Premier épisode
2 | La visite médicale du lieutenant
Il est 18h, en ce vendredi après-midi, quand je suis le docteur Vidal, dans son cabinet de médecine du travail.
Je viens de finir ma journée et j'ai revêtu mes habits civils : jean bleu délavé près du corps, t-shirt gris moulant et baskets blanches.
Quand je passe devant le bureau de la secrétaire médicale, celle-ci baisse ses lunettes sur le bout de son nez et jette un regard appuyé sur ma braguette en léchant l’extrémité de son stylo. Je lui souris en retour, tandis que ma bite frémit dans mon slip. Cette nouvelle secrétaire n'est pas pour me déplaire…
Arrivés à son cabinet, le médecin me serre la main et me fait signe de m’asseoir tandis qu'il contourne son bureau pour rejoindre son fauteuil, ouvrir mon dossier et prendre connaissance de celui-ci. J'en profite pour le détailler. Le docteur Vidal est un bel homme d'environ 30 ans, brun, les yeux bleus, le visage un peu rond sur un corps trapu, semblable à celui d'un rugbyman amateur. Il est vêtu d'une blouse à manches courtes qui met en valeur de jolis bras musclés et charnus, un pantalon de toile bleu clair, ajusté et des chaussures de cuir marron. Ma bite frémit une deuxième fois.
- Bien lieutenant, je vois que vous êtes venu la dernière fois il y a deux ans… c'était encore mon prédécesseur.
- Oui, en général c'est le rythme des convocations, une fois tous les deux ans…
- Pour ma part, je pense que c'est trop peu… surtout dans ce métier. Une visite annuelle, voire deux ne seraient pas de trop… me dit- il en souriant et en me fixant de ses yeux bleus quelques secondes…
- Effectivement.
- Tout va bien au travail, des problèmes particuliers ?
- Ça peut aller, malgré le stress ordinaire…
- Vous avez bientôt 40 ans… 17 ans de service, c'est pas mal !
- Oui
- Bien. Mettez-vous torse nu et en sous-vêtements, je vous attends à la balance.
Je retire mes chaussures, j’enlève mon t-shirt, déboucle ma ceinture, déboutonne mon jean que je fais glisser à mes pieds. Je me retrouve en slip, pieds nus et torse nu ; ma queue un peu lourde fait un beau relief sur le côté droit du slip. Je la réajuste rapidement vers le haut, mais ça n’est pas mieux… tant pis. Mon corps sent la sueur, mais pas trop ; et je me dis que le médecin doit avoir l’habitude avec ses patients, surtout en fin de journée.
La table d’auscultation est positionnée le long du mur opposé au bureau du docteur. Contre le mur, il y a une paillasse avec tout le matériel nécessaire que l'on peut trouver chez un médecin. La balance et la toise sont situées à l’extrémité inférieure de la table.
- Je vous en prie, montez lieutenant et dites-moi votre poids.
- 80 kilos.
- Bien.
- Mettez-vous contre le mur, maintenant et tenez vous bien droit.
Le médecin me regarde me positionner sous la toise. Il me dévisage lentement de la tête au pied. Il faut dire que je suis bien foutu. Sans être excessivement musclé, j'ai les pectoraux bien dessinés, les bras galbés, les cuisses épaisses et les mollets solides… je jurerais que son regard s'est attardé sur mon slip. Mais rien ne me permet de deviner s'il est pédé ou pas.
- Le moins qu'on puisse dire, c'est que vous vous entretenez bien lieutenant !
- Merci docteur. Oui, un peu de fitness chez moi et du karaté deux fois par semaine.
- Très bien, je fais moi-même du rugby. Je ne peux pas trop le cacher dit-il en rigolant.
Je ne m'étais donc pas trompé… la simple confirmation de sa pratique me glisse dans la tête des images chaudes de vestiaires et de mêlées viriles dans lesquelles j'imagine le beau médecin… je sens mon gland gonfler un peu…
Il plaque sa main sur mon torse pour ajuster ma position, descend la règle de son autre main.
- 1,80 m ! Décidément, vous êtes très bien proportionné : félicitations ! Sa main quitte mon torse en frôlant mon slip au passage.
- Merci docteur.
- Asseyez-vous sur la table…
Il passe son stéthoscope d'abord dans le dos, puis sur mon torse. Il est tout proche de moi, et je peux sentir son souffle chaud sur mon coup. Je sens aussi son odeur... Je ne peux m'empêcher de lorgner vers son entrejambe. On y voit clairement une jolie bosse, mais ce n'est pas assez moulant pour en deviner plus. Putain, je commence à bander et j'essaie de freiner le plus possible cette érection que je sens monter.
Le médecin me fait ensuite allonger, et palpe les zones ganglionnaires du cou, des aisselles, avant de me prendre la tension. D'être manipulé ainsi part ce beau médecin, le bras enserré par le tensiomètre, n'arrange pas le gonflement de ma queue. En baissant les yeux vers mon slip, je peux constater que la bosse blanche a légèrement pris du volume.
- Levez-vous et baissez votre slip, lieutenant, on va faire un check up complet !
Et devant mon étonnement muet, il ajoute :
- Je sais que mon prédécesseur n'approfondissait pas trop... Ne vous inquiétez pas, c'est un contrôle normal !
Je fais une moue d'approbation. Après tout, l'idée de me retrouver la bite à l'air devant ce médecin bandant n'est pas pour me déplaire. Je ne suis pas très pudique et au moins, je serai peut-être un peu plus fixé sur son orientation quand il aura ses yeux… et ses mains sur ma queue.
Je baisse mon slip blanc jusqu'aux genoux. Ma queue de couleur brune est déjà lourde, bien gorgée de sang et surmonte mes bourses à la peau détendue et rasée. L'odeur de mon sexe poilu et légèrement gonflé me monte au nez, mon prépuce est entrouvert sur mon gland plus tout à fait endormi… Je tousse un peu pour évacuer ma gêne et essayer de détourner l'attention du médecin.
- Bien… voyons-voir ça, dit le médecin en roulant mes testicules entre ses doigts. Pas d'induration suspecte… Vous n'avez pas de douleur particulière ?
- Non docteur.
Il me tâte les aines pour contrôler les ganglions, puis saisit mon gland qu’il décalotte avec attention.
- Ça coulisse bien… Prépuce fonctionnel… Gland net et sain… Bien.
Ma bite grossit et marque désormais clairement l'horizontale.
- Désolé, docteur. Mais, je suis très sensible.
- Ne vous en faites pas, j'ai l'habitude… Enfin… je veux dire que ce sont des choses qui arrivent…
- Oui, mais je…
- C'est l'occasion de vérifier si la mécanique fonctionne bien, lieutenant.
Je suis un peu confus, mais excité tout de même. Je me demande s'il n'a pas recherché cet effet… Il a désormais les yeux bien fixés sur ma queue et se met doucement à me branler, faisant coulisser avec application le prépuce d'avant en arrière, mais de manière très médicale.
- Docteur, je… oh…
Le plaisir envahit ma queue. Ses doigts épais me font un bien fou… ma bite est désormais tendue au maximum, fièrement arquée. Le prépuce ne coulisse presque plus et le gland prend une teinte mauve. Une goutte de mouille perle de mon gland et vient s'écraser sur le pouce du médecin. Je pousse un soupir…
- Aucun problème, bonne érection, lieutenant… Homo ?
- Oui… euh… bi !
- Je l'aurais parié dès que je vous ai vu…
- Eh bien, en fait…
- Chut… détendez- vous lieutenant et mettez vous à quatre pattes sur la table… on va finir par un toucher prostatique, si vous n'y voyez pas d'inconvénient ?!
Eh bien, décidément cette visite médicale prend une tournure étonnante… Un doigt dans le cul ? Ça n’est pour me déplaire, bien au contraire, venant de ce beau mâle viril, en blouse blanche de surcroît ! Alors, je retire complètement mon slip, je m'installe sur la table d’auscultation et je creuse bien les reins.
Le docteur a en profité pour enfiler un gant et il se positionne derrière moi. J'ai les yeux fixés sur le mur : des planches anatomiques y sont affichées et notamment une planche de l’appareil reproducteur masculin. Bite, couilles, vessie, prostate et rectum : tout y est.
Le docteur m’écarte délicatement les fesses, lisse les poils drus et humides, inspecte la rondelle…
- La marge anale est nette… pas de lésion… ni de tuméfaction… parfait… bel entretien lieutenant !
Je souris, ma bite approuve par un grand soubresaut…
- Je vais maintenant toucher l’intérieur… voyez… j'ai posé mon index et je pousse doucement… belle souplesse anale, lieutenant : félicitations !
- Merci docteur, je…
- Chut… détendez- vous, ça rentre… première phalange… deuxième phalange... troisième phalange… eh bien, ça rentre tout seul ! Ça va ?
- Parfait docteur… lui dis-je tout bas.
Je penche ma tête et regarde vers mon bas-ventre, un goutte de mouille s'est formée au bout de mon gland, et vient s'écraser sur le papier qui recouvre la table… je pousse un petit soupir que j'essaie d’étouffer. Je ne sais pas si le docteur souhaite rester professionnel ou s'il veut jouer avec moi.
- Je procède au contrôle de votre prostate, lieutenant… j’espère que je ne vous fait pas mal ?
- Non ça va, je… ah !
Je n'ai pas le temps de finir ma phrase, je sens ma prostate s’enflammer et grossir, une vague de plaisir irradie mon bas-ventre et mon gland que je sens devenir lourd, très lourd. Un long filament de mouille pend au bout de mon gland…
- Eh bien, si tous les patients étaient aussi réceptifs que vous, lieutenant, ça serait merveilleux !
Il retire son doigt, doucement et la sensation s’évanouit lentement. Je ne sais pas ce qu'il entend précisément par réceptif, mais j’ai l'impression que mon cœur bat dans ma prostate et ma bite.
- Désolé docteur, je… comme je vous l'ai dit, je suis très réactif, et…
- Je vous ai dit que ce n'était pas grave, lieutenant…
Le docteur vient à ma hauteur. Le visage rouge et moite, je fais mine de me relever.
- Non restez en position, … on va approfondir… votre anus et votre prostate se portent à merveille, mais je ne peux pas vous laissez repartir comme ça, ça ne serait pas décent, me dit-il en désignant ma queue baveuse et bandée du regard et en rigolant.
Décidément, je ne sais pas comment le prendre, mais j'avoue que je suis très excité, et bien qu’actif, je sens mon cul réclamer une nouvelle investigation. Il faut dire que j'adore me faire bouffer le cul et me faire doigter. Je ne peux m’empêcher de lorgner sur la braguette du docteur sur laquelle je distingue clairement une érection.
Le docteur, qui a retiré son gant, s'en aperçoit et me sourit.
- Cet examen n'a pas donné chaud qu'à vous, lieutenant.
Il baisse la fermeture éclair de son pantalon et dévoile un slip gris, tendu, et mouillé au niveau du gland…
- Regardez comme je bande lieutenant… je parierai qu'en bon mâle dominant, vous aimez quand même fumer un bon cigare…
Il s’approche et sans attendre, il baisse son slip et sa queue vient claquer sur mon visage, le gland juste sous les narines, trempé de mouille, avec une bonne odeur de mec… un délice. J'avale de suite la jolie bite du docteur, de taille moyenne, mais assez épaisse, veinée et bien droite…
- Vous sucez comme un dieu, lieutenant… oh… ah… oui, c'est bon…
Bientôt, je n'arrive plus à sucer, car le docteur Vidal donne des coups de reins de plus en plus forts... Je ne me reconnais pas, moi l’actif plutôt pacha, je suis en train de me faire bourrer la gueule par un médecin, de style rugbyman… Ses poils suants viennent chatouiller mes narines et me font l’effet d'un poppers naturel…
J'essaie de reprendre le dessus en glissant une main sous ses couilles pour atteindre sa rondelle, j'arrive à introduire le bout de mon majeur… Mais le docteur s'écarte de moi.
- Eh là, tout doux, lieutenant… c'est votre cul qu'on ausculte aujourd’hui… Retournez-vous et allongez-vous sur le dos !
Le docteur va vers le bout de la table, installe des étriers et me fait poser les pieds dessus. Les jambes écartées, mon trou du cul palpite à l'appel de la suite. Ma queue est dure et mon gland bien mouillé. Le docteur est entre mes jambes, la queue bien érigée et son pantalon baissé jusqu'en haut des cuisses.
- Magnifique, lieutenant. Votre rondelle est encore détendue, mais je veux devoir la travailler et la lubrifier pour rentrer ma bite.
La main sur ma queue, le docteur s’accroupit et me bouffe le cul en y déposant de grande quantité de salive… J'ai à peine le temps de souffler quand il s’arrête que je sens l'index du docteur me pénétrer.
- Bien, lieutenant… Allez, je rentre le deuxième… vous avez un conduit chaud et humide lieutenant, c'est très agréable… Eh bien : ça rentre tout seul, lieutenant !
Ses deux doigts épais, introduits l'un au dessus de l’autre, pour respecter la forme du sphincter, m’arrachent un long soupir de plaisir. Je saisis ma queue, mais le docteur la repousse.
- Je ne voudrais pas que vous jouissiez trop vite, lieutenant, ça serait dommage pour la suite… allez, je tourne mes doigts à l’horizontale pour bien écarter votre rondelle… c'est bien… quelle souplesse !
Le docteur se met à faire des va-et-vient, le bout de ses doigts tapent contre ma prostate que je sens grossir et durcir… mon cul s’ouvre bien.
- J’introduis le dernier doigt, lieutenant, l'annulaire veut rejoindre ses camarades…
Je m’abandonne complètement à cette pénétration digitale… je sens mon cul bien dilaté, j'ai le torse et le visage en nage, la sueur coule des poils de mon torse jusque sur mes flancs et mes mains sont crispées sur le bord de la table. À plusieurs reprises, il ressort ses doigts et les réenfourne avec une bonne dose de gel, je peux sentir l’air rentrer dans mon cul, entre deux introductions.
- Tout va bien, lieutenant ?
- Oui docteur…
- Votre conduit est bien graissé et ouvert… Je peux introduire ma queue ?
- Oui, allez-y docteur, je n'en peux plus !
- Je vois ça, regardez-moi ce gland que vous avez, on dirait une grosse fraise qui va exploser… impressionnant… je ne voudrais pas le prendre dans le cul ha, ha…
Il enfile un préservatif, passe ses mains sous chacune de mes cuisses, positionne son gland sur mon trou et pousse doucement son membre en moi…
- Trop bon, lieutenant… ça rentre bien… c'est serré bien comme il faut… ni trop ni trop peu… le gland est passé… j'ai encore deux bons tiers…
La pénétration me fait révulser les yeux… quelle sensation de se sentir pénétrer par la chair chaude et turgescente d'un autre homme… j'en avais presque oublié le plaisir…
- Lieutenant, j'arrive au bout… hum… Contractez votre anus, lieutenant !... bien, comme ça… aaah… encore une fois… parfait… une dernière fois… aaah… excellent !
À chaque contraction de mon sphincter, ma queue sursaute et fait un bruit sourd en rebondissant sur mon ventre.
- Je commence, lieutenant… Je vais d'abord bien détendre votre conduit en faisant de lents va-et-vient jusqu’à la couronne du gland…
Le docteur commence à m’enculer en douceur… le travail de sa queue est si professionnel qu'il ressemble plus à un massage anal médical qu’à une sodomie classique. Je suis littéralement irradié par le plaisir.
