Ah... ! L'�lectricien !" Il faut savoir saisir les clich�s au vol quand ils se pr�sentent ! " C'est ce que je me disais au moment o� l'�lectricien enfournait sa queue dans ma bouche. Comment en �tais-je arriv� l� ? Tout a commenc� tr�s b�tement, au moment o� ma plaque �lectrique a rendu l'�me. Apr�s avoir convenu d'un rendez-vous en matin�e avec l'�lectricien, qui ne pouvait pas me donner d'indication plus pr�cise sur l'horaire de son passage que " entre 9h et 11h ", il fut d�cid� entre ma copine et moi (ah oui, au fait, je me suis pas pr�sent� : j'ai 25 ans, je suis bi et je file le parfait amour avec ma meuf avec qui j'habite depuis quelques mois) que j'aurais l'honneur de rester � l'appartement pour accueillir ce brave ouvrier, dans la mesure o� je peux plus facilement me lib�rer de mon travail qu'elle. Cela n'�tait d'ailleurs pas pour me d�plaire... Apr�s tout, les chances de tomber sur un magnifique �talon, homo de surcro�t, ne sont pas strictement nulles ! C'�tait du moins ce que je me disais alors pour rigoler, sans croire un seul instant qu'il puisse se passer quelque chose. Viens donc le moment fatidique, o� je vais ouvrir � la porte � laquelle on vient de sonner. D�ception... Non pas que l'�lectricien qui se pr�sente devant moi soit un laideron, bien loin de l�, mais il est accompagn� de son apprenti de 16-18 ans, � l'air pas tr�s d�lur� - l'�ge b�te !-, qui d�truit instantan�ment le maigre espoir de sexe qui aurait pu exister encore... Bien dommage, car l'�lectricien qui se pr�sente devant moi est un homme fort sympathique, d'environ 35 ans - la force de l'�ge !-, brun au charme viril indiscutable, et plut�t pas mal foutu � ce que je vois : sa poitrine remplit g�n�reusement sa chemise qui, l�g�rement entrouverte, laisse appara�tre une toison du meilleur go�t, et l'examen rapide de son jean laisse deviner un fessier puissant au verso, tandis que le recto semble raisonnablement garni. Le seul hic, c'est que ce bougre me semble fort probablement h�t�ro, comme on pouvait s'y attendre. Je me r�signe donc � rel�guer d�finitivement le fantasme de l'�lectricien (l�g�re variante du fantasme du plombier) au rang des fantasmes � oublier pour de bon. Ce qui ne m'emp�che pas de mater le sp�cimen pendant qu'il s'appr�te � changer ma plaque �lectrique d�funte. Cela ne dure d'ailleurs pas longtemps car il se rend vite compte qu'il ne s'agit pas du type de plaque qu'il avait envisag�, et qu'il n'a donc pas la pi�ce n�cessaire pour la changer. Par chance, il avait un cr�neau de libre seulement deux jours plus tard. Nous reprenons donc rendez-vous, toujours entre 9h et 11h, donc toujours pour ma pomme, ce qui ne me r�jouit plus gu�re, ayant alors d�finitivement fait une croix sur mes chances de concr�tiser avec lui. Deux jours plus tard donc, autre surprise en ouvrant la porte : il est seul ! Et l�, mon petit coeur se met � s'acc�l�rer momentan�ment. Ah oui, d�cid�ment, il faut savoir saisir les clich�s au vol lorsqu'ils se pr�sentent, quand bien m�me s'agirait-il du clich� le plus �cul� qui soit : celui de l'�lectricien... ou du plombier, je m'en foutais bien � ce moment ! J'�tais aux anges, je fermais les yeux et avalait ce sexe qui coulissait dans ma bouche. Son propri�taire �mettait de l�gers r�les de bien-�tre. Quel bonheur d'avoir ce b�ton pour moi. Il poss�dait maintenant sa dimension maximale : je le sortis de ma bouche pour le regarder : il devait mesurer dans les 20 cm, tr�s droit, bien large et �pais, et l�g�rement vein�. Je le branlai pendant quelques instants pour mieux sentir la puissance de ce phallus qui vibrait sous mes deux mains. Je le repris en bouche, bien d�cid� � lui donner encore plus de plaisir. Tout en pompant mon �lectricien, je commen�ais � lui caresser le cul, je passais mes doigts entre ses fesses et traversais sa raie velue avec d�lice. Puis je remontai mes mains sur son ventre, sa poitrine. Le contact avec ses pectoraux muscl�s et poilus �tait un vrai bonheur. J'avais envie de tout cet homme, j'avais envie qu'il me prenne, mais je sentais qu'il n'�tait pas loin de parvenir � la jouissance. Je continuai donc de plus belle mon travail buccal afin de le faire cracher. Son chibre s'enfon�ait enti�rement dans ma bouche jusqu'� la gorge, et � chaque aller-retour, mon nez fr�lait sa toison pubienne si agr�ablement odorante. Il saisit alors ma t�te et commen�a � jouer du bassin pour accompagner plus profond�ment le glissement de son braquemart dans ma bouche. Enfin, tout en r�lant gravement, sa queue envoya au fond ma gorge 5 ou 6 gicl�es de sperme que je gardais en bouche quelques longues secondes pour profiter de leur saveur, avant de les avaler et de m'approprier ainsi le suc viril de ce m�le. J'avais �t� compl�tement soumis devant cet homme, et pourtant je ne me sentais pas humili�, je ne ressentais aucune honte, car je voyais qu'il me respectait et qu'il comprenait l'�tat de fascination dans lequel sa bite plonge les hommes sensibles � la beaut� masculine. Lui-m�me me confia alors qu'il aimerait me rendre la pareille et que je lui fasse go�ter ma queue, mais qu'il devait partir car il avait un autre rendez-vous. Lui comme moi, lorsque nous nous adonnons au service rituel du culte phallique, pendant ces courts �pisodes o� la r�alit� du quotidien fait une tr�ve et o� l'on s'impr�gne de la virilit� d'un de nos fr�res en le su�ant, nous en ressortons avec le sentiment d'�tre encore plus virils qu'avant. Une fois rhabill�, l'�lectricien estima qu'il avait �t� pay�, et bien pay�. Je le laissai donc partir, non sans lui promettre de faire tout mon possible pour casser rapidement la nouvelle plaque �lectrique qu'il m'avait install�e. Le soir m�me, je fis l'amour � ma copine avec un d�sir et une fougue exceptionnels, ce qui me permit de la combler comme jamais. Irfan R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |