une fois revenu :
Moi : Je te félicite, tu t'améliores à chaque fois.
Jona : Merci maître mais je dois avouer que j'ai eu dur sur la fin.
Felipe : Désolé, je ferais attention la prochaine fois.
Jona : Merci maître mais j'ai soif.
Moi : On va se boire un petit digestif et ensuite au lit et tu dors avec ma queue dans ton cul.
Jona : Miam-miam.
Felipe : C'est fini oui ? T'es pire que ton maître en mode gang bang.
Nous sommes descendus et nous avons bu un verre de vin blanc espagnol après quoi nous sommes montés nous coucher. J'ai pris le petit dans mes bras et il s'est légèrement renfoncé sur ma queue semi-bandée. Nous avons dormi comme ça.
Pattlg
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