Cyrillo

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Aventures lyc�ennes 5

Aujourd'hui, au lyc�e, la matin�e commence par deux heures de sports. J'appr�hende toujours le moment du passage aux vestiaires depuis que, respectant les consignes de C�dric, un des surveillants, je ne porte plus de sous-v�tement. Ca fait maintenant cinq semaines que ma queue frotte directement contre le tissu de mon jeans. Cinq semaines que chaque jour, C�dric v�rifie lui-m�me si je suis bien ob�issant. J'ai pris l'habitude d'arriver un peu plus t�t le matin au bahut pour me rendre dans son bureau et subir son inspection.
Le premier jour, il �tait seul, il a exig� que je baisse mon futal, debout devant lui. J'ai ob�i. Mais il est rarement seul le matin dans le bureau des surveillants. Le plus souvent, il guette mon arriv�e au lyc�e, me bloque discr�tement dans un coin, et selon son envie du moment, il passe sa main dans mon pantalon, ou il me d�froque, ou il me demande de me d�froquer. Depuis quelques temps, il me soup�onne d'enfiler un slip ou un cale�on apr�s son inspection matinale. Alors, il multiplie ses inspections dans la journ�e. Je sais qu'il peut me tomber dessus en permanence. Je dois avouer que cette situation, humiliante au d�but, m'excite de plus en plus. J'aime me d�poiler devant lui, et je crois qu'il aime �a lui aussi, ses doutes ne sont qu'un pr�texte pour me mater.
Si cette situation m'excite de plus en plus, pour les vestiaires de sport, je flippe de me faire griller par les autres mecs. Alors, depuis trois semaines, j'arrive volontairement en retard en cours. Le prof gueule un peu, mais il m'ouvre les vestiaires et je peux me changer tranquillement. A la fin de la s�ance, les autres gars se pr�cipitent � la douche et ne font pas gaffe � moi. Alors, d�s que j'entends l'eau couler, je vire mon short, et j'enfile mon jeans rapido.
Aujourd'hui, de nouveau, j'arrive en retard. Une fois de plus, le prof de sport gueule et m'ouvre les vestiaires. Je me change et je rejoins le terrain. Le prof est furieux, je suis bon pour ramasser le mat�riel � la fin du cours.
Le prof : " Damien, ras le bol de tes retards � r�p�tition, je te veux pas en cours, tu files direct dans le bureau des pions. Tu passeras les deux heures qui viennent dans leur bureau, tu reviendras � la fin du cours pour te changer. Je te promets �galement deux heures de retenue � venir. "
Je ne r�ponds pas et je me dirige vers le bureau des pions dans ma tenue de sport, un tee-shirt blanc, des baskets et mon short rouge sans rien dessous. Dans le bureau, C�dric est seul. Je lui explique la situation, la raison de mes retards.
C�dric : " Tricheur ! "
Moi : " Mais ... "
C�dric : " Tais-toi. Tu es un tricheur, tu n'as pas respect� mes ordres. Je vais devoir te punir. En plus, je m'arrangerais pour que tes deux heures de colles, tu les fasses avec moi. "
Je ne dis rien. Sabine, une de ses coll�gues rentre. Elle demande ce que je fais l�. C�dric lui explique et dit en me regardant :
" On a du boulot � faire, on peut pas le garder dans le bureau ici avec nous pendant deux heures. Je l'emm�ne dans une salle de classe libre, on passe par le CDI, je vais lui trouver du travail � faire, je reviens dans vingt minutes maxi. "
Il sort du bureau, je le suis. Passage �clair au CDI pour prendre deux ou trois bouquins. Puis direction une petite salle de classe isol�e. C�dric ouvre la porte, rentre, je le suis.
C�dric : " A nous deux ! "
Il referme la porte et donne un tour de cl�. Je suis enferm� avec lui.
C�dric : " Mains sur le bureau, jambes �cart�es. "
J'ob�is. Il pose ses mains sur mes fesses, les malaxent. Ses mains descendent le long de mon cul. Sa main gauche passe dans l'�chancrure de mon short et vient me saisir les couilles. Sa main se resserre.
