Premi�re exp�rience avec mon oncle PeterComme chaque hiver, ma petite famille et moi �tions sur le point de partir pour une semaine � ski. Nous �tions � quelques jours de No�l en cette ann�e 2000. Nous devions rejoindre mes cousins ainsi que mon oncle et ma tante avant de partir ensemble pour une semaine de ski. A l'heure du d�part, je n'�tais malheureusement pas tr�s en forme. Une bonne grippe et de terribles maux d'estomacs. Le trajet en voiture de trois heures m'emb�tait d�j�. Mais pour ne pas rester seul, b�tement � la maison, je partis avec toute ma famille, � contre coeur. Apr�s une heure de route, nous arriv�mes enfin chez mes cousins. On sonna � la porte et ma tante vint nous ouvrir. Elle nous annon�a que mon oncle �tait gripp�, tout comme moi, �trange co�ncidence, et qu'il ne viendrait pas avec nous. A ces dires, mes parents me propos�rent de rester ici, pour �viter encore une 2h00 de route. Alors j'acceptai. En acceptant, je ne pensais pas une seconde que j'allais passer avec mon oncle la semaine la plus chaude de ma vie. Tout ce beau monde enfin parti, je me retrouvai seul avec mon oncle. Je venais de f�ter mes 19ans et mon oncle, ce bel homme d'�ge m�r, tr�s viril, se dirigeait gentiment vers ses 55ans. Apr�s le d�part de ma famille et de celle de mon oncle, mon oncle me proposa de regarder ensemble la TV. On discutait un peu de tout et de rien et j'avais un �trange sentiment en moi. Son regard pos� sur moi m'inqui�tait terriblement. Je n'avais jamais eu de rapport avec un homme et ce regard tendre et � la fois dominant me donnait des frissons et m'excitait en m�me tant. Il me regardait de plus en plus avec insistance quand soudain il me lan�a : "Esp�re que tu es content d'�tre l�. Moi suis tr�s content de me savoir seul ici, avec toi. On va passer une super semaine tu verras. Vais bien m'occuper de toi, tu t'en souviendras longtemps, sur ce, vais prendre une douche". Sur ces dires, il alla prendre sa douche. Un peu inquiet et excit� par ses paroles, je me rendis � la salle de bains pour l'espionner un peu. Il �tait nu, queue bien raide 19*5.5cm, j'en avais des frissons. Le fait de voir mon oncle nu, se caressant la queue, une violente excitation monta en moi. Affol� par cette excitation je reculai de quelques pas afin d'�viter d'�tre vu. Mal m'en aura pris, je percutais une petite table qui fit un bruit assourdissant. Ce qui n'�chappa � mon oncle qui cria : "C'est toi Christian, hein, c'est toi ??? Tu sais que ce n'est pas bien d'espionner les gens, je d�teste �a. Attends seulement...". Je ne savais plus quoi dire. Alors je couru jusqu'au salon¨, m'allongeai sur le canap� et continuai de regarder la TV. Soudain, mon oncle arriva dans le salon en peignoir. Il me lan�a : "Alors on s'est bien rinc� l'oeil petite canaille ???" Je ne trouvai aucune r�ponse � ces dires. Il r�torqua "Alors r�ponds o� tu veux que je m'�nerve !!!" Alors je r�pondis : "Oui, me suis bien rinc� l'oeil". Il r�torqua : "As tu as aim�, tu t'es bien rinc� l'oeil ???" Tout en m'adressant ces paroles il s'approchait de moi. Arriv� � ma hauteur, il fit tomber son peignoir, qui me laissa entrevoir une belle queue bien raide. Et il s'�cria : "Tu t'es bien rinc� l'oeil et bien maintenant tu vas y go�ter petit espion". Il me pris par les cheveux et m'enfon�a sa queue dans la bouche. J'en �tais bouche b�e. Je frissonnais et en m�me tant j'adorais �a. Mon oncle me baisait la gueule, il aimait tellement cela qu'il me laissa sucer sa belle bite sans qu'il doive faire le moindre effort. Il s'�cria : "Mais c'est que tu aimes �a ma salope, vais m'occuper de toi, tu vas voir, vais te chauffer le cul". Compl�tement excit� par ses dires je lui criai : "Oh oui, prends-moi, lime-moi le cul". Je n'�tais plus moi-m�me. Etait submerg� par une sensation de plaisir. A peine ai-je eu le temps de prononcer ces quelques mots, il me retourna sur le canap�. Il m'�carta bien les jambes et commen�a � me l�cher le cul. J'adorais �a, je poussais de petits cris de plaisirs et mon petit cul serr� commen�ait � s'ouvrir sous ses coups de langues. Mon oncle s'�criait � tout bout de champs "Oui, c'est bien �a, ouvre-toi, ouvre-toi pour moi, d�tends-toi et tout se passera bien. Vais t'enculer tu vas voir". J'�tais totalement d�tendu et ouvert quand mon oncle d�cida enfin d'attaquer mon cul. Il alla cherche du lubrifiant et commen�a � me doigter gentiment, un doigt, deux, trois, quatre. Il m'�cartait bien le cul car il ne voulait pas me faire de mal. Apr�s m'avoir bien dilat� l'anus, il se lubrifia le gland, mis une capote et commen�a � s'introduire gentiment en moi. Au moment o� son gland s'introduisit dans mon cul, je poussais un petit cri de bonheur et de douleur. Il s'arr�ta un moment pour que puisse me d�tendre et reprendre mes esprits. Une fois pr�t � prendre toute sa queue dans mon cul, il me l'enfon�a violemment au fond de mon cul. Je criai de douleur au d�but sous ses coups de butoirs. Apr�s quelques minutes, mon cul s'est habitu� � cette pr�sence tierce. Je mouillais du cul comme une salope et mon oncle me d�montait le cul, vraiment comme une chienne. J'aimais tellement cela que j'en demandais toujours plus et de plus en plus vite. Je me faisais litt�ralement d�monter le cul....... Cela dura une bonne trentaine de minutes. Mon oncle �tant pr�t � jouir, il sortit sa queue de mon cul et me cracha sur ;la gueule. Il y d�versa toute sa sauce bien chaude et bien �paisse. La suite de la semaine, je vous laisse l'imaginer, en quelques mots, de belles partis de jambes en l'air......... Depuis ce jour, les bites et moi, on ne se quitte plus... kikichR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |