Karim est un de mes plans cul réguliers. On arrive à se capter une fois par mois en moyenne depuis plusieurs mois maintenant. On commence à bien se connaitre ce qui rend nos moments intimes de plus en plus satisfaisants.
Karim fait partie de ces actifs qui savent faire ce qu’il faut pour faire plaisir aux mecs qu’ils baisent. Il sait prendre les choses en main et ne me laisse jamais sur ma faim.
Hier soir j’ai reçu un texto de sa part qui a réveillé en moi de très bons souvenirs :
« Salut Jordan ! Comment tu vas ? Donne-moi de tes nouvelles et surtout dis-moi quand tu es dispo pour que je m’occupe de toi… »
J’ai chaud rien qu’en lisant le texto qui me ramène à nos précédentes expériences. Je lui réponds que je suis dispo le lendemain soir. Il saute sur l’occasion et réserve ma soirée.
À 20 h tapantes, Karim sonne à ma porte. Je lui ouvre et comme à chaque fois, son charme ne manque pas de faire son effet. Du haut de ses 190 cm, il me regarde avec ses yeux vert clair qui me donnent l’impression qu’il sait exactement à quoi je pense.
Sans perdre une seconde, Karim, se jette sur mes lèvres, sa langue s’enfonce dans ma bouche, ses mains puissantes entourent mes hanches, caressent mes fesses et me rapprochent de lui. Ce baiser ne dure que quelques secondes, mais je sens déjà en moi une envie incontrôlable.
« Tu m’avais manqué beauté », me dit-il avec son sourire de charmeur. Je peux à peine lui répondre, je n’ai qu’une envie, qu’il recommence tout de suite.
Je l’invite au salon, il s’installe sur le canapé et on s’ouvre une bière chacun. Il commence à me raconter un peu les nouveautés depuis notre dernière rencontre. Je bois ses paroles, sa façon de parler, sa voix grave, m’hypnotise. Je m’accroche à chacun des sons qu’il émet. Il me pose des questions pour en savoir plus sur moi et je me dévoile de plus en plus à chaque fois que l’on se voit. Il en profite pour prendre ma main et la caresser.
J’arrête de parler, il me fixe droit dans les yeux et me laisse venir à lui. Je pose ma bouche contre la sienne et sens sa main remonter sur ma nuque, dans mes cheveux et descendre sur mon cou. Sa langue prend possession de ma bouche, ses lèvres guident mes lèvres, je m’abandonne à lui et il me tire contre lui, m’allonge au-dessus de lui. Son souffle s’accélère, ses mains agrippent mes fesses. Je sens au-dessous de moi son torse qui se contracte pour m’accueillir. J’en profite pour lui embrasser le cou et j’entends un léger râle de plaisir qui m’indique que je suis dans la bonne direction. Il enlève mon t-shirt et passe ses mains dans mon dos, il attrape mes cheveux, tire ma tête en arrière et se met à dévorer mon cou. L’excitation monte, je sens son souffle sur ma peau, sa langue sur mon cou fait frissonner tout mon corps. Je passe ma main sur son torse, et enlève sa haute qui m’empêche d’admirer son corps. Je profite de la vue, son torse légèrement poilu, ses pectoraux dessinés qui surplombent ses abdos me donnent envie de me donner à lui. Pendant que je lèche son téton, je sens sa main qui se pose sur mon crâne, notre excitation est à son comble et nous ne pouvons plus nous retenir.
Il pousse ma tête vers son bas ventre et murmure doucement « suce-moi ». Je ne peux pas résister à cette demande. Ma bouche s’arrête sur son sexe par-dessus son pantalon et je sens que Karim est tout aussi excité que moi. Il déboutonne son jean, prend mon visage et l’enfonce sur sa queue toujours enfermée par son caleçon. Elle ne demande qu’à sortir, je ne demande qu’à la gouter, mais Karim fait durer le plaisir, je l’entends soupirer de plus en plus fort. Finalement, Karim se relève et s’assoie sur le canapé, me roule une pelle à me couper le souffle et me guide de sa main sur ma nuque vers le sol.
Je suis à genoux devant lui, entre ses jambes, il me jette un regard et me demande « tu veux me sucer ? ». Je n’ose pas répondre, mais il voit dans mes yeux que mon envie est aussi grande que la sienne. Il libère enfin sa queue, 19 cm, circoncise, droite et raide, son érection est à son maximum. Il la prend dans sa main, « ouvre la bouche et tire la langue, bébé ». Je m’exécute et il se met à me bifler, je sens son gland mouiller qui tape mon visage, il frotte sa queue sur ma langue, le voir m’utiliser pour son plaisir fait monter mon excitation et j’avale sa queue d’un trait. Surpris par mon mouvement il lâche un râle de plaisir et vient poser sa main sur mon crâne, il me caresse les cheveux et me murmure des encouragements « vas-y suce moi, comme ça ». Sa main se fait de plus en plus lourde sur mon crâne et je sens que Karim veut prendre les commandes. Il se lève, je suis maintenant à genoux devant ce mec, il pose ses couilles sur mon visage et se branle quelques secondes. Il redescend vers moi pour me rouler une nouvelle pelle, « ouvre la bouche », me dit-il de sa voix grave. Il enfonce sa queue dans ma bouche centimètre par centimètre, lentement, pour faire durer le plaisir. Ses mouvements de hanches se conjuguent à la pression qu’il exerce sur mon crâne, il prend possession de ma bouche et accélère le mouvement. Le gout de sa queue me rend accro. J’admire ce mec et je prends mon pied, j’entends sa respiration s’accélérer.
« Regarde-moi quand tu me suces, petite pute. » Mes yeux plongent dans les siens, je sens son gland qui rentre et sort de ma gorge, il profite de que je reprenne mon souffle pour plonger de nouveau sa queue dans ma bouche. Je suis un instrument pour son plaisir et j’adore ça. Son mouvement se fait de plus en plus rapide, Karim laisse tomber sa tête en arrière, laisse échapper un cri de plaisir, je sens sa queue qui durcit, il attrape mes cheveux et tire ma tête en arrière pour poser son jus chaud sur mon visage. Son souffle est haletant, il caresse mon visage avec sa queue et me demande de la lécher, je m’exécute et il tressaute de plaisir quand ma langue vient lécher son gland.
Karim se penche vers moi, m’attrape et me relève. Sa langue passe sur mon visage partout où il y a déposé sa semence, il n’en perd pas une goutte et me roule une pelle avec son jus qui fait monter mon excitation. Ma queue est toujours emprisonnée dans mon jean.
On s’assoit sur le canapé, son regard est resté vicieux malgré son orgasme, « Je ne vais pas te laisser comme ça » me dit-il en posant sa main au-dessus de mon jean…
Jogia
