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Mon inconnu

Suite � ma premi�re exp�rience litt�raire, je m'en vais vous en raconter une autre, plus ancienne, mais plut�t m�morable. Ayant un apr�s-midi de libre, j'enfilais un short et des baskets et d�cidai d'aller courir dans un bois de Montpellier. Excuse pitoyable pour un sportif pitoyable, le lieu �tant surtout r�put� pour ses activit�s de l'ombre. Je me baladais donc dans les chemins, admirant les joggers muscl�s et transpirants, pour la plupart des �tudiants, essayant de ma�triser la bosse qui gonflait lentement dans mon short, heureusement un peu large.

Je pris la direction d'une zone plus...discr�te. Un gars se dirigeait dans ma direction, v�tu d'un pull jaune et bleu et d'un jean. En le croisant, je constatai que c'�tait un uniforme d'un magasin de bricolage. J'avais pu d�tailler ses �paules carr�s, sa taille �lanc�e et un visage � faire tomber. Une m�choire carr�e, un nez fin et surtout des yeux d'un bleu glacial. Pas un sourire sur son visage, un regard froid quand il me croisa. S�rement un pur h�t�ro de passage pour rentrer chez lui. Mais je ne pus m'emp�cher de me retourner quand il m'eut d�pass�. C'�tait plus fort que moi. M�me sans aucune chance, autant que je me rince un peu l'oeil. Et l�, � ma grande surprise, le voil� qui bifurque dans un sentier menant � un coin calme que je connaissais bien. Apr�s une h�sitation, minime, j'embo�tais le pas � mon inconnu si peu souriant. J'entrevoyais son pull jaune se faufiler au travers des arbres et ne risquais pas de le perdre de vue.

Il finit par s'arr�ter dans une petite fosse abrit�e et retira son pull, me d�voilant un torse aux abdos dessin�s et des pectoraux � tomber. J'�tais face � lui, matant son corps si sexy, presque imberbe, savourant la chance qui s'offrait � moi. Il d�boucla sa ceinture, le visage toujours ferm�, ses yeux durs fix�s sur moi. Le message �tait clair, il veut du sexe, pas du sentiment. Du sexe il veut, du sexe il aura. Du moins j'aurai. Illico, je quitte mon tee-shirt et t�te son paquet. Et l� le choc ! Hypnotis� par ses yeux, j'en avais oubli� de mater plus bas, et la chose qui se cachait dans son jean �tait de taille impressionnante. Elle lui barrait tout le c�t� droit et gonflait le haut de son pantalon. Excit� comme un gosse devant un cadeau, je m'agenouillai et d�ballai ma surprise sans attendre. Je d�couvris effectivement une bite �norme, bien qu'� demi band�e, parfaite, droite, large d'au moins 4 cm, le gland pointant � peine sous la peau non d�calott�e. Une de mes mains glissa sous ses couilles duveteuses, l'autre astiquai doucement son manche, mesurant ses dimensions et observant sa croissance. Je d�calottai le gland avec ma langue, ma main tirant la peau vers le bas, un go�t sal� se r�pandit dans ma bouche. Son gland �tait assez volumineux, � l'image du reste et j'entrepris de le faire rouler pour le mouiller de salive. Mon inconnu g�mit et appuya sur mon cr�ne pour me faire descendre. Je suivis le mouvement mais, malgr� toute ma bonne volont�, je ne pus prodiguer ma caresse que jusqu'aux trois quart de son engin maintenant bien en forme. Tant pis, je continuais le mouvement, m'interrompant parfois pour l�cher le reste de sa tige tout en p�trissant ses boules gonfl�es. Au bout de 10 minutes de ce traitement, il me fit redresser et retourner sans un mot, m'appuya sur le cou pour me faire pencher, ce que je fis en m'appuyant sur un rocher. Il s'agenouilla derri�re moi et commen�a � me bouffer le cul d'une langue souple et envahissante. Des doigts me p�n�tr�rent, s'enfonc�rent en moi, me branl�rent le !
;cul et m
oi, appuy� sur mon rocher, en pleine extase, je regardai par-dessous cette incroyable bite, partag� entre plaisir et effroi. Je ne me fais pas mettre souvent et ce gars a la plus grosse queue que j'ai pu voir. Et je savais tr�s bien que je ne pourrai pas r�sister � l'envie de me faire baiser par ce dieu grec. Ce qui allait arriver sous peu.

J'entendis le bruit d'une capote que l'on d�roule, du gel s'insinua dans mon trou et une masse qui me parut �norme se pr�senta sur ma rondelle. Il posa ses mains sur mes �paules et commen�a � forcer ma petite porte. Entre le gel et la salive nullement �conomis�e par ce gars, le gland entra sans finalement trop de mal, et c'est finalement moi qui m'empalai sur sa verge en me redressant un peu. Je l'entendis souffler dans mon cou, fortement, sa bite au fond de mon cul. Je glissais une main entre nous et m'aper�us qu'au final, il n'en restait pas tant que �a � l'ext�rieur. Il me repoussa en avant et se mit en mouvement, me procurant des sensations fabuleuses, son gland percutant ma prostate, sa tige limant mon anus sur sa longueur. J'�tais maintenant bien d�tendu, totalement focalis� par cette barre dure qui se d�pla�ait en moi. Quelle sensation ! Ma bite tressautait de plaisir sans m�me un fr�lement de ma part, j'�tais en train de vivre une vraie jouissance anale, chose compl�tement nouvelle pour moi. Je perdais le contr�le, lui aussi, il se mit � me d�foncer la chatte comme un forcen�, sa main sur mon �paule, les doigts de l'autre dans ma bouche. C'�tait une baise bestiale. J'�tais sa pute en chaleur. Soudain, ma queue explosa, mon foutre s'�crasa sur la roche grise, d�goulinant sous mes yeux. Son membre sembla grossir encore et dans un r�le retentissant, il s'effondra sur mon dos, m'attrapant la t�te et me roulant une pelle sauvage. Il d�cula, me laissant une sensation de vide intense, se rhabilla en silence, puis disparut en me grognant un merci.

Nous nous sommes revus plusieurs fois dans ce coin. A chaque fois, se fut aussi intense. Puis plus rien. Sa bite m'avait obs�d�, si belle, si parfaite. Je n'en ai plus revu d'aussi parfaite et grosse depuis cet inconnu, dont je n'ai jamais su le nom. Parfois, quand j'y reviens, j'esp�re le revoir. Dommage.

Si mon histoire vous a plu, n'h�sitez pas � m'�crire.

cedryk

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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