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La plage du Porge est d�serte en ce mois de septembre, mais le temps est id�al pour une petite promenade, Jean-Claude esp�re bien que cette journ�e paisible lui permettra de se remettre de cette semaine harassante au bureau.

Le passage quotidien � la gym lui permet de bien d�compresser et entretenir son corps muscl�, bronz� avec des yeux d'un bleu profond, c'est le genre d'homme qui s�duit au premier regard. Il suffit de croiser ces yeux l� pour y succomber de suite, ils promettent des moments chauds voire extr�mes.

Mais la plage est calme, rien � l'horizon, il installe sa serviette de plage sous un pin en bordure de la dune et s'installe tranquillement et entame le dernier d�lire de Dustan.

Ses yeux d�rivent de temps en temps sur le bord de mer esp�rant voir au moins quelques promeneurs mais son espoir est longtemps d��u. Ce n'est qu'arriv� � la fin du premier chapitre qu'il remarque deux silhouettes qui se profilent � l'horizon de la baie.
Elles approchent vers lui mais sont encore trop �loign�es pour en distinguer les d�tails, en tous les cas ce sont deux hommes...
Plus ils s'approchent et plus Jean-Claude est int�ress�, car les lignes sont fermes et muscl�es. Ils sont bien diff�rents, l'un grand et aux cheveux ras�s porte bouc et moustache, l'autre plus petit et r�bl� est tr�s muscl�, cheveux noirs et moustache.
Visiblement ils ont rep�r� Jean-Claude car leur trajectoire d�vie insensiblement vers lui. Ils quittent le bord de mer pour lentement se diriger vers lui.
Encore trop loin pour distinguer les d�tails de leur anatomie Jean-Claude remarque qu'ils sont totalement nus.
Le spectacle offert est remarquable, ils sont bien mont�s et leur approche augmente au fur et � mesure une �rection grandissante de leurs bites.

Le message est clair et �vident ! Ils ont envie d'action et Jean-Claude �galement, il le leur fait savoir de fa�on non �quivoque en exhibant sa queue munie d'un prince Albert de taille imposante.
Sans un mot les gar�ons s'approchent en souriant et se placent de chaque c�t� de Jean-Claude sur sa serviette de bain. La plage est toujours d�serte et le soleil n'en finit pas de tout baigner d'une lumi�re aveuglante.

Ils commencent � lui caresser le torse, le plus petit se saisit de sa queue et l'engloutit d'un coup en titillant le PA avec sa langue pendant que le grand mec au bouc enfouit son nez et sa langue entre ses jambes. Ils ont vraiment l'intention de se servir de lui car ils l'emp�chent syst�matiquement de les toucher, refusant ses mains et sa bouche tendus vers leurs queues.

Ils le veulent soumis totalement � leurs d�sirs et n'envisagent m�me pas qu'il les fr�le !

Frustrante mais terriblement excitante situation que Jean-Claude n'avait jamais exp�riment�e, lui qui � l'habitude de toujours participer activement aux jeux et rituels des joutes entre mecs se laisse faire.
La langue du grand se fait de plus en plus insistante et imprime un mouvement de va et vient qui lubrifie le trou et son pouce vient renforcer le passage aid� par une abondante production de salive.

Jean-Claude s'ouvre � cette pression tandis que le petit gars aux couilles impressionnantes ne r�siste pas au plaisir de lui faire go�ter sa queue �paisse et veineuse. L'odeur de sueur m�l�e � celle de l'ambre solaire grise un peu mais excite JC un max.
Son cul s'ouvre aux doigts insistants du grand gaillard et s'offre sans retenue. Une main enti�re vient se loger dans son cul. Le mec est dou� ! Il n'a ressenti que du plaisir, aucune douleur. Et voici maintenant que le petit mec retire sa bite de la bouche de JC, descend � la hauteur de son copain et vient joindre des doigts � la main d�j� profond�ment ins�r�e en lui.

L� �a devient s�rieux ! Double fist ! JC est aux anges ! Sa bite se tend, les veines en saillent douloureusement. Il se sent presque pr�t � gicler tant ces mains lui fouraillent le cul avec fermet� mais tendresse. Ces gar�ons prennent un �vident plaisir � donner du plaisir !

Apr�s quelques minutes de ce fisting bien chaud, une des mains se retire de son cul et vient ins�rer ses doigts dans sa bouche, un b�illon venu d'on ne sait d'o� se pose sur ses yeux et le voil� dans les t�n�bres ne ressentant les choses que par son corps et ses sens.
La main encore impr�gn�e de son odeur intime explore sa bouche, bient�t remplac�e par une bite dont les jus commencent � monter ; il en per�oit le go�t dans la bouche, sal� et puissant.
L'autre main se retire � son tour de son cul et une seconde bite rejoint la premi�re dans sa bouche.
Ce go�t l� est plus puissant, un peu �cre, JC r�alise en fait que pendant qu'une queue distille lentement du jus bien chaud, l'autre se met � lui pisser dans la gueule !

Il ne sait plus comment continuer � pomper la queue qui mouille all�grement tout en avalant la pisse chaude de l'autre. Il en arrive � un point d'excitation tel qu'il implore les mecs d'arr�ter car il sent qu'il va jouir d'un instant � l'autre. Sans un mot les mecs retirent leurs queues de sa bouche et se saisissent chacun de chacune de ses chevilles.
Ils lui imposent une gymnastique virile qui lui positionnent les jambes par-dessus la t�te, il se retrouve avec sa propre bite au-dessus de son visage. Le bandeau lui est retir� et il peut voir qu'il � une queue de chaque c�t� du visage tandis que la sienne tendue � mort vers sa bouche ne demande qu'a cracher.

Il sent que l'instant de v�rit� est arriv�, il n'y en aura plus pour longtemps, il sent �galement que les mecs ont atteint un point de non-retour, une culmination dans le plaisir qui ne pourra que s'exprimer violemment.

Il voit distinctement les premi�res gouttes de son propre foutre sortir de son gland, suivies d'un jet interminable de liquide qui lui remplit la bouche. Son propre foutre ! Il n'y avait jamais go�t� ! Que c'est bon ! Sa jouissance s'accro�t encore plus quand il voit surgir des deux cot�s de son visage des jets d'une intensit� incroyable.
Son visage, sa bouche, son cou, son torse sont pleins de foutre chaud.
L'extase absolue est augment�e par les bouches des gar�ons qui viennent � la r�colte de tout ce qui � �t� sem� !
Ils ont faim !

Les trois hommes se rel�vent �puis�s mais combl�s et se dirigent vers l'oc�an afin de rafra�chir leurs ardeurs !

Une apr�s-midi de repos en somme...

TERRY94

AVRIL 2002

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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