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HISTOIRE

Premier épisode

Un week-end comme les autres

Chapitre 2

Comment est-ce possible ? Me voilà dans le salon de l’homme que j’aime depuis si longtemps sans avoir pu lui en parler. Aussi loin que je m’en souvienne, je me suis senti différent des autres garçons. Rapidement j’ai compris que j’aimais les garçons. Amoureux très tôt d’un ami de mes parents, un amour secret bien sûr, je n’avais que 6 ans, j’ai tenté de grandir en gardant ce secret. Je savais que logiquement cela ne choquerait pas ma mère, je l'avais entendu dire qu’elle aimerait bien avoir au moins un de ces fils homosexuels, car elle avait plusieurs amis gays et qu’ils étaient vraiment adorables. Pour mon père, je ne le voyais plus souvent, il était parti suffisamment loin pour que l’on se voit uniquement pendant les vacances. Puis sa situation financière ne lui permit plus de nous faire venir chez lui. Je ne lui parlais plus que par téléphone, malheureusement je sentais que nous nous éloignions petit à petit. Je ne me voyais pas au détour d’une conversation lui dire : « au fait papa, je suis gay, j’aime le meilleur ami de maman mais il n’en sait rien et en plus il a 20 ans de plus que moi … ». A présent que j’ai une autonomie financière toute relative, je peux aller voir mon père plus facilement et je le lui ai dit au détour d’une conversation. Il a reçu la nouvelle comme une gifle. Il s’est tu, puis m’a pris la main. Je sais dorénavant qu’il m’aime et que l’essentiel pour lui est que je me sente bien, peu importe que j’aime un garçon ou une fille. Il veut me voir heureux adulte lui qui ne m’a quasiment jamais vu adolescent. J’aime mon père, de façon maladroite, je dois apprendre à le connaître, trop d’années sans le voir, le côtoyer en ont presque fait pour moi un étranger. J’essaie d’aller le voir toutes les trois semaines pour un week-end j’emmène mon frère pour qu’il connaisse lui aussi notre père.

Mon beau père c’est une autre paire de manches. Sa seule qualité à mon sens était qu’il était esthétique, il était beau et il le savait. Pour le reste, il restera toujours pour moi cet individu vulgaire et violent qui me giflait ou bien me donnait des coups de ceinture pour n’importe quelle raison. Je pense qu’il était aussi sadique et qu’il jouissait de nous voir pleurer mon frère et moi après qu’il nous ait frappés. Lui aussi est au courant de mon homosexualité et je n’ai plus le droit de venir voir ma mère, ni mon frère quand il est à la maison. Je suis un rebut de la société qui ne mérite pas de vivre. Je fais avec et je ne m’en sors pas trop mal.

Le meilleur ami de ma mère fut supplanté par mon nouveau directeur d’école. Je me revois dans son bureau avec ma mère pour mon inscription au CP. Il m’a impressionné et il représentait un idéal. Tous les jours je voulais le voir, lui dire bonjour, lui parler. Lui sans se douter de quoi que ce soit me répondait, me souriait, me demandait des nouvelles de ma journée. Le summum était quand il me passait la main dans les cheveux … Certes à l’époque je ne savais pas encore que je l’aimais, c’est venu progressivement. Ma meilleure année a été mon CM1, il était mon maître deux fois par semaine. Devant lui j’étais intimidé, il m’impressionnait, ses yeux clairs, ses petites lunettes lui donnaient un air très sévère. Il n’hésitait pas non plus à me rappeler à l’ordre quand il le fallait, mais pour lui, j’essayais toujours d’être le plus parfait possible. Sans le savoir, ma mère a joué un grand rôle dans cette histoire. Très régulièrement elle vantait les mérites de mon professeur, sa gentillesse, son sérieux, sa « classe naturelle », toujours bien habillé, … Elle savait comme presque tout le monde qu’il était homosexuel, mais bien entendu elle n’était pas choqué. Quant à mon beau-père, jamais il n’a mis les pieds à l’école. Il était plus concentré à rester beau et à flirter avec toutes les voisines, il n’a donc jamais soupçonné l’homosexualité de mon directeur.

Au cours de cette année de CM1, c’est « Mon Maître », qui nous accompagnait à la piscine. Dans les vestiaires, j’étais fébrile mais je me devais de donner le change. Je l’ai vu torse nu, mince, quelques poils sur le torse. Mais ce fut bref puisqu’il a tout de suite mis un tee-shirt. En maillot de bain j’ai pu admirer ses jambes, longues et fines, poilues, au-dessus desquelles j’ai pu voir un maillot de bain très sobre. Première séance, rien de spécial, mais je guettais son regard et lui était très attentif aux autres élèves. Je pense maintenant que pour un enseignant, les séances de piscine doivent être hyper stressantes, la peur de voir un élève se noyer par exemple. Au cours de la deuxième séance, j’étais dans le groupe des nageurs moyens, avec mon maître en guise de professeur. Et là, une fille panique dans l’eau, le maître la rassure et voyant que cela ne fonctionnait pas, il a enlevé le tee-shirt et est rentré dans l’eau. Ouah ouh ! mon maître en maillot de bain, voilà ma première image érotique, celle qui me hantera des années durant. Il faut dire qu’il n’était plus complexé et qu’il est resté dans l’eau avec nous. Je crois bien qu’à un moment il a surpris mon regard sur son entrejambe et il a eu l’air embarrassé. Moi je devais sourire comme un crétin … Malheureusement pour moi il n’y eut plus de séances de piscine, celle-ci ayant dû fermer à cause d’un problème technique. Son influence sur moi a été diverse, le style vestimentaire, des lunettes pas ordinaires, la sobriété des paroles, l’envie de réussir pour lui plaire … Je buvais ses paroles, je rêvais en classe que je passais une journée chez lui, qu’il devenait mon mentor. Puis l’année a passé, j’ai eu le droit aux félicitations dans mon carnet, puis j’ai changé d’enseignant, une femme, gentille et très stricte. Je savais que mon directeur avait une grande confiance en elle et qu’il avait fait en sorte que je sois dans cette classe. Je croisais le directeur aussi souvent que possible, sur le temps du midi je m’arrangeais pour être proche de son bureau, je voulais rester au cours du soir avec lui etc. Puis je suis passé au collège, plus le temps de passer mes journées à guetter un regard, un geste. Je passais de temps en temps le soir pour récupérer mon frère mais le directeur n’était pas toujours présent. J’ai suivi mon bonhomme de chemin, et j’ai toujours gardé dans un coin de ma tête, l’idée que ce serait lui l’homme de ma vie. Le collège fut pour moi un enfer de chaque instant, les brimades, les insultes. Les durs à cuire ont tout de suite senti que j’étais différent et me l’ont fait payer. Au lycée je suis redevenu plus anonyme, j’ai choisi le lycée le plus proche de chez moi, pas le plus côté, j’ai pu enfin avancer plus sereinement mais cela ne m’a pas tout de même pas permis de m’épanouir totalement, je n’étais pas prêt comme d’autres l’avaient déjà fait dans mes différentes classes, à faire mon coming out … Certes j’ai eu des petits copains, mais rien de sérieux et rien d’enflammant pour moi. Je me sentais mal dans ma peau, pas mal de chose à gérer, mon père, ma mère et mon beau père, mon homosexualité … En discutant avec une de mes camarades de classe, avec qui j’étais très proche, celle-ci me conseilla un thérapeute qui l’avait beaucoup aidé. Il n’était pas loin du lycée et j’ai pris un rendez-vous. Au départ je n’ai rien dit à ma mère et je prenais sur l’argent de la nourriture pour me payer les séances, puis après j’ai trouvé un job pour m’aider à joindre les deux bouts. La thérapie a été payante, je me suis senti mieux dans ma tête et dans mon corps, et surtout, ce qui en est ressorti, j’étais totalement obnubilé par mon ancien instituteur, je l’aimais depuis déjà quelques années sans le savoir réellement…

Après le lycée, j’ai choisi d’aller à l’université, d’abord parce que cela me permettait de me retrouver dans la même ville que lui. Je n’avais pas d’idée prédéfinie de mon avenir professionnel, je voulais réussir mon avenir personnel. J’ai cherché dans l’annuaire, j’ai trouvé son adresse, et je suis passé des dizaines de fois dans sa rue, à tout moment de la journée, mais sans jamais l’apercevoir. J’ai été ensuite plus méthodique, je planquais à proximité. Je l’ai aperçu qui sortait et je l’ai suivi à distance, plusieurs fois de suite, en me disant que j’allais l’aborder, en imaginant tous les scénarios possibles, sans jamais y arriver. Puis j’ai pris mon courage à deux mains et je me suis décidé à me rendre chez lui pour lui parler. Quelle journée, à peine arrivé, je le vois qui rentre. Je suis tétanisé. Je fais marche arrière. Je m’assois sur le pas d’une porte un peu plus loin et je réfléchis. Une pluie battante se met à tomber, je suis trempé en un instant, je ne bouge plus, je suis transi de froid. Je vois quelqu’un qui entre dans son immeuble, je cours et réussis à entrer. Je monte les étages et arrivé devant sa porte, j’appuie sur la sonnette. Mon cœur me fait mal, ma tête va exploser, j’ai la gorge sèche, les secondes me paraissent des heures. Je me dis qu’il faut que je parte, je vais avoir l’air ridicule. La porte s’ouvre, je le vois enfin, il est surpris, ne me reconnaît pas c’est sûr, à moins que ce soit parce que je dégouline sur son tapis ? Il finit par me proposer d’entrer et va me chercher une serviette pour m’essuyer.

Me voilà donc chez lui, une musique très douce, une odeur agréable (je comprendrai plus tard que c’était l’odeur du thé), je n’ose bouger, je ne peux plus parler, je suis totalement pétrifié. Ce moment tant attendu est enfin arrivé et bien que je l’ai imaginé des centaines de fois, je ne sais pas ce que je dois faire, ni ce que je dois dire. Il me tend une serviette, me réponds, j’ai donc dû dire quelque chose. Il se rappelle de moi. Je le vois songeur mais au final il me sourit, je suis sauvé. Je suis dans son univers, une quantité de livres sur les murs, de jolis meubles anciens, je découvre enfin ce lieu que j’ai imaginé tant de fois. Il me fait entrer et me propose de m’asseoir dans un canapé. Il s’assoit en face de moi, de l’autre côté d’une table basse. Malgré toute sa gentillesse je n’arrive pas à lui dire, les mots restent bloqués. Il est patient et je finis par lui raconter mon parcours, lui expliquer que je le suis depuis plusieurs jours car j’avais très envie de lui parler sans réussir à le faire. Et je finis par lâcher dans un murmure que je l’aime. Bien sûr cela m’a pris du temps pour tout lui dire et je le vois abasourdi par mes derniers mots. Je n’arrive pas à savoir ce qu’il en pense. Je suis déjà en train de me dire que j’ai fait une énorme boulette et qu’il va me mettre dehors. Je me lève et décide de partir, je me sens mal à l’aise, j’ai mal dans la poitrine. Il est là près de moi et je l’aime plus que tout et je viens de tout foutre en l’air avec mes gamineries. Je n’ai pas le temps de saisir la poignée qu’il m’a déjà rattrapé. Je pleure sans pouvoir me retenir, les larmes coulent sur mes joues, le goût salé sur mes lèvres est des plus désagréables. Je me retourne vers lui, il me prend dans ses bras et me serre fort. Je sens son cœur qui bat contre le mien. Tout n’est donc pas perdu. Peut-être m’aime-t-il lui aussi … Il faut que j’arrête de penser. Je m’abandonne dans ses bras. Je l’aime.

Pour être le plus autonome possible, pourne plus être obligé de vivre chez ma mère avec mon beau-père, j'ai trouvé un job dans le MacDo du centre ville. Ce n'est pas épanouissant, je sens souvent la viande et les picckles en rentrant le soir mais les horaires me permettent de travailler et suivre mes cours. Aujourd'hui, je n'ai pas la tête ni aux cours du matin, ni à la conception des burgers. Depuis que j'ai reçu son message ce matin, je suis sur un nuage. Je me brûle suffisamment souvent sur la plaque de cuisson pour savoir que je ne vis pas un rêve. L'homme que j'aime viens me chercher ce soir. Je me fais des films sur la soirée et la nuit. Et aussi des flips monstrueux car il va peut être me dire que ce n'est pas possible, notre différence d'âge, notre histoire … Je regarde la pendule toutes les 5 min depuis 21h30. Je me sens frébrile. C'est bon, il est 22h, je pointe et je sors avec deux de mes collègues. Je scrute le parking et je l'aperçois, il est là à m’attendre, mon cœur fait un bond quand je l’aperçois, je lui souris.Je rejoins sa voiture et monte à côté de lui. Arrivé chez lui, nous nous installons dans son séjour et je me livre une nouvelle fois, nous nous retrouvons enlacés, ma respiration est syncopée. Je rapproche mes lèvres des siennes mais il tourne la tête. Tout s’effondre à ce moment ? Non car je sens qu’il lutte contre quelque chose, mais quoi ? Il me propose de coucher chez lui, dans la chambre d’amis et de passer la journée du lendemain ensemble. J’accepte en rougissant, mais je ne pense pas qu’il l’ait remarqué. Il me met à l’aise, me sors le nécessaire pour faire un brin de toilette et je m’enferme dans la salle de bains. Je scrute la pièce, je prends les flacns de parfums et les sens pour retrouver celui qu'il porte. Sa salle de bains est aussi bien rangée que le reste de l'appartement. Tout en me lavant les dents je réfléchissais à ce qui était en train de m’arriver. Un mélange de joie et d’inquiétude, une envie de hurler de bonheur mais la peur d’aller trop vite. Je me déshabille et je sors avec juste mon petit boxer. Il me tourne le dos et quand il m’entend, se retourne et détourne aussitôt les yeux, n’osant pas me regarder. J'entre dans la chambre d'amis, je ferme la porte mais je colle mon oreille pour écouter ce qu'il fait. Je me sens ridicule et finis par me coucher et j’attends qu’il se couche à son tour pour m’endormir. Il passe me souhaiter une bonne nuit et part s’enfermer dans sa chambre. Je l’entends dans sa chambre, il tourne dans son lit, il ne réussit pas à s’endormir ? Moi je suis hyper tendu, mais je finis par sombrer. Je me réveille en sursaut, je pense avoir rêvé, mais non je suis bien chez lui, l’objet de mon désir et de mon amour est bien là dans la pièce d’à côté. Je l’entends qui dort et je décide d’aller le rejoindre dans son lit. J’ouvre sa porte, il dort profondément sur le côté gauche du lit, je fais le tour et me glisse doucement sous sa couette. J’attends une minute ou deux et je me rapproche de lui, je finis par me coller à lui, sentir sa peau contre la mienne m’a complètement électrisé. Je ne veux rien brusquer, je me contente de le sentir contre moi et je finis par m’endormir lové contre lui. Je sors à peine de mon sommeil lorsque je sens une présence bouger à côté de moi. J’ouvre un œil puis deux …. Il est là à me regarder, surpris de me voir couché dans son lit. Il me sourit, je suis aux anges. Il se lève et j’ai à peine le temps d’apercevoir son corps nu. J’ai toujours en mémoire cette image de lui en maillot de bain. Je replonge doucement dans le sommeil avec je le sens un sourire béat. Ce sont les bruits provenant de la cuisine qui me réveille totalement. Je me décide à me lever et c’est tout de même un peu honteux que je l’ai rejoint dans sa cuisine où il préparait le petit déjeuner. Je réagis à son regard que je ne suis vêtu que de mon boxer mais je m’assois rapidement et j’accepte volontiers un bol de céréales. Le petit déjeuner se passe dans le silence. Je n’ose pas perturber ce moment qui a l’air d’être très important pour lui. Le son de mon portable vient rompre le silence et je cours répondre à l’appel. Il me fait signe qu’il n’y a pas de problème et je prends la communication. C’est mon frère qui comme chaque jour m’appelle pour donner et prendre de mes nouvelles. Je lui annonce que j’ai passé la nuit dans le lit de notre ancien directeur. Pendant quelques secondes il n’a rien dit puis il m’a félicité, d’avoir enfin réussi à satisfaire un souhait vieux de plusieurs années. Je l’arrête vite dans ses paroles et lui annonce que la nuit fut chaste et que je ne sais pas où cette histoire va me mener. Je l’embrasse et lui promets de le rappeler pour lui donner plus de détails.

Je rejoins Maxence, et oui c'est son prénom, (prénom que j'ai récité des centaines de fois comme un mantra) qui termine de déjeuner. Je me dépêche de terminer je file me doucher. Il m’a proposé d’aller faire un tour au bord de la mer, ce que j’ai accepté tout de suite. J’étais ravi à l’idée de passer une journée à ses côtés, mais je ne savais toujours pas quoi penser quant à ce qu’il ressentait pour moi. Dans la voiture, je me suis laissé bercer par les images qui défilaient, par le bruit de la voiture et par la musique si douce. Mes pensées filaient à la vitesse de la lumière. J’essayais d’imaginer le goût de ses lèvres, comment serait notre premier baiser, notre première relation sexuelle … Je m’enhardis à lui dire que je me sens bien et que cela ne m’était pas arrivé depuis longtemps. Il commence à parler mais fais une pause, pour enfin me dire que lui aussi se sent bien en ma présence. Une fois arrivés nous marchons en bord de plage. C’est impressionnant, malgré le bruit de la mer sur les galets, il règne un calme reposant. Nous nous asseyons un peu plus haut dans le sable, assis à côté l’un de l’autre, mais pas collés comme je le voudrais, je sens sa chaleur. La situation m’émeut et un frisson me parcourt l’épine dorsale. Il est surpris, il se colle à moi. Je veux que ce moment dure toujours. Je le sens fébrile à son tour, je me tourne et colle mes lèvres aux siennes. Notre premier baiser ! Je l’aime de tout mon cœur et l’émotion me gagne de plus en plus. Nous rentrons chez lui. Le chemin du retour me paraît interminable. Arrivé dans son appartement, la porte à peine refermée nous avons repris notre baiser, nous nous sommes déshabillés en marchant et c’est nus que nous nous sommes allongés sur son lit. C’est ce jour-là que ma vie a vraiment commencé, dans les bras de celui que j’aime depuis tant d’années. Cette journée marque le début de notre histoire, faite de plaisirs, de folies, d’amour. Peut-être qu’un jour nous pourrons nous marier, je ne peux plus imaginer ma vie sans lui. La différence d’âge ne m’effraie pas, et je me fous de ce que pensent les autres. Je sais qu'il est plus inquiet à ce sujet, qu’il me dit souvent que je le quitterai un jour pour quelqu’un de mon âge. Loin de moi cette idée, mon amour pour lui est tellement fort, il m’apporte l’amour, la sérénité, la stabilité. Mon cœur se serre dès que je le vois franchir une porte. Nous sommes faits l’un pour l’autre et je ne regretterai jamais d’avoir eu l’audace de l’aborder ce jour de pluie, il y a maintenant plusieurs mois.

Porphyrogenete

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