Page pr�c�dente

La confr�rie :

Une vieille histoire.

Un jour, apr�s une longue soir�e avec un ami, il me demanda si je savais qu'il faisait partie d'une confr�rie. Je lui r�pondis que non et je lui demandai quel type de confr�rie. Il me r�pondit que c'�tait une confr�rie qui se r�unissait tous les vendredi et o� ils baisaient sauvagement. Il m'apprit que seulement quatre personnes par an pouvaient se voir offrir le titre de confr�re. Actuellement il y avait 22 membres, lui compris. Je lui demandai ce qu'il fallait faire pour en �tre membre et il me r�pondit en souriant de d'abord r�unir une �quipe de quatre personnes voulant en faire part. Je ne pus lui soustraire d'autres informations. M'ayant mis l'eau � la bouche, je r�unis une �quipe de quatre beaux gosses (pensant influencer plus facilement), moi compris. Je rappelai mon ami et il me donna un lieu de rendez)vous o� il viendrait nous chercher. Le vendredi suivant nous �tions fin pr�t et il vint nous chercher comme il lavait dit. Il nous tendit des bandeaux et reprit la route. Nous p�mes les enlever qu'une fois � l'int�rieur du b�timent. Il y avait de tout. des matelas, une piscine, des si�ges, des tables, des coussins, des godes, des t�l�s, des cassettes, des revues x,. et les 21 autres personnes.
Nous f�mes pr�sent� et notre premi�re t�che fut de nous mettre nu, ce qui ne fut pas difficile. Le chef, un beau brun, prit la parole et commen�a � r�citer des r�gles. En gros : secret, ob�ir, fermer sa gueule, ne jamais dire non, un seul test d'entr�e par personne,.
Il nous annon�a la deuxi�me t�che, il fallait remplir un sceau de pisse jusqu'� une ligne qui symbolisait la moiti�. Nous commen��mes donc � pisser, les quatre en m�me temps et le chef rajouta qu'on avait droit � faire appel � un des membres du jury. Apr�s avoir piss� jusqu'� la derni�re goutte, nous nous m�mes d'accord pour appeler quelqu'un et nous d�sign�mes une personne un peu au hasard.
Il vint vers nous, sortit une belle grosse bite et se mit � pisser. Nous p�mes remplir le sceau de justesse.
Je ne fus pas choisi pour le troisi�me gage, mais les deux choisis devaient se rendre dans la piscine. L'un debout, l'autre sous l'eau pour tailler une pipe jusqu'� l'�jaculation sans pouvoir reprendre de l'air. Celui qui devait se faire sucer avait droit � trente secondes de pr�paration et il en profita pour se branler � toute vitesse pour s'exciter un max. Nous les regard�mes durant la pipe et lorsque celui qui avait suc� ressortit sa t�te de l'eau et qu'il voulut cracher le sperme pour pouvoir reprendre son souffle, l'un des membres du jury demanda � goutter au sperme. Ils all�rent donc se rouler une pelle.

Le quatri�me gage fut pour un des membres du jury et le dernier qui m'accompagnait. Il dut battre en rapidit� de p�n�tration le membre du jury. Les cobayes �tant les deux d�j� pass�s. Ce fut une v�ritable limerie, si bien qu'apr�s une minute de sodomie, ils �taient tous les quatre au bord de la crise cardiaque, mais nous avions gagn�.

Je ne pus �chapp� au cinqui�me gage, �tant le seul � ne pas �tre pass�. Ils firent appeler un livreur de pizzas et moi je devais le convaincre de se branler avec moi devant un film de cul et puis de plonger dans la piscine. Je ne savais pas du tout comment m'y prendre et le temps passa tr�s vite. J'eus presque une crise cardiaque lorsque je vis le livreur entrer, c'�tait un ex camarade de classe que j'avais connu. Il f�t �tonn� de voir des personnes nues et lorsque je me rapprochai de lui pour le payer et pour prendre la pizza, il eut des yeux tel une chouette.

- Qu'est-ce que tu fous l� ?
- J'essaye de rentrer dans une confr�rie !
- Et tu dois te d�shabiller ?
- Ce n'est rien par rapport au reste !
- Bon, je te laisse car tu commences � me faire peur !
- Attends, j'ai besoin de toi !
- Pourquoi ?
- On m'a donn� un gage, et je suis cens� te persuader de regarder un film de cul, te branler et plonger dans la piscine.
- Tu crois quand m�me pas que je vais faire �a devant une vingtaine de mecs ?
- On le faisait bien � cinq quand on �tait � l'�cole !
- On �tait un groupe d'amis !
- �coute, c'est important pour moi.
- Je n'en doute pas, mais. je ne peux pas !
- Allez ! Et tout ce que j'ai fait pour toi. Je t'ai aid� pour tes examens pendant trois ans, je t'ai arrang� ton d�pucelage avec une amie, je t'ai laiss� ma place pour un job d'�tudiant, .
- C'est bon. je sais tout ce que tu as fait pour moi ! C'est juste me branler et puis plonger dans la piscine ?
- C'est juste �a !
- Et on sera quitte ?
- Si tu le veux !
- Bon.

