Un ami.En bref, je me sais gay depuis toujours. Difficile en Province de vivre de chaleureuses exp�riences... Tant pis. Clairement h�t�ro il avait une petite copine que je connaissais. Je ne saurais dire quelle a �t� la premi�re fois o� j'ai go�t� � son gland, mais je sais que cela c'est pass� ainsi : Ses parents poss�dent une petite maison pr�s d'une station baln�aire et ils m'y invitaient souvent pour les week-ends. Apr�s une journ�e d'activit�s �reintantes, nous rentrions tout deux et discutions jusqu'� tard dans la nuit. Un soir, il s'endormit plus t�t que moi et excit� par la journ�e (et quelques frustr� aussi), je me suis surpris � guetter comme je savais si bien le faire, la cadence de sa respiration. Tr�s vite j'eu l'intime conviction qu'il dormait, dans son lit juste � c�t� de mon matelas pos� � m�me le sol. Je me relevai sur le coude pour jeter un oeil. L�, j'eu la respiration coup�e, car il s'�tait d�gag� de sa couette � cause de la chaleur et je pouvais voir son sexe l�g�rement plus gros qu'il n'aurait du, tr�nant au milieu de sa touffe de poils drus. Il n'avait mis qu'un T-shirt court et suffisamment �troit pour montrer son corps bien en chair et un peu muscl�. La respiration saccad�e par l'audace dont je faisais preuve, je commen�ais par poser doucement ma main sur son flan. Aucune r�action. Je l'enlevai alors et la posai plus pr�s de son entrejambe. Il ne r�agit pas plus, alors lui caressant les pectoraux je descendis ma main sur ses abdos fermes et plats sous son T-shirt, et atteignant son pelvis, je slalomai entre ses poils pour parvenir � sa verge qui se soulevai l�g�rement par �-coups alors que son �rection naissait. Manque de chance, il se retourne et l�che un grognement. Compl�tement paniqu�, je me sui rejet� sur mon matelas et feignis d'�tre profond�ment endormi. Il ne faisait pas plus de bruit et je me relevai pour voir s'il dormait encore. Affirmatif. Il s'�tait mis sur le ventre et je pouvais voir son superbe cul, bien rebondi (mais pas trop) et poilu. Ses jambes l�g�rement �cart�es, je t�chais d'atteindre ses couilles par l'arri�re. Je touchais la base de son p�nis, ce qui le fit se retourner aussi sec. Re-panique et re-jet� sur le matelas : en vain, il ne s'�tait pas r�veill�. Je n'osai pas le croire. Et finalement j'ai tent� une fois de plus de le caresser et de le branler. Il ne bandait pas au maximum, mais j'adore voir les sexes qui se dressent petit � petit sous l'effet d'une bonne branlette. Ce que j'ai tout de suite entrepris : mes doigts jou�rent d'abord avec ses �normes testicules, puis remont�rent doucement le long de sa verge pour le d�calotter arriv�s � son gland. Je lui ai saisi la verge � pleine main et j'ai commenc� � le branler un peu et n'y tenant plus j'ai approch� ma bouche de sa bite et lui ai l�ch� le gland doucement, � l'endroit que je trouve sensible, puis j'ai le gob�, descendant pour finalement me retrouver avec sa queue toute enti�re dans la bouche. J'aimais �a, cette verge, cette moiteur, la mouille que son �rection nocturne, cette furtivit�, cet "avilissement". Ce petit jeu a recommenc� quelques autres fois o� j'allais chez lui, � la mer, jusqu'au jour, o� voulant m'amuser un peu, j'ai t�t� le terrain discr�tement, alors qu'il n'�tait pas endormi. A�e. J'ai tellement bien feint le sommeil, que