Cyrillo

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Cousin Joseph

J'avais � l'�poque 21 ans, frais moulu pour le travail et je venais de d�crocher mon premier poste dans une banque.
Mon affectation se situait � environ 60 kilom�tres du domicile de mes parents et bien s�r � l'�poque je n'avais encore pas de v�hicule et pas encore les moyens de me louer un appartement.
Mon p�re avait un cousin �loign� qui vivait dans la ville o� je devais travailler et mes parents d�cid�rent donc de faire appel � lui afin de m'h�berger le temps que j'ai suffisamment de quoi m'acheter une voiture.

Le cousin Joseph avait une entreprise de plombier chauffagiste et vivait seul, c�libataire endurci disait-on dans la famille.
Rendez-vous fut donc pris avec lui pour m'h�berger et mes parents m'accompagn�rent la veille de mon premier jour de travail.
Lorsque nous arriv�mes le dimanche apr�s-midi, cousin Jo comme l'appelait mon p�re nous attendait.

Sit�t les accolades, embrassades et pr�sentations (je ne l'avais pour ma part vu que 2 ou 3 fois lorsque j'�tais plus jeune et ne m'en souvenais gu�re), il nous fit entrer et nous fit visiter la maison.
Il me montra donc ma chambre, spacieuse et sympa avec un grand lit et la salle de bains attenante. La salle de bain �tait contigue � ta chambre et � la mienne avec chacun son entr�e.

Pendant que nous prenions par la suite un pot tous ensemble, je commen�ai alors � l'observer.
C'�tait un homme de 48 ans grand et taill� comme un rugbyman, sport qu'il pratiquait encore un peu. Le visage, carr� taill� � coup de serpe ne lui donnait pas l'air avenant et je pense m�me que si je ne le connaissais pas et que je le croisais un soir dans la rue, je change de trottoir. Il �tait v�tu d'un tee-shirt qui d�voilait des avant-bras et de larges mains recouverts d'une �paisse toison brune que l'on pouvait �galement voir d�passer � l'encolure.

Il d�gageait une tr�s grande virilit� qui fit na�tre chez moi une vague de d�sir que je ressentis entre les cuisses Il posait de temps � autre sur moi son regard noir et scrutateur. Sa fa�on de me regarder m'excitait tout autant. Il faut dire que je suis plut�t du genre mignon, blond, belle petite gueule, yeux bleus, 1,75 m, mince et que j'attire souvent le regard des hommes plus �g�s que moi. Je n'ai eu jusqu'ici que 2 ou 3 aventures avec des mecs de mon �ge se limitant � des pipes et des branles, mais moi ce que j'aime vraiment, ce sont les hommes, les vrais m�les , comme le cousin Jo quoi.

Apr�s maints palabres, mes parents d�cid�rent qu'il �tait � pr�sent temps de partir et nous laiss�rent tous les deux.
Je n'�tais pas tr�s � l'aise avec cette homme qui m'�tait tout de m�me inconnu et il d� s'en rendre compte.
" Bon allez mon gars me dit-il on va essayer de faire bon m�nage tous les deux, et puis �a me fait du bien d'avoir un peu de jeunesse avec moi. Je pr�pare un potage et on se regarde un film, ok ? Je r�pondis par l'affirmative.

Nous avons donc pris un d�ner l�ger et nous sommes retrouv�s tous deux assis dans le canap� du salon devant la t�l�vision. Il regarda le programme sans grande conviction, puis me proposa de choisir un DVD dans sa collection.
Je les passai donc en revue et avec surprise je d�couvris que le cousin Jo poss�dais quelques films X . Il vit que je m'arr�tais un instant dessus et me dit " Ben ouais, que veux-tu �a fait partie de la vie des c�libataires endurcis, tu veux en regarder un ? Je rougis, bredouillant une instant quelques mots inaudibles. Il se leva et me rejoignit. Il les passa en revue et dit " Tiens celui-l�, �a fait longtemps, allez va t'asseoir ". Je retournai sur le canap� pendant qu'il ins�rait le DVD dans le lecteur puis revint � c�t� de moi.

Le film avait commenc� d�j� depuis un quart d'heure et l'on voyait d�j� une femme blonde faire des pipes � deux mecs en rut qui d�j� se l'enfilaient ardemment. Je sentis mon �rection se manifester et essayai de la dissimuler. Par contre le cousin Jo avait d�j� une trique d'enfer qui laissait voir sous son pantalon d�form� un engin cons�quent et ne s'en cachait pas.
" Putain, la salope, tu t'imagines au lit avec elle, houa et elle aime �a se faire d�foncer la chatte et le cul la salope " lan�a-t'il. J'�tais rouge de honte et mal � l'aise. Il se retourna vers moi et constata que je bandais et me sourit en plantant ses yeux dans les miens.
Mon trouble fut visible et tr�s g�n�, je luis dis que j'�tais fatigu� et que je souhaitais me coucher.
" Tu ne regardes pas la suite ? tu as tort c'est tr�s chaud apr�s, allez demain 7h00 debout , !".
Je luis dis bonsoir et montai me coucher, sans pouvoir trouver le sommeil, repensant � Jo, au film. Je bandais comme un �ne et entrepris une fr�n�tique branle puis m'endormis.

Le lendemain, je me levai et me rendis dans la salle de bains que j'ouvris d'un coup et l�, je tombai sur Jo qui, v�tu d'un simple boxer en lycra qui le moulait avantageusement, se lavait les dents et je laissai mon regard glisser sur ce corps muscl� et totalement recouvert de poils longs et bruns et ne pus � nouveau cacher mon trouble.
- Bonjour Jo, excuse moi je vais prendre mon petit d�jeuner et je me doucherai apr�s
- Non vas-y �a ne me g�ne pas du tout
- Non, non finis, je te jures en plus j'ai faim.

En fait je craignais d'avoir � me mettre � poil devant lui et que cela d�clenche ce dont sur quoi je fantasmais depuis la veille.
Je descendis prendre mon petit d�j.
Il me rejoignit peu apr�s.
- Je pars pour la journ�e, tu manges au resto avec les coll�gues ?
- -oui sans doute, on va voir.
- -Bon allez mon petit gars, bon courage et bonne journ�e, je ne rentre en g�n�ral pas avant 18h30/ 19h00.

J'entendis son camion d�marrer. Ma premi�re journ�e de boulot m'attendais ...

A 17 heures je d�bauchai ravi de cette premi�re journ�e, j'avais des coll�gues sympas qui m'avaient bien accueillis.
Il avait fait tr�s chaud toute la journ�e (nous �tions au mois de juin) et je n'avais qu'une h�te en rentrant, c'�tait de prendre une bonne douche.
Ce que j'entrepris de suite, je me douchai donc appr�ciant la fra�cheur de l'eau. Au sortir de la douche je vis le panier � linge sale, qui ouvert laissait voir le tee-shirt que Jo portait la veille. Mu par le d�sir, je le pris et le portai � mon visage, humant les effluves de transpiration qu'il d�gageait encore, et quel ne fut pas ma surprise en d�couvrant dessous un de ses boxer, que j'entrepris de sentir �galement puis de le porter � ma bouche, laissant jaillir ma langue et me mis � le l�cher avec fougue. Je me remis � bander et frottant mon gland sur le boxer, me mis � me masturber avec en fermant les yeux et revisualisant le corps de Jo tel que je l'avais vu le matin m�me.

- Alors c'est bon ? fit une voix derri�re moi. Putain, il �tait rentr� plus t�t que pr�vu !
Jo se tenait dans l'encadrement de la porte de sa chambre, v�tu d'une combinaison de travail d'un bleu d�lav� sur lequel on pouvait lire sur la poche poitrine la marque BUTAGAZ et ouverte jusqu'au dessus du nombril laissant appara�tre son torse velu.
Pris de panique je jetai ses v�tements dans la pani�re, ne sachant que dire me ruai dans ma chambre, je voulus refermer la porte mais Jo �tait d�j� derri�re, la coin�ant de son pied pour m'en emp�cher.
Je reculai alors et il poussa la porte. Il tenait � pr�sent son sexe en �rection compl�te dans une de ses mains et avan�ait vers moi avec un sourire carnassier.
J'�tais partag� entre le d�sir et la peur, la peur dominant. A force de reculer je me trouvai dos au mur, coinc�. Il avan�ait toujours et lorsque qu'il ne fut qu'� quelques centim�tres de moi, j'essayai de fuir mais il se jeta en avant m'�crasant contre le mur.
- Allons fais pas le mijor�, t'�tais bien en train de te branler dans mon calebutte non ?
Son bassin se pressait contre le mien, son visage s'approcha, sa respiration devint plus saccad�e et sa langue for�a mes l�vres me fouillant la bouche avec fougue. Ma langue s'anima, r�pondant � son baiser,.
- Petit salopard, je me doutais bien que tu �tais gay. Allez viens, maintenant je vais te montrer ce que c'est qu'une baise avec Jo Butagaz (c'�tait le surnom que les gens de la ville lui avait donn� � cause de la combinaison qu'il portait toujours). Il me poussa sur le lit, se d�v�tit totalement, et s'allonge sur moi, m'embrassant de nouveau sauvagement. Mes mains couraient sur ce corps muscl� et chaud qui sentait la sueur, le m�le. Il s'arracha de ma bouche et la sienne descendit vers mon ventre et trouva mon sexe tendu, l'engloutissant avec vigueur, ce qui d�clencha de ma part des g�missements.
- Jo oh oui, mmm fais moi jouir
- Oui, c'est �a mais avant de te faire gicler tu vas te faire le plaisir de t'occuper aussi de la mienne et il se releva, se mit � califourchon au-dessus de ma poitrine et me pr�senta son engin dont je pus enfin mesurer la dimension. Sa queue faisait environ 20 centim�tres pour une circonf�rence de 6 ou 7 cm. Bon dieu ce que j'allais prendre dans la gueule ! Il se d�calotta et des effluves de pine de m�le en rut s'en d�gag�rent provoquant l'ouverture imm�diate de ma bouche dans laquelle il enfon�a son �norme gland. Je salivais au maximum et faisait tourner ma langue autour de sa hampe tendue tandis qu'il commen�ait � faire des va et viens entre mes l�vres.
- Sale petite pute t'aimes �a te faire piner la bouche par Jo Butagaz, elle te plais ma grosse queue, tiens prend �a et �a encore. Ses coups de reins devenaient plus brutaux ; il devenait bestial, ne pensant qu'� atteindre son propre plaisir qui ne tarda pas � arriver.
Sa respiration se fit plus rapide et saccad�e.
- o putain , �a viens, ouais ah , je vais d�gazer, oh oui !
de longs cris rauques s'�chapp�rent de sa gorge tandis qu'il me d�chargea dans la bouche cinq ou six jets de foutre que je ne pus compl�tement avaler tant la sauce �tait abondante .

Il se d�gagea de ma bouche et vint s'allonger le long de moi
- dis donc faut pas g�cher de la si bonne marchandise me dit-il en l�chant son foutre qui avait coul� sur mon menton, puis il recracha tout dans la bouche en me roulant une pelle.
- Tu vas me faire go�ter le tien maintenant petit salopard

Et l� il m'entrepris une pipe comme jamais je n'en avais subie. Tant�t il su�ait doucement, tant�t sauvagement, puis il me d�calottait et me frottait le gland contre la barbe dure de son visage ou me masturbait en prenant mon pr�puce entre les dents, le tout m'arrachant des cris de plaisir. Mon supplice dura environ cinq minutes au bout desquelles je me vidai dans cette bouche virile en enfon�ant mes ongles dans son cuir chevelu. Jo me su�a encore quelques instants puis il se redressa .
- allez un petit 69 maintenant, je vais m'occuper de ta petite chatte pendant que tu me rallumes la chaudi�re.

Ca n'�tait donc pas termin�
- non Jo arr�tes s'il te plais
- non Jo arr�tes s'il te plais, r�p�ta t'il en m'imitant, je te dis que tu vas me la chauffer dans ta jolie petite bouche de salope et que pendant ce temps je vais te pr�parer la chatte. Tu t'es jamais fait bouffer la rondelle et doigter le cul ?
- non jamais .
- ni enfiler
- non
- faut mieux que je te pr�pare parce que sinon �a va faire mal.
- Mais Jo je ne veux pas
- je te propose la m�thode douce, sinon je te l'ai dit tu vas gueuler
J'essayai de me d�gager pour fuir, mais il me plaqua sur le lit, m'�crasant de tout son poids.
- tu vas faire ce que j'ai dit, petite salope
Son regard fixe et noir me fit peur, j'acquiescai
- Allez au boulot !

Nous nous retrouv�mes t�te b�che, lui allong� sur le dos, moi � genoux au-dessus de lui. Ses grosses mains caleuses me p�trissaient les fesses, les �cartant au maximum. Sa langue chaude �tait d�j� � l'oeuvre et s'activait vigoureusement sur mon anus cherchant � le p�n�trer en me procurant du plaisir. Je regardais sa grosse pine tendue vers moi, je la d�calottai d'un coup. Quelques gouttes de sperme jaillirent m'invitant � la d�gustation. D'un seul coup je d�cidai de me faire le plus salope possible. J'avais un vrai m�le pour moi, un vrai bien viril, velu comme un singe, avec une bonne grosse queue. Il fallait que je me lance et que je r�alise tous les fantasmes refoul�s depuis si longtemps. Je me jetai sur son p�nis et lui entrepris une pipe carabin�e. Je bavais de plaisir, l�chant su�ant, mordillant son gland, l'engloutissant au plus profond de ma gorge. Je voulais le chauffer � blanc, je voulais sentir sa grosse pine en feu dans mon cul, j'avais envie de me faire limer sauvagement, me faire dominer, me faire violer par ce m�le qui � pr�sent me fouillait le cul de deux doigts en grognant, d�clenchant mes g�missements d'approbation.

- t'as l'air d'en vouloir petit cochon, elle est bonne ma grosse queue hein ? tu dilates bien, c'est tout bon �a allez � quatre pattes mon joli j'en peux plus l�, faut j'te baise, allez !
Je fis ce qu'il me demandai. La t�te dans l'oreiller je lui offris mon cul, mort de trouille.
Il me pris par les hanches, me positionnant comme il le voulait. Je l'entendis cracher je suppose sur son sexe et sentis son gland se frotter contre ma raie. Il soufflait fort, g�missant et crachant de nouveau. Puis il commen�a � me forcer. Je me contractai
- Rel�che au maxi , ce sera plus facile pour toi me dit-il
Il poussa un peu, introduisant son gland, je g�mis de douleur
- tout doux mon mignon, �a va aller, �a va aller, c'est toujours comme �a les d�pucelages, au d�but �a fait toujours un peu mal
Il s'enfon�a encore un peu plus, je criai. Je sentis ses ongles s'enfoncer dans mes hanches et avec un han de b�cheron s'introduisit en moi jusqu'� la garde. Des larmes jaillirent de mes yeux, je mordis l'oreiller. Il resta fich� en moi quelques instants
- Faut que tu t'habitues � mon calibre, me dit-il en commen�ant � aller et venir doucement dans mon orifice
- Jo doucement s'il te plait, pas trop loin
- T'inqui�tes mon joli, Jo Butagaz il en est pas � son premier d�pucelage. J'aime �a d�puceler les petits salopards de ton esp�ce.

Je commen�ais � moins ressentir la douleur, et le plaisir commen�a � venir. Il du s'en rendre compte et acc�l�ra ses mouvements de bassin, je criai � nouveau.
- tu me fais mal, Jo !
Il ralentit la cadence mais il allait et venait dans mon cul de toute sa longueur, ressortant et me reprenant doucement. Je me mis � r�ler et g�mir, je tournai la t�te pour le regarder me baiser -tu veux me voir, allez on change j'te prend par devant Il m'aida � me retourner en s'emparant � nouveau de ma bouche, nos langues se m�l�rent
; ; ; farouchement un instant.
Puis il me souleva les jambes � la verticale et m'empala d'un coup. Je n'eus pas le temps d'avoir mal, il s'activa tout de suite avec douceur. Le plaisir m'envahit et j'eus envie de me faire pilonner.
- Oh oui Jo vas y pine moi sauvagement, prend moi � fond, poss�de moi je suis � toi, oui, c'est �a plus fort, viole moi, j'ai envie de me faire violer.
Il ne se fit pas prier, et me baisait maintenant comme un sauvage � grands coups de boutoir.
Son gland dur et chaud me heurtait la prostate, m'envoyant dans la queue des ondes de plaisir qui me rapprochait de l'orgasme.
- Ta pine me br�le comme un fer rouge,
- Ca te chauffe la chatte, hein, salope. T'aime �a te faire piner le cul par un plombier en rut qui a un gros chalumeau, le gros chalumeau de Jo Butagaz dans ta chatte de petit salopard, petit chaudard.

Je le frappai sur les pectoraux, et lui adressai une giffle en criant " au viol ".
Il ricana acc�larant ses coups de pine.
-oui je te viole, et t'as pas fini de te faire violer, salope, d'accord ou pas d'accord, je te prendrai quand et comme j'en ai envie.
- Ca vient, �a vient j'vais faire d�gazer ma pine dans ton cul de salope Il haletait bruyamment, des sons rauques commen�aient � monter de sa gorge. Je sentis sa queue se durcir
- oh foutregaz ! je jouis, salope ha
Son orgasme fut violent il me harponait le cul sauvagement et je sentis � mon tour mon plaisir monter, mes doigts se referm�rent autour de ma queue me masturbant sauvagement et criai en m�me temps que lui, mon foutre jaillissant sur son ventre en s'accrochant dans ses poils noirs.
Il s'affaissa sur moi, le corps tremp� de sueur, la respiration encore haletante.
- Putain ce que c'�tait bon, houa, �a fait au moins six mois que je ne m'�tait pas pas tap� une jeune salope comme toi, et toi t'as aim� ?
- Ouais j'ai vraiment pris mon pied, c'est la premi�re fois que je me fais baiser et que je fais l'amour avec un homme de ton �ge, avant j'avais eu quelques mecs de mon �ge pour se sucer et se branler ; rien � voir
- On recommence quand tu veux.
- Non quand toi tu veux, n'oublies pas quand tu veux et comme t'en as envie ;
- Ouais , t'as raison c'est moi le m�le et toi la femelle soumise hein c'est �a ? t'aimerais quel sc�nario par exemple ?
- Ben j'en ai des fantasmes tu sais, je sais pas ... celui o� tu m'enleverais , tu me ligoterais et tu m'emm�nerais dans un hangar, une cave, tu m'obligerais ensuite � me d�shabiller, et puis tu me violerais pendant des heures , j'aimerais bien que ce soit dans ton atelier au milieu de ton mat�riel, sur ton �tabli, enfin tu vois, quoi ?

- Ok, ok, je vois j'ai bien quelques id�es, mais ce sera des surprises, allez on est quitte pour se doucher, on pu la sueur et le foutre .

� suivre...

Goeland

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