- Bien, maintenant, je vais accélérer le rythme, de manière à bien stimuler votre prostate lieutenant… hmmm…. Voilà… aaah… c'est bien... vous encaissez bien, lieutenant…hmmm… votre cul est un délice, souple et suffisamment étroit !
Le plaisir s'est accentué… mon gland déverse un long fil de mouille qui vient faire une petite flaque au milieu des poils de mon ventre.
Le docteur s’arrête brièvement, sa queue toujours fichée dans mon cul, pour quitter sa blouse et se mettre torse nu, révélant un torse puissant, velu, légèrement gras, mais surtout bien musclé… il commence à transpirer lui aussi… et je peux sentir les effluves virils et musqués de ses aisselles, de son torse et de son sexe !
- J'ai la bite en feu lieutenant … oui, je m'étais pas trompé… hum… votre cul ferme, musclé et charnu est bien réceptif… aaah, c'est bon !... quand je l'ai vu moulé dans votre jean… humm… j'en ai eu envie tout de suite…
Sous les coups de boutoir du docteur, je m’abandonne complètement au feu du plaisir qui se propage de ma prostate à tout mon bas-ventre et au-delà…
Je ne cesse de gémir et de pousser des râles à moitié étouffés… le docteur accélère le rythme et je me cramponne à la table, la tête légèrement penchée vers l'arrière… ma chaîne en or s’agite dans les poils noirs et bouclés de mon torse, sous l'effet des coups de reins que j'encaisse.
J'ai envie de saisir ma queue, tellement elle est chauffée à blanc… j'ai l'impression d'avoir un boule de feu à la place de prostate… le docteur m'empêche de me finir manuellement.
- Non… lieu… ah… lieutenant… laissez faire votre prostate… voyez… je… ah… je vais maintenant donner des coups saccadés… voyez … ah… je force mon gland contre votre prostate avec ma main… voilà… hum… mon gland est juste dessus… ah… je vais bien l’essorer… oh… je ne suis plus très loin lieutenant !
- Ah… doc… hum… docteur… c'est trop bon… ah…
- Bien… relâchez- vous bien… voilà…ah… j'y suis presque…
- Ça brûle docteur… ma queue est trop dure…
- Encore quelques secondes, je… Ah… vais pas tarder !
C’en est trop pour moi… j'atteins le point de non retour… ma prostate se contracte violemment et ma bite expulse une demi-douzaine d’épais jets de sperme brûlant, qui atterrissent d'abord sur le haut de mon torse, puis mon ventre. Ma queue s’est redressée pendant l’éjaculation, comme suspendue en l'air par un fil invisible, tandis que la rondelle étrangle le fût de chair chaud qui ravage mon rectum, l'empêchant de de se mouvoir plus longtemps…
Le docteur s’immobilise tout d'un coup, la tête rejetée en arrière, les mains fortement agrippées à mes cuisses et pousse un long râle viril de plaisir tandis que sa queue, dont je sens les contractions, déverse son flot de semence chaude dans la capote.
- Eh bien, lieutenant… hum… ça été éreintant… mais au moins vous êtes apte pour le service !
Encore abasourdi par cette jouissance très intense, le docteur se retire délicatement de mon cul, enlève la capote abondamment remplie de sperme. Sa bite, telle une épaisse saucisse, pend au bout de son ventre, le gland violacé et humide. Une odeur de sperme me chatouille les narines.
Je me relève un peu après, le temps de recouvrer mes esprits, le trou encore un peu béant, la queue lourde. Le docteur s'est déjà rhabillé et me tend un morceau de sopalin.
Je le rejoins ensuite à son bureau. Il me fixe du regard, la bouche déformée par un joli sourire et me tend mon certificat d’aptitude :
- Revenez me voir dans 6 mois, lieutenant.
- Merci docteur, je n'y manquerai pas !
Merci à Gill, contributeur de ce site, pour sa relecture et ses corrections.
Jerem384
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