Cours de sportComme tous les mardis matin, je vais au cours de sport. Je suis accompagn� de plusieurs de mes potes et notamment de Gwena�l - tout juste 18 ans comme moi, 1m 80, blond aux yeux bleus et une musculature de r�ve - qui partage ma chambre � l'internat. La salle est � l'autre bout du lyc�e et l'on en profite pour fl�ner une clope au bec. L�g�rement en retard, on se change rapidement, presque sans un bruit. Le prof, qui vient juste d'arriver, nous demande de nous presser en glissant sa t�te dans les vestiaires. Ce matin, la premi�re moiti� de la classe fait du tennis de table et la seconde du badminton. Comme � mon habitude je mate pas mal le prof dans son surv�t et son t-shirt qui laissent pr�sager un corps tr�s muscl�. Il me d�passe d'une t�te et doit mesurer presque 1m 85, il est brun, bien b�ti et des yeux noirs � faire tomber... Il vient juste d'obtenir son concours et est arriv� en septembre. Il entra�ne aussi l'�quipe de rugby du lyc�e dont je fais partie. Je fantasme surtout sur ses doigts puisque chaque articulation est tr�s saillante du fait de leur finesse. Je m'empare d'une raquette de ping-pong et je commence une partie avec Alexandre, une des plus grosses bites de l'internat et mon voisin de chambre. Le cours se passe rapidement, je range plusieurs tables de ping-pong. Le prof indique que l'on peut partir puis m'interpelle : "Max, peux-tu ranger le filet de badminton qui n'a pas �t� ramass�". J'acquiesce tout en pensant qu'il aurait au moins pu choisir un �l�ve qui avait fait cette activit�. Je m'empare de la barre de fer qui sert � enrouler le filet tout en allant dans la remise. Je l'ai �tal� sur une table et je commence mon petit fardeau. Philippe, le prof entre et ram�ne la caisse pleine de raquettes dans un meuble derri�re moi. Tout d'un coup, je sens le souffle du prof dans mon cou, j'ai � peine le temps de r�agir qu'il s'appuie contre moi et me murmure � l'oreille : "j'ai l'air de t'int�resser, non ?". Je suis p�trifi�, je bredouille un "peut-�tre" � peine audible. "Peut-�tre", mais quel con ! Je bave litt�ralement sur lui pendant tous les cours. Il m'embrasse d'abord dans le cou puis remonte vers le lobe de mon oreille, tout en resserrant l'�treinte de ses bras r�confortants, muscl�s et l�g�rement poilus. Je sens de plus en plus sa queue en pleine �rection, bien plaqu�e, contre ma raie ainsi que ses cuisses puissantes. Philippe enl�ve mon t-shirt, reprend ses baisers sur ma nuque et fait lentement glisser mon surv�t et mon boxer. Une fois � mes chevilles, il tourne mon visage sur la droite et m'embrasse � pleine bouche. Il ondule lentement du bassin. Il me retourne vers lui, baisse son surv�t d'o� jaillit une queue d'au moins 22cm plant�e sur de grosses couilles. Je me baisse avant qu'il ait pu dire quoi que ce soit et avale son imposant gourdin. Ses mains pos�es sur ma t�te me poussent � en avaler toujours plus. J'arrive � la prendre en entier. J'en suis plut�t surpris. Philippe appr�cie et g�mit de plus en plus avant de me demander d'arr�ter. J'avale ses couilles, l'une apr�s l'autre, puis je remonte ma langue le long de sa hampe pour r�colter quelques gouttes qui commen�aient � perler. Il descend de la table, tient sa queue d'une main puis applique son gland charnu � l'entr�e de ma raie. Il glisse sa main jusqu'� mon t�ton droit et pousse son gland dans mon anus qui se dilate avec un peu de peine malgr� sa pr�paration appliqu�e. Il sort et recommence. Son gland passe, �a me d�chire la t�te (et le cul). Je bande comme un dingue. Il s'empare de mes 18cm et me branle doucement tout en poursuivant son but ultime : m'enfiler ses 22cm jusqu'� la garde. Il va un peu trop lentement � mon go�t et d'un petit coup de bassin je m'empale sur les derniers centim�tre de son braquemart ce qui lui fait pousser un cri : "putain, ma salope !". Tr�s excit� par mon impatience, il se retire enti�rement, me reprend aussit�t � fond et recommence plusieurs fois. Il sourit de me faire couiner � chaque enculade. Puis, il m'attrape les hanches et me d�fonce par des coups de reins brutaux et virils. Il transpire de plus en plus, laissant un mince filet brillant sur sa peau et une douce odeur qui m'excite encore plus. J'entends soudainement une voix, c'est Gwen qui semble me chercher. Philippe se retire pr�cipitamment de mon cul, prend nos fringues et les balance derri�re un comptoir en bois qui sert de buvette lors matchs � la belle saison. Il revient me chercher pour rejoindre cette cachette improvis�e. Les pas de Gwen se rapprochent, il ouvre la porte, jette un rapide coup d'oeil puis repart. La porte de la salle se referme dans un grand vacarme. Philippe m'embrasse le cou, il bande toujours et est encore plus ardent qu'avant. Je me redresse, pose mes bras sur le bar et lui pr�sente ma raie bien ouverte. Il n'h�site pas une seconde et y engouffre � nouveau sa queue. Au bout de dix minutes, il commence � fatiguer, s'allonge � terre, prend sa queue � deux mains et l'agite un brin provocateur. Je me l'enfile et m�ne la cadence, il me branle et il g�mit comme un dingue tout en me traitant de salope. C'est plus fort que lui, il recommence ses coups de reins, il veut reprendre les commandes. Il me prend par les hanches, me soul�ve et me bascule sur le bar, il reprend ses assauts, tout en me branlant d'une poigne virile qui se resserre sur mon gland. Mes pieds ne touchent plus le sol, il me porte litt�ralement et me hisse par ses coups de bite : "Philippe, je vais jouir". Il redouble de vigueur autant avec son poignet qu'avec sa bite, je jouis et l�che cinq jets de foutre contre le bar. Resserr�e par mon anus, la bite de Philippe est �ject�e de son fourreau bien chaud, il la prend de sa main droite me jouis sur la raie avant de me l'enfoncer � nouveau en effectuant plusieurs allers-retours. Je m'avachis sur nos fringues, Philippe me rejoins, m'embrasse � pleine bouche. Je tombe litt�ralement dans ses bras. On reste ainsi environ cinq minutes comme �a, je n'ai plus vraiment de notion du temps : on a bais� pendant plus d'une heure. Je devrais normalement �tre au self. Je reprends rapidement mes fringues et regagne les vestiaires pour prendre une douche et enlever son sperme qui d�gouline � l'int�rieur de mes cuisses. Philippe me rejoint un peu plus tard et prend sa douche avec moi. Il m'embrasse et m'avoue qu'il avait flash� sur moi depuis le premier cours. MaxenceLa suite ici
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