J'allumai donc la t�l�, mis la cassette en route et. merde, c'�tait un fil gay. il me regarda, soupira et enleva quand m�me son pantalon. Nous nous branl�mes pendant cinq minutes avant d'entendre la voix d'un des membres du jury demander une branlette mutuelle. Par chance nous le faisions d�j� dans notre enfance, je saisis sa bite et il saisit la mienne et nous nous branl�mes. Il �jacula un rien apr�s et il dut me terminer. Une autre voix retentit juste apr�s mon �jac, je devais nettoyer sa bite avec ma langue. Mon copain me regarda et fit un non de la t�te.

- Tu te souviens la fois ou tu es venu me demander une capote pour pouvoir baiser Laura, fis-je ?
- Oui, tu m'en as donn� une.
- Je t'ai donn� la derni�re que j'avais, et je n'ai pas eut le temps d'en racheter, ce qui fait que j'avais l'occasion de sauter Carole et que comme je n'avais pas de capote, elle m'a dit non. pour toujours.
- Tu veux dire que tu as dit non � une relation avec Carole pour moi ?
- Oui !
- LA Carole ?
- Oui.
- Non, tu ne peux pas me demander de me faire sucer par . toi.
- Fermes les yeux et imagine que je suis ta meuf.
- Je n'en ai pas.
- Je te mettrai sur un coup si tu me laisses faire !
- 'Tain t'es un enfoir�. fais vite.

Je saisis donc sa bite, la gobai et fis vite quelques allez et retour pour la nettoyer. L'air de rien il semblait aimer. ensuite il se leva, retira son T-shirt et ses chaussures et plongea dans la piscine pour faire une longueur avant d'en ressortir. Il s'essuya avec l'un des essuies, me donna son num�ro de t�l�phone et repartit assez vite apr�s que le chef du jury ait d�clar� que normalement il aurait dut �tre sodomis�.

Le sixi�me gage �tait de supporter une orgie. tous se mirent � poil et vinrent vers nous. Pour ma part, je me retrouvais avec une pine dans le cul (j'aurais pu en avoir deux), une main qui me branlait et trois bite pr�s de la bouche. Ils changeait de places toutes les trente secondes et ce fut une v�ritable douche de sperme que les 22 �jacs des juristes. Nous �tions couverts de sperme. et ce n'�tait que le d�but. nous all�mes recommencer dans la piscine avant de nous s�parer pour sucer des pines � la cha�ne. Apr�s toutes ces pipes et ces sodomisations, nous e�mes l'ordre de baiser entre nous quatre. Nous nous �clat�mes jusqu'� la derni�re goutte de sperme. J'avais le cul d�chir� et rempli de foutre, la bouche �largie et un go�t de sperme, chaque muscle du corps criait au repos et nous �tions couvert de sperme. C'est tout juste si on ne tournait pas de l'oil.

Le septi�me gage �tait de battre un des membre du jury dans une comp�tition de jet de sperme. Autrement dit, il fallait qu'on gicle tous les quatre plus loin que celui d�sign�. Nous nous align�mes donc et commen��mes � nous exciter et � nous branler. Ce fut le membre du jury qui gicla un long trait en premier. Il y eut en suite un copains, qui le d�passa de justesse, puis moi qui parvint de justesse � l'atteindre et je pus en fin aller m'asseoir pour me reposer. j'�tais mort. ensuite, le troisi�me rata son coup et le quatri�me ne put terminer. Nous avions �chou�, mais la peine d'un �chec �tait. une autre orgie. � croire qu'il se retenait durant une semaine pour tout d�charger sur nous. Ce fut long, quasiment interminable, et mon corps ne pouvait plus bouger un seul muscle apr�s une deuxi�me orgie.

Il fallait cependant encore faire quelque chose. se faire caresser dans la piscine pour nettoyer tout le sperme. Il y eut encore une pine qui me p�n�tra le cul, mais je ne pouvais vraiment plus rien sentir tellement mon cul �tait dilat�. Ensuite, tous se rhabill�rent, on nous remit les bandeaux et nous f�mes raccompagn� chez nous par mon ami qui m'avait parl� de cette confr�rie. Il me proposa de terminer la nuit chez lui, mais il comprit � mon regard que j'�tais mort. En rentrant chez moi, je me dirigeai vers le lit, aper�ut l'heure (07.30), m'effondrai sur mon lit et dormit.
Apr�s une nuit de repos, je pris une bonne douche et j'invitai mon camarade de classe � venir manger un bout. Il me tua presque lorsqu'il sut que j'avais �chou�, mais ce soir l� nous nous branl�mes � nouveau devant un film de cul (h�t�ro) et il resta dormir la nuit. Malheureusement, m�me si j'ai le droit de le toucher, il reste intouchable.

Maintenant que j'ai pris du recul, je m'aper�ois que c'est mieux que j'ai �chou�. ils n'emploient pas le pr�servatif et donnent des devoirs.

Par exemple, mon ami qui m'avait raccompagn� (maintenant il a aussi quitt� car il a refus� son devoir) devait sodomiser un autre membre dans une fontaine public en plein jour en se faisant filmer pour prouver qu'ils l'avaient fait.

Certains voudront peut-�tre me demander de les introduire, mais c'est impossible, je ne sais pas o� c'est et mon ami n'a plus le droit de proposer des gens.

Alors je vous laisse fantasm�.

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :