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Initiation d'un homme mari�

Je suis un homme mari� de 32 ans et j'aime beaucoup les femmes mais suis fid�le � mon �pouse. Reste que d'un point de vue purement sexuel, l'id�e d'avoir un rapport avec un homme m'a toujours excit�.
Je me branle souvent en pensant � une belle queue que je pourrais branler et sucer. Rien ne m'excite plus que de m'imaginer en train de me faire prendre par derri�re par un beau mec imberbe et muscl�.
L'id�e d'une initiation un peu sous " domination soft " m'attire tout particuli�rement.

J'avais donc laiss� un petite annonce explicite sur un site internet gay ou j'expliquais ma recherche en me d�crivant, �tant plut�t pas mal physiquement : 1,90 m, mince, 80 Kg bonne queue pas tr�s longue mais assez �paisse (17 x 5).
Au bout de quelques jours j'eu la r�ponse d'un gar�on de 27 ans qui me disait qu'il �tait tr�s attir� par les hommes mari�s et qu'il me proposait de le rencontrer si je voulais. Il m'envoyait sa photo torse nu ou je pu voir un gar�on mignon, mince et semblant imberbe, ce que qui correspondait assez � ce que je recherchais.

Je lui r�pondis et progressivement le courant semblant passer assez bien je d�cidais de le rencontrer.
Mon excitation �tait tr�s forte, je me posais beaucoup de questions sur moi et le d�roulement de cette rencontre.
Le jour arriva et je me rendis chez lui � Paris. J'arrive devant son immeuble et puis sa porte, mon coeur b�t la chamade comme pour un premier rendez-vous.
Il ouvre la porte et nous nous disons bonjour, en nous serrant la main. Lui, tr�s calme me demande si j'ai fait bonne route et me propose un verre. Je prends un whisky pour me d�tendre, j'en ai bien besoin !
La discussion revient bien vite sur le sexe et je lui explique que m�me si je n'ai jamais r�ellement �t� attir� physiquement par un gar�on, je suis tr�s excit� quand je vois la queue d'un beau mec et que je pense que j'aimerai en go�ter une.
Entre temps, il s'�tait rapproch� et assis � cot� de moi et me posait la main sur la cuisse, je bandais d�j� � fond.
Sa main remontait vers ma braguette qu'il n'ouvra pas mais qu'il massa un peu, sentant mon sexe qui �tait d�j� bien dur. Sa main remonta vers ma chemise qu'il ouvra pour me caresser et me pincer les seins, c'�tait si nouveau pour moi, me faire caresser par un homme, je commen�ais d�j� � perdre un peu les p�dales et me laissais faire.
Sa bouche redescendit vers le bas et il ouvrit doucement ma braguette, enleva mon pantalon puis fit jaillir mon sexe de mon slip. J'�tais vraiment dur et mon gland bien pro�minent virait au rouge. Alors, doucement il se mit � me masturber en laissant un peu de salive sur mon gland. Sa bouche s'approcha et il embrassa mon gland, si gros. Ses l�vres l'entour�rent et il commen�a un va et vient autour de ma queue. C'�tait si bon et voir ma queue rentrer et sortir de sa bouche m'excitait au plus haut point.

Mais vinrent vite des sensations nouvelles pour moi. Au cours de ses va et vient, il massait mes couilles de sa main droite mais sa main gauche descendit vers mes fesses, qu'il massa tout d'abord. Puis il s'insinua entre les deux et commen�a � titiller mon petit trou. Quel d�lice !
Perdant les p�dales, je commen�ais � onduler du bassin pour lui montrer combien j'appr�ciais. Il s'arr�ta de me sucer, ce qui fut une bonne initiative, n'�tant pas loin de gicler.
Il se concentra sur mon cul qu'il l�chait maintenant doucement en tentant des petites incursions avec sa langue. J'�tais maintenant couch�, nu, les jambes en l'air, lui encore habill� m'explorant le cul : j'�tais son objet.
Au bout d'un moment de pur plaisir, il s'arr�ta et me dit qu'il fallait que je le suce.
Un peu surprit par un tel ordre, mais en fait tellement excit�, je me mis � genoux devant lui et d�fit rapidement son pantalon, le fit descendre ainsi que son slip. A ma grande surprise, il ne bandait pas encore compl�tement. Me prenant tendrement la t�te avec sa main, il me guida vers son sexe, en demandant de l'embrasser. Il �tait pratiquement ras� et j'avais en effet bien envie de go�ter ce sexe si beau.
Ce que je fis assez maladroitement au d�part. Il me donnait donc des instructions : " l�che-le ", " prends-le dans ta bouche ". Commen�ant � prendre le pli j'acc�l�rais la vitesse de mes va et vient, sentant sa queue grossir dans ma bouche. Je n'�tais plus moi-m�me, je faisait ses mouvements par pur plaisir, lui en prenait apparemment aussi, il commen�ait � r�ler mais laissait sa main derri�re ma t�te pour me guider. J'entendais ma bouche �mettre des bruits de succions si excitants pendant qu'elle se resserrait de plus en plus autour de son membre. D'une main je prenait ma queue et commen�ait � me branler.

Au bout de plusieurs minutes, il me demanda si je voulais qu'il me prenne. Je lui dis que l'id�e m'excitait beaucoup mais que j'avais un peu peur de la douleur. Il me rassura en me disant que son sexe n'�tait pas trop gros et qu'il y irait doucement. Pendant qu'il prenait une capote, je me mettais � 4 pattes sur le canap�, l'attendant pour ce d�pucelage. Sur le cot� il y avait la glace du salon, je me voyait maintenant nu, les fesses en arri�re et pr�t � recevoir ce sexe comme je me l'avais imagin� tant de fois avant pour m'exciter seul.
Il ne se pressa pas et arriva doucement derri�re moi. Commen�ant � me travailler les fesses et mon petit trou avec les doigts. C'�tait si bon, j'�tais sur une autre plan�te. Mon corps ondulait d'avant en arri�re, il n'avait m�me pas besoin de bouger les doigts.
Il pris sa queue recouverte de la capote et l'approcha de mon trou qu'il venait d'enduire avec du gel. Je sentais se sexe contre moi, mon excitation �tait � son comble. Il passait sa queue le long de la raie de mes fesses en augmentant la pression. Enfin vint le moment fatidique. Maintenant son sexe dans la main il le guida vers mon trou et accentuant la pression et d'un coup commen�a � me p�n�trer. Cela faisait mal mais le gel facilitait le passage. Il y allait doucement et progressivement, le plaisir reprenait le dessus. Un plaisir �trange et venant de l'int�rieur que je ne connaissais pas.
Je fermais les yeux, il s'introduisait de plus en plus en moi au gr� de ses va et vient. Je tournais la t�te et me vis dans la glace, il l�cha son sexe qui maintenant �tait bien en moi, il me prit par les hanches et continua � ses vas et vient qui devinrent plus rapides. J'�tais pris en levrette comme je le fais souvent � ma femme.
Mes bras reposant sur le dossier du fauteuil ma queue non maintenue, j'agitait au gr� des coups de butoirs, je la reprenais bient�t dans ma main pour me branler et d�cupler mon plaisir.
La tension montait, et je sentais que l'un comme l'autre on n'en aurait pas pour longtemps avant de gicler.
D'un coup, il s'arr�te et ressortant de mon cul, me dit : " fais-moi gicler maintenant " : il enl�ve sa capote, je me mets � genoux devant lui et je prend son sexe dans ma bouche, l'englobant autour de mes l�vres je sens sa chaleur monter en moi. Sentant son explosion proche, il me dit " maintenant ! ", et je sors sa queue de ma bouche et la branle avec vigueur, et s'est l'explosion. Son foutre surgit � grands jets, et me submerge le visage et la main, il r�le, je continue les mouvements de la main.
Le jet ultime venant, il me demande de rel�cher sa queue. La mienne �tant toujours aussi dure. Il me dit de l'attendre cinq minutes, qu'il va chercher � boire. J'�tais un peu b�te, la bite en l'air et lui d�band�. A son retour, il est en peignoir, deux verres � la main, s'assoit prend une gorg�e et me dit : " branle-toi comme tu le fais quand tu es seul ". M'�tant entre temps assis, je fait face � lui, j'�carte donc les jambes et saisit ma queue � pleine main et l'agite pour quelle reprenne du volume. Il me regarde. Si excit� par la situation, je m'assois � califourchon sur l'accoudoir du fauteuil et serre ma queue bien fort et imprimant des va et vient, j'ai la t�te en arri�re, les yeux ferm�s, les muscles band�s et je fait des mouvements de bas en haut avec mon corps comme je l'aurai fait pour le chevaucher si sa queue �tait encore raide. Le regardant au bout d'un moment, je le vis peignoir ouvert, en train de se toucher. Mais mon tour �tait venu : d'un coup, ayant retard� au maximum l'�ch�ance j'explose et mon foutre jaillit comme jamais.

Bref ce f�t une superbe premi�re histoire, qui m�me si elle n'est encore qu'un fantasme, ne demande qu'� �tre r�alis�e au moins en partie.
Si cette histoire t'inspire aussi et que tu d�sires m'initier tu peux me contacter sur

Yvan

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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