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Histoires de rasages
Les discussions vont bon train. José avait rencontré les sensations des liens et du rasage lors de son intronisation au foyer, il avait été parcouru de sensations étranges qu’il n’osait dévoiler à son entourage. Nils avait déjà davantage d’expériences avec des copines (ou des copains ?) mais était rasé depuis longtemps et le fait d’être attaché correspondait pour lui à des situations qu’il ne maîtrisait pas, il était d’accord pour continuer l’expérience mais voulait qu’on se fixe toujours les limites à ne pas dépasser. Pour moi c’était depuis 3 mois la découverte d’un monde nouveau, je suis prêt à varier avec eux les plaisirs, les endroits et les positions…Nils nous propose samedi prochain de nous retrouver dans les dunes pour faire une rencontre en plein air, l’été était chaud…On se donne rendez vous au bout d’un chemin ensablé proche du bord de mer entre Sète et Agde. Nils ira en voiture et moi je ferais route avec José que je prendrais au passage, les épreuves sportives du printemps me laissaient libre jusqu’en septembre tous les week-ends. En route pour les nouvelles aventures de trois hommes qui aiment les femmes mais qui se cultivent leur petit jardin secret…
José en mini short transparent
Je monte chez José à l’heure convenue, il était vêtu seulement d’un mini short en nylon quasi transparent… « Comment on s’habille ?»..Léger, car il fait très chaud. Moi j’avais mis un de mes cyclistes noirs de sport et un tee-shirt avec mes basquets de compet. José n’enfile qu’un débardeur sur son short à travers duquel on devinait le sexe rasé. Chemin faisant l’érotisme planait déjà…Je regardais son short, lui les formes bien détaillées de mon service 3 pièces à travers mon collant. On se touchait tranquillement en conduisant. Nous arrivions en bout du chemin ensablé. Nils était déjà là, nous apercevions la vieille R5 qui se détachait de l’horizon dénudé et solitaire des dunes et du bord de la mer. Nous nous approchons, j’arrête le moteur, nous descendons à la rencontre de Nils. Les portes de sa voiture étaient verrouillées, il était assis place du chauffeur et nous narguait. Nous le regardions au travers des carreaux…Il abaisse lentement le dossier de son siège, puis le dossier voisin…une grande couchette se fait, il s’allonge, il n’avait sur lui qu’un maillot de bain bleu comme seul vêtement. Une vraie mise en scène qu’il voulait nous offrir et maîtriser…Il écarte jambes et bras, prend tout l’espace de la position couchette. Son slip est gonflé, sa main droite vient caresser le nylon, il ferme les yeux, se soulève, gémit, c’est d’autant plus excitant qu’on ne peut pas intervenir, seulement regarder par les fenêtres…
Masturbation avec levier de vitesse
Nils s’avance un peu, les genoux contre le tableau de bord, son entre-cuisses arrive contre le levier de vitesse. Il empoigne le levier et de sa main droite l’enserre et glisse de haut en bas…le haut vers le pommeau, le bas jusqu’à son slip de bain…Comme une masturbation du levier qui était contre son sexe…Torride ! José et moi regardions par la fenêtre sans pouvoir participer, tous deux appuyés au toit de la R5. Nils continuait son spectacle infernal, branlant le levier de vitesse, insistant sur le pommeau en haut en le caressant fortement comme si c’était un gland, et s’éternisant à chaque point bas sur le nylon qu’il malaxait et qui n’allait sans doute plus tarder à se perforer…L’acteur se redresse enfin, se retourne à 4 pattes tête vers l’arrière de la bagnole, il se recule jusqu’à venir appuyer son slip contre le levier, toile tendue contre le pommeau, il s’avance un peu et se baisse jusqu’à ce que le levier s’enfile entre ses cuisses en lui frottant le derrière. Il monte et descend, le levier lui chauffe la raie à travers le nylon…C’était un spectacle irréaliste. Nous étions médusés, quel merveilleux acteur. De notre coté nous avions commencé à nous toucher un peu réciproquement. José me frottait la bosse du cuissard, je lui enfournais la main par-dessous le short par derrière puis en dessous avant de me rapprocher des couilles…
Le pommeau du levier près du cul
Nils n’en finissait pas de se frotter au levier, on l’entendait gémir. D’une main il baissa l’arrière de son slip découvrant le derrière. Le levier était maintenant en prise directe avec ses fesses et les mouvements changeaient de direction, plutôt d’avant en arrière, en insistant lorsque le pommeau se trouvait en contact avec son orifice, là il insistait sur le contact avant de s’avancer un peu et de recommencer, comme s’il voulait se rentrer la chose dans le cul malgré le diamètre de la boule…Ca a duré près d’un quart d’heure, c’était fou comme il se dandinait…Il a finit par se retourner sur le dos, baisser le slip complètement et se branler énergiquement, il n’en pouvait plus, fallait qu’il se libère dans une secousse finale terrible. Il redresse le siège chauffeur, met en route et fout le camp, nous laissant sur place médusés et frustrés. La voiture s’arrête plus loin quelques minutes, sans doute pour qu’il se rajuste. ..José et moi nous regardons, il ne nous reste plus qu’à prendre nous aussi notre plaisir, chauds que nous étions déjà, voire brûlants…
Léonel