Chapitre 1
Bonjour à tous, cette histoire est inspiré de mon imagination j'espère qu'elle vous plaira tout autant qu'à moi.
Bonne lecture.
Nos sommes en 1958, je me prénomme Alexandre mais tout le monde dans le village m'appelle Alex ou le "chti".... effectivement je suis l'un des derniers jeune du village tout le monde est partie à la ville ou même à la capital étudier dans les grandes écoles. Très peu pour moi....
Moi j'ai 18ans 1M75, châtain foncé et des yeux verts. Un corps bien musclé par le métier et des mains d'homme comme on en fait plus.
J'ai grandi en pleine guerre avec une mère qui bossais dur à la ferme et un père mort au combat des les premiers mois. Pas facile mais on y réussi... je n'ai que très peu vu mon père mais la vie est faite ainsi.
Il y a quelque années maintenant que je travaille sur la ferme et ma mère me laisse quasiment tout faire et je lui ordonne de rester tranquille mis à part la laisser fabriquer les fromages de chèvre et récolter le miel... c'est sa drogue.
Étant tout seul et ayant bénéficié d'aide avec ma mère pour pouvoir nous agrandir nous décidons d'acheter un tracteur pour la première fois pour nous soulager sur nos 20hectares nous sommes les premiers du village à en avoir un. Un beau Renault D22.
C'est l'été et en juillet il fait chaud la chaleur du moteur n'aide pas.
Quand je vais aux champs travailler avec j'aime bien fanfaronner torse nu dessus et me laisser regarder par les jeunes garçons du bourg (il est vrai que mon corps n'es pas celui d'un souleau, non loin de là)
Après ça généralement quelques filles viennent me voir lorsque je trait torse nu à la main mes 25 chèvres.... je m'en fiche on rigole, elles me draguent mais ça m'intéresse pas !
Un beau soir alors que je flannais au volant de mon tracteur en rentrant à la ferme je vis à l'arrêt de bus du village une tête inconnue et un peu perdue. Un jeune homme d'une vingtaine d'années, avec une belle valise en cuir posée à ses pieds cherchant du regard une âme charitable.
Il est blond aux yeux bleus (mon rêve) environ 1m80.
Je m'arrête un peu après l'arrêt de bus et je lui demanda quel était son chemin.
Il me répondis:
- Bonjour, je m'appelle Paul et je cherche le hameau de Thoys
- Moi c'est Alex, enchanté (en lui serrant la main), Thoys c'est pas la porte à côté mon pauvre...
-Ha zut et cetait le dernier bus pour aujourd'hui...
Le voyant dépité je lui répondis "je t'emmène"
Nous montons sur le tracteur, lui sur l'aile avec sa grosse valise sur les bras et nous partons
Tof-tof-tof-tof-tof-tof-tof...
Le bruit du tracteur donne un silence entre nous sa tête m'est familière mais sans plus.
Puis nous parlons je tend l'oreille pour pouvoir l'entendre comme le tracteur fait un bruit d'enfer, je parvient à le comprendre quand il hausse le ton de sa douce voix
- Mais que fais-tu ici ?
- Je suis de retour au village ma foie.
- A bon ? Je ne t'ai jamais vu.
- Je suis partie en 45 a mes 6 ans avec ma mère à Paris pour qu'elle puisse gagner un peu mieux sa vie.
- Ha d'accord, (il a bien 19ans) on a du se voir mais je me rappelais pas de toi.
- Oui le temps passe
- Tu reviens reviens pour combien de temps ?
- Peut-être éternellement qui sait ?
(Dans ma tête je me réjouis d'un trait)
- Éternellement ? Pourquoi ça ?
-Ma mère est morte il y a 1 mois et mon père est malade, je rentre m'occuper de lui et essayer de trouver du travail ici.
- Je suis navré toutes mes condoléances pour ta mère et j'espère que ça ira mieux pour ton père.
- C'est gentil je t'en remercie.
- Tu as un biclou pour te déplacer ici ?
- Oui il doit sûrement y avoir quelque chose dans la grange. Ça fait une éternité que je ne suis pas revenu.
- Si tu as besoin n'hésite pas ! J'habite en haut de la colline à la Grile la maison qu'on voit là bas.
- Merci c'est gentil !
On arrive à Thoys, Paul descend et me remercie.
En rentrant sur la route je me dis qu'il a quand même une vie pas simple ce jeune au même âge que moi il se retrouve livre à lui meme avec un père sur lequel il faut veiller.
En rentrant j'explique à maman mes péripéties je me fais une toilette de chat et je pars dormir avec ma petite chatte sur les jambes. Il faut se lever tôt demain pour traire mes chéries.
Dans la nuit je ne trouve pas sommeil je repense à ce beau jeune homme. Qu'est-ce qui peut bien se cacher sous ses vêtements ? C'est clair et net il m'a tapé dans l'œil. Je descend alors mon caleçon j'attrape ma bite qui est plutôt satisfaisante et je commence à me masturber en pensant à Paul, il me faut peu de temps avant de jouir et de librer mon sperme sur mon torse. Puis je me rendors aussitôt en étalant le sperme inconsciemment dans mon lit.
Le lendemain matin je me réveilla avec les draps collés à moi... la honte.
Je descend pour manger maman n'est pas encore levée. Je mange un bout de pain, du fromage et je pars traire.
Il est environ 7h quand tout à coup, je vois une silhouette dans l'encadrement de la porte de la grange alors que je trais, je suis torse nu avec cette chaleur et Paul se présente levé du soleil dans le dos, en chemise et un semblant de short avec une bouteille de vin à la main. Il ressemble à un ange.
Je semble rêver je me frote les yeux mais non...
-Salut Alex ! Tu as vu ? J'ai trouvé du premier coup !
- Salut heu Paul, heu co-co comment vas-tu ?
- Tu as vu un fantôme ? Ça va oui et toi ?
Non un dieu, son corps est magnifique des jambes musclées et bras égaux et des pecs se dessinant sous son débardeur déjà humide.
-Non non mais j'ai pas l'habitude d'avoir du monde qui débarque à cette heure (dis-je gêné) mais oui ça va.
-Tu veux que je t'aide ?
- Si tu veux mais tu sais faire ?
-Non mais tu va m'apprendre (Dit-il en rigolant).
- D'accord, viens prend mon tabouret et met toi à ma place.
Je pris sa main douce comme de la soie et je lui pose sur le trayon de Claudette (ma chèvre) et idem pour l'autre main puis je lui explique tranquillement. Il se débrouille pas trop mal.
Je me relève je sors du tabac et me roule une cigarette en le regardant faire et en imaginant mon sexe à la place de ce trayon et bizarrement il a l'air de s'y connaître.
On se relaie et on fini la traite. Je l'invite à boire le café, maman est là je lui présente Paul. Nous parlons puis dans une discussion je lui dis que j'ai un prés où je met 5 vaches non loin de sa maison et que j'irais cet après-midi.
Il repars et maman pars faire les fromages avec notre lait de ce matin.
Je prépare de quoi faire les clôture du fameux prés cet après-midi et puis nous mangeons.
J'arrive dans le prés avec le tracteur qui s'entend de loin quand je vois tout à coup Paul arriver à fond face à moi pour venir me rejoindre. Je suis étonné mais sans plus, ça me touche.
- Je viens t'aider ?
- Oui pourquoi pas, on va tout poser là et faire le tour du prés.
Nous arrêtons le tracteur et nous lanceons à faire le tour du prés entouré de forêt. Entre temps j'ai pris le marteau et quelques clous, je refixe les fils barbelés et malencontreusement je me fais mal à un doigts (sans gravité) mais Paul prend mon doigt pour examiner ce que j'ai.
- Ça n'a pas l'air d'être grand chose
- non j'ai l'habitude ne t'en fais pas
Puis nous continuons et Paul trebuche sur une branche et essaie de se rattraper à moi en vain, je tombe avec lui.
Nous tombons l'un sur l'autre moi au dessus de lui. Le charme à sûrement du faire son effet nous restons figés il met ses bras autour de mon coup, m'enlace et m'embrasse...
Je reste stoïque et envoûté.
Un homme m'embrasse. Le rêve absolu.
Paul s'excuse se relève et part en courant..
Je ne comprend pas sa réaction, je le ratrappe et l'embrasse à mon tour. Nous sommes à l'abri de tout regards seuls, deux hommes attirés l'un par l'autre que faire ?
Paul m'embrasse langoureusement nous nous embrassons pendant une éternité puis il prend les devant et s'agenouille devant moi et baisse mon short, renifle mon caleçon remplie de la sueur de mes couilles pendant de longues minutes et saute sur ma bite poilue.
Il me suce, je rêve, sa langue embrasse mon prépuce, mon gland laisse s'écouler ce liquide séminal. Je suis aux anges.
Je vois à travers son short son barreau se tendre. Il bande !
Il prend ma bite comme une sucette et force à peine pour prendre dans sa gorge ma bite qui n'en peux déjà plus.
Il me regarde avec des yeux de soumis et me demande de le prendre !
Ni une ni deux j'accepte sa demande et puis il part se blotir contre un arbre, je rentre en lui comme dans du beurre il gémis, et nous partons rapidement dans un va et viens digne de celui d'une locomotive à vapeur. Il gémis et me demande de continuer et de le saillir.
Il est ma jument et moi son étalon. Nous ne faisons plus qu'un lorsque je joui en lui comme jamais je n'ai pu le faire auparavant, je me retire et je vois dégouliner le long de sa cuisse ma semence fraîche, il se retourne, et puis je me met à branler ses 20 bon centimètres et en rien de temps je me prend un ejaculation faciale digne de ce nom, je lèche allègrement son sperme.
Nous descendons à la rivière nous laver un peu.
Le regard amoureux nu dans la rivière nous nous embrassons et nous baignons jusqu'à la tombée de la nuit dans une sensualité époustouflante.
Nous restons chacun dans nos maisons respectives le cœur palpitant et les yeux amoureux.
Ma mère me demande où était je donc passé. Je lui répondis que je parlais avec un voisin et que je suis allé au café boire un verre. Rien d'extraordinaire...
Alexo58