C�dric : " Alors, on a voulu jouer au malin, et on a perdu. "
Je ne dis rien, je me laisse faire. J'ai toujours les couilles enferm�es dans sa main. Il les rel�che et baisse mon short. Il se saisit d'une r�gle en plastique laiss�e sur le bureau. Il la passe sur mes fesses, et les coups commencent � pleuvoir. J'ai les larmes aux yeux. Je le supplie d'arr�ter. Il rit.
" Je n'arr�terais que quand ton cul sera aussi rouge que ton short. "
Et il recommence � frapper. J'essaie d'esquiver les coups.
C�dric : " Tu veux jouer � �a, on va jouer. "
Il s'assoie sur la chaise du bureau, devant moi. Il sourit. Je n'ai pas boug�. Il y a juste le bureau qui nous s�pare. Il joue avec la r�gle en plastique. Il la rapproche de mon sexe, de mes couilles. Il donne des petits coups. Je grimace.
C�dric : " Regardes, �a te fait bander ! Viens sur mes genoux. "
J'ob�is. Je suis sur ses genoux, la bite � moiti� band�e, entre ses cuisses. Il recommence � me fesser. Il me maintient d'une main, et fait pleuvoir les coups de l'autre.
C�dric : " C'est bien, tu as le cul bien rouge maintenant. Vas t'asseoir, et fais moi une dissertation sur les b�n�fices du sport. Je reviendrais voir plus tard comment �a se passe, je n'en ai pas fini avec toi. "
Je ramasse mon short et je vais m'asseoir � une table.
C�dric : " Pas la peine de remettre de ton short, tu peux poser ton cul direct sur la chaise. Je ne fermerais pas la porte � cl� derri�re moi. On ne sait jamais, si quelqu'un voulait utiliser cette salle. "
Et il sort. Je reste l�, seul, le cul � l'air, les fesses rouges et cuisantes. N'importe qui peut rentrer et me trouver l�. Je risque une nouvelle humiliation et l'expulsion. Mon short est pos� l�, sur la table � c�t�, donc, si on me surprend dans cette tenue, je n'ai aucune excuse. Je n'arrive pas � me concentrer sur le travail que C�dric m'a donn� � faire. Je bande toujours, mais je devine que je ne dois pas me branler. Je guette le moindre bruit venant du couloir. J'ai peur que la porte ne s'ouvre. C�dric doit revenir, mais je ne sais pas quand. Je n'ai pas de montre, je n'ai aucune notion du temps. La sonnerie retentit, c'est la r�cr�ation. J'entends les allez et venues dans le couloir. Puis le calme revient. Et de nouveau des pas. Une main sur la poign�e de la porte. Je retiens ma respiration. La porte s'ouvre mais je ne vois personne. Je suis fig� sur ma chaise, je ne peux plus bouger. C'est trop tard, je vais me faire griller. Ces minutes d'attentes me semblent une �ternit�. Qui va rentrer ? Un �l�ve, un prof ? C�dric ?
C'est C�dric.
" Je t'ai fait flipper ! Mais �a t'excite, j'en suis s�r. Tu n'as pas remis ton short ? Tu es rest� l� � attendre mon retour, bien sagement ? "
Moi : " Oui. "
C�dric : " Tu as m�rit� une petite r�compense, tu vas pouvoir te branler. Vas-y, je te regarde te faire du bien. Passes ton tee-shirt derri�re ta t�te, assis toi sur la table, ou allonges toi si tu pr�f�re, et vides toi les couilles. "
Je n'avais pas vraiment d�band� depuis son d�part. J'�tais pr�t � lui offrir le spectacle qu'il r�clamait. Assis sur la table, je me suis branl� devant lui. Il me regardait sans bouger. C'�tait excitant, humiliant. J'avais envie de jouir vite pour lui faire plaisir. Mais je voulais aussi que le spectacle lui plaise. Alors j'acc�l�rais les mouvements sur ma hampe, puis je ralentissais. Je me caressais les couilles. Je me crachais sur les doigts pour les faire glisser le long de ma raie.
C�dric : " Vas-y "
Il m'autorisait � me doigter. Je rentrais alors un doigt. Le plaisir se diffusait dans mon bas ventre. Je jouais avec mon doigt. Je relevais les jambes, j'�cartais bien les cuisses et j'osais un deuxi�me doigt. Cette exhibition �tait des plus excitantes. J'acc�l�rais les mouvements sur ma bite, j'enfon�ais bien les deux doigts dans mon cul. Une onde de chaleur m'a envahit. J'ai senti mon cul se resserrer sur mes doigts, et la jouissance dans un r�le non contenu. Mon corps entier s'est d�tendu, laissant retomber la pression. J'avais les joues en feu. Et dans une derni�re provocation, je d�cidais de r�colter ma semence. Je passe alors mes doigts sur mon ventre, sur mon torse, puis je passe ma langue sur mes doigts. Je r�p�te l'op�ration jusqu'� ne plus n'avoir que des traces luisantes sur le ventre. J'avale tout mon sperme. Je l�che encore ma main et mes l�vres. Le plaisir s'estompe, la honte de mon exhibition et de mes provocations appara�t, et avec elle, je r�alise la situation. Je me suis fait plaisir devant un homme qui est rest� imperturbable.
C�dric : " tu peux t'asseoir. "
Je remets mon tee-shirt en place, et je m'assoie. Je n'ai pas remis mon short mais j'essaie de cacher mon sexe avec les mains. Je n'ose pas regarder C�dric.
C�dric : " J'ai appr�ci� le spectacle. Si tu veux en �tre s�r, touche ma braguette. "
Alors, timidement, j'ai tendu la main vers son sexe, que je l'ai d�couvert tout dur � travers le tissu. Je me suis senti soulag�. Je n'�tais pas le seul � �tre excit�.
C�dric : " Je reviendrais tout � l'heure avec ton prof de sport, mais attends la prochaine sonnerie pour remettre ton short. Pour l'instant tu restes comme �a, et tu finis ton devoir. "
Et il est sorti.
Le temps m'a paru long jusqu'� son retour. J'entends la sonnerie, j'enfile mon short. A peine le temps de m'asseoir, et mon prof et C�dric rentrent dans la salle.
C�dric : " Je ne pouvais pas le garder avec nous dans le bureau, alors je l'ai mis ici, et je lui ai donn� du travail � faire. "
Le prof : " Vous avez bien fait. Vous voulez que je vous dise, de mon temps, une telle attitude aurait m�rit� une bonne correction. Mais on a plus le droit."
C�dric me regarde et sourit : " Pourtant, une bonne fess�e ne fait pas de mal. "
Le prof : " En effet ... " Et il quitte la salle. Je reste seul avec C�dric.
Moi : " Tu veux que je te suce ? "
C�dric : " Tu y prends go�t. "
Moi : " Oui. "
C�dric : " Tu auras l'occasion de me sucer plus tard. Pour l'instant, �coutes bien mes nouvelles consignes : tu te d�merdes comme tu veux, mais la semaine prochaine, apr�s le sport, tu me ram�ne un slip ou un cale�on que tu auras piqu� � un de tes camarades de classe pendant qu'ils seront sous la douche. "
Moi : " Ok. "
C�dric : " Tu veux vraiment me sucer maintenant ? "
Moi : " Oui. "
Le dos contre la porte, il ouvre son jeans, il sort sa queue. Je me mets � genoux, et je le prends en bouche direct. Je m'applique, j'avale tout. Je veux la prendre en entier, je veux sentir sa s�ve couler dans ma gorge. Alors, je suce, j'aspire, je l�che son gland, puis reprend sa queue. Mais il ne laisse pas faire, il retire sa queue et la range. Je reste l� devant lui sans rien dire. Il me prive de sa bite.
C�dric : " C'est tout ce que tu auras aujourd'hui. " Et il sort. Je reste l� quelques secondes, toujours � genoux. Puis je quitte la salle.

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