Un soir de gr�ve 6Une journ�e dans Paris Apr�s cette chevauch�e fantastique, Matthieu et moi sommes all�s nous doucher. Ce fut l'occasion de quelques caresses appuy�es mais nous sommes rest�s plus sages que la nuit derni�re. Ne pouvant pas sorti dans mon costume t�ch� par la semence de Matthieu, il me pr�ta un polo et un jean, un peu trop grand pour moi.
- allez, on va aller faire une ballade dans Paris, ca te dit ? Matthieu semblait tout guilleret, lib�r� d'un poids qui l'avait oppress� depuis tant d'ann�es. Nous sommes sortis tous les deux dans la rue, sereins, heureux, comme deux potes qui allaient passer une journ�e ensemble. Matthieu me dit qu'il n'avait jamais pris le temps d'aller voir les toiles du Louvre. Nous sommes all�s jouer les touristes, baragouinant un anglais d'op�rette qui nous faisait rire aux �clats devant l'air ahuri des guichetiers et autres vigiles du mus�e. Devant la Joconde, nous avons fait les touristes �poustoufl�s, nous exclamant � grands cris devant le g�nie de L�onard. Quelques statues ont retenues notre attention par leur plastique, tout en d�plorant que d'aussi beaux m�les aient d'aussi petites queues. On peut �tre un dieu et avoir un sexe d'ange.... Apr�s cette escapade touristique, nous sommes all�s d�jeuner sur les grands boulevards. L�, malgr� l'anonymat de la foule, nous �tions attabl�s � une terrasse, mais Matthieu semblait g�n�, comme s'il craignait de rencontrer quelqu'un de connaissance, qui le reconna�trait.
-Matthieu, tu as l'air stress�, �a ne va pas ? Il �clata de rire, comprenant qu'il n'y avait aucun risque pour lui et moi d'une quelconque compromission.
Il reprit la conversation, � la fois d�tendu et grave. Je sentais que �a le soulageait de pouvoir en parler librement, sans peur d'�tre jug�, pour ne pas dire excommunier !!!! Je l'ai laiss� parl� quasiment tout le d�jeuner, de ses go�ts, de ses d�go�ts, de lui, de sa famille. Il parlait de cette derni�re avec une telle force et une telle intensit� que je sentais bien que, quoique je fisse hier soir, jamais il n'aurait d�truit son harmonie familiale. A travers ses paroles, je d�couvrais tout son amour pour sa femme et ses enfants, et je comprenais sans mal que je ne serais jamais que l'amant cach�. Mais si une pointe perfide de jalousie me piqua une seconde le coeur, je l'oubliais aussi vite qu'elle �tait arriv�e, pour ne penser qu'� demain et ce que nous allions apprendre � construire secr�tement ensemble. Apr�s une longue pause d�jeuner, j'indiquais � Matthieu que je devais me rendre dans un grand magasin pour m'acheter mon parfum habituel. Nous nous sommes rendu Boulevard Haussmann, o� j'avais mes habitudes. Apr�s mon achat, Matthieu me proposa de faire un tour dans les �tages de mode masculine, et nous nous sommes retrouv�s au rayon underwear.
- Je te dois un boxer, me dit-il avec un sourire en coin. Mon choix se porta sur un shorty CK � bande de ceinture or, tr�s kitch mais qui me plaisait. Matthieu le r�gla, puis en regagnant la sortie, il s'arr�ta devant le rayon des shorts de bain. Il en s�lectionna plusieurs et se dirigea vers les cabines. -viens avec moi tu me diras ce que tu en penses. La seule cabine de disponible �tait la cabine handicap�e. Il y p�n�tra et m'invita � le rejoindre. Je refermais la porte � clef et m'installais sur le tabouret. Il se d�shabilla, ne gardant que son shorty. La vue de Matthieu dans cette tenue alluma en moi un d�sir profond de le mettre � nu. Il enfilait et enlevait les diff�rents mod�les choisis, et ces s�ances commen�aient s�rieusement � m'exciter. Le dernier mod�le �tait un shorty de bain, qui mettait ses formes masculines particuli�rement en valeur, malgr� la double �paisseur due a son sous v�tement. Mon pantalon �tait d�form� au niveau de la braguette par une �rection que je n'arrivais pas et ne voulais pas contr�ler. Il se tourna vers moi, les poings sur les hanches, les jambes l�g�rement �cart�es, et me dit :
- qu'est ce que tu penses de celui, un peu moule burne non ? Il se mit face a moi, a 10 cm de mon visage. Je posais mes mains sur ses hanches et doucement passait mon visage sur sa bosse qui ne tardait pas � durcir. Il ferma les yeux et me caressa les cheveux. Mes mains gliss�rent sur son membre dessin� et le caress�rent longuement. Matthieu g�missait doucement. Je saisis la ceinture du maillot de bain et le fit glisser sur ses cuisses muscl�es. Une petite tache de mouille �tait apparu sur son sous v�tement et doucement, de la langue, je l�chais cette preuve que mes caresses faisaient de l'effet.
- Arr�te Romain, on va se faire gauler !!! Je faisais glisser son shorty sur ses hanches, d�voilant sa touffe brune. J'y enfouis mon nez, respirant pleinement son parfum d'homme, puis je d�gageais ses fesses de l'emprise du tissu. Mes doigts gliss�rent vers sa raie et plong�rent vers son petit trou. Il sursauta de surprise quand je le p�n�trai du majeur, pendant qu'avec mes dents, je baissais son shorty sous ses couilles. Sa queue raide jaillit contre mon visage et j'appliquais mes l�vres sur son f�t chaud et raide. A petits coups de langue, je lapais sa verge de la base des couilles vers son gland, tout en fouillant son petit cul. Matthieu s'agrippa � mes �paules lorsque, entre mes l�vres, je saisis son gland pour le d�calotter et l'avaler. J'entamais alors une fellation lente, faisant g�mir encore davantage un Matthieu totalement sous l'emprise de mes caresses buccales et anales. Il saisit ma t�te et commen�a � me limer la bouche. Pendant que je le su�ais � fond, les 3 miroirs de la cabine me renvoyaient les images de mon doigtage en r�gle. Je sentais Matthieu heureux de cet " extra " et s'abandonnant pleinement au plaisir que je lui procurai. Il �tait excit� par l'incongruit� du lieu, la sensualit� de mes caresses, et le limage en r�gle qu'il m'imposait dans ma gorge chaude. Je me relevais et retournais Matthieu, le courbant vers l'avant. Il prit appui sur le miroir d'en face et j'�cartais ses fesses pour venir l�cher son trou. D'une main, je le masturbais pendant que ma langue s'immis�ait dans son anus. Les g�missements �taient remplac�s par des r�les de plaisir que Matthieu essayait de garder le plus discret possible. Autour de nous, nous entendions le froissement des v�tements que les autres clients enfilaient et d�faisaient. Je m'appliquais � bien mouiller sa rondelle et � maintenir son �rection, quand Matthieu tourna son visage vers moi et me demanda de le prendre maintenant. Ne me faisant pas prier, je baissais mon pantalon et mon boxer, lib�rant enfin ma verge tendue et la positionna sur son anus. Je poussais mon gland doucement et p�n�trais Matthieu sans temps d'arr�t, enfon�ant au plus profond de son ventre ma verge raide. Lorsque ma touffe rencontra sa raie. Matthieu se redressa pour que nous nous embrassions. Il ondulait du cul pendant le baiser, jouant en lui avec ma bite. Je le pris par les hanches et le limait lentement. Notre image renvoy�e � l'infini par les miroirs nous excitaient encore plus, et Matthieu se d�lectait de se voir ainsi enculer, les shorty sur les cuisses, et moi le fut et le boxer sur les chevilles. J'acc�l�rais mon limage et commen�ais s�rieusement � lui d�foncer son petit cul. Matthieu se tenait d'une main contre le miroir, pendant que l'autre astiquait sa bite fr�n�tiquement. Le plaisir montait de plus en plus et je vis d'un seul coup un jet de sperme venir s'�taler sur le miroir face � Matthieu. En jouissant, il contracta son cul sur ma bite et j'�jaculai dans ses fesses. Nous sommes rest�s 5 bonnes minutes ainsi, moi prenant appui sur son dos, lui se tenant au miroir. Ma bite se ramollit lentement et glissa de son cul chaud et tapiss� de mon jus. Le sperme de Matthieu glissait lentement sur le miroir, derni�re trace de nos amours de cabine. Nous nous sommes rhabill�s tranquillement, prenant le temps d'une petite toilette intime avec nos kleenex et effa�ant comme nous pouvions les traces de nos " exploits " de cabine. En sortant, nous avons c�d� la place � un jeune mec, lui aussi allant essayer des maillots avec sa copine, et nous l'avons entendu lui dire :
- ca sent le mec la dedans !!! En regardant ma montre, je constatais effectivement que nous y avions pass� plus d'une demi-heure. Le jeune mec nous regarda avec insistance, et, pendant que sa copine entrait dans la cabine, nous fit un clin d'oeil et se caressa discr�tement le paquet. Matthieu devint pivoine et je l'entrainais hors des salons d'essayage en riant devant son trouble.
- je suis s�r qu'il t'a reconnu ce type, dis-je hilare Matthieu alla d�poser les maillots en rayon, puis se ravisant, r�cup�ra le shorty de bain pour l'acheter. La caissi�re, qui semblait s'emmerder comme un rat mort, prit machinalement le maillot et le replia pour le mettre en sac, lorsque son geste s'arr�ta net : - OH bah ca alors, il est t�ch�, nous dit elle en montrant le fond du maillot, �a c'est encore un gamin qui s'est mouch� dedans, on va vous le changer Monsieur. JOSINE, tu peux en mettre un autre pour le Monsieur... Matthieu la regarda presque g�n�
- non laissez je le laverai avant. Matthieu rougit fortement
- Oh je vous ai choqu�, dit la caissi�re, mais y a des malades, faire �a en cabine, faut �tre fou, non ???? Josine arriva enfin avec un maillot tout neuf, et Matthieu s'empressa de r�gler son achat pour quitter au plus vite cette caissi�re et la conversation entam�e. J'�tais rest� en retrait, laissant Matthieu se d�brouiller avec cette caissi�re. J'avais observ� la sc�ne d'un oeil amus�, et je r�cup�rais un Matthieu suant � grosses gouttes.
- Et bien, elle t'a fait de l'effet cette caissi�re, elle t'a dragu� pour te proposer un essayage particulier en cabine, lui dis-je ironique. Nous avons continu� notre ballade � travers Paris, naviguant au gr� des rues, sans but pr�cis, et nos pas nous men�rent en d�but de soir�e vers St Germain des Pr�s.
- je connais un petit resto sympa dans le coin, ca te dit, me demanda Matthieu. Nous f�mes install�s par une charmante serveuse dans la cour int�rieure d'un petit h�tel particulier, � l'abri des bruits de la ville. Le repas se d�roula tranquillement, entre deux amis qui devisaient ensemble. Nous profitions de ces instants privil�gi�s, sachant pertinemment qu'ils ne seraient pas si nombreux par la suite. Matthieu allait retrouver sa vie de famille, et nos rencontres amoureuses seraient n�cessairement plus espac�es. Je ressentais en moi une boule de tristesse grandir, car, en envisageant ces rencontres, je r�alisais que si je voulais vivre pleinement mon amour pour Matthieu, il me faudrait malgr� tout accepter que celui-ci ne soit pas aussi disponible que je l'aurais voulu. - Dis moi Matthieu, comment envisages tu la suite pour nous deux ? Ma question le prit au d�pourvu et le plongea dans un ab�me de perplexit�. Sa r�ponse tardait � venir, et je sentais bien qu'il cherchait en lui les ressources n�cessaires pour trouver une solution " convenable "
- Je ne sais pas Romain. Pour l'instant, c'est facile, Marie n'est pas l�, mais c'est vrai, comment allons nous faire les autres fois ? J'avoue que je n'ai pas de r�ponse satisfaisante � t'apporter. Mais quoi qu'il en soit, je veux te revoir, je veux que nous passions du temps ensemble. Le repas s'acheva sur cette promesse mutuelle. Apr�s avoir r�gl� et rejoint la rue, Matthieu me proposa de retourner chez lui.
- Tu n'as pas pris le contrat, et puis ton costume est rest� dans ma chambre. Nous avons regagn� rapidement son appartement, et je r�cup�rai mes affaires et le fameux contrat. Je me dirigeais vers la porte quand Matthieu me prit par la main.
- Tu veux d�j� partir ? Il d�posa un baiser dans mon cou, puis sa t�te sur mon �paule. Doucement, de ma main libre, je le caressai, sentant bien que la s�paration serait difficile apr�s cette fabuleuse journ�e.
- Si tu veux, tu peux me raccompagner chez moi, luis dis-je. Un sourire radieux �claira le visage de Matthieu. - J'en ai pour 2 minutes, m�me pas !!! Ne bouge surtout pas, j'arrive tout de suite. Pendant qu'il filait dans sa chambre et sa salle de bains, je regardais le contrat qui m'avait valu cette si belle journ�e. En regardant le montant total, je fus estomaqu� !!! Romain venait de me confier deux millions d'euros !!! En un seul contrat, je ramenais 10% du chiffre annuel de ma soci�t� !!! Demain, j'allais �tre le roi du p�trole aupr�s de son beau p�re et accessoirement mon patron !!!! Mais ce serait pour demain. Ce soir, j'�tais le roi du monde en ayant Matthieu dans mon lit. A suivre.... Romain JM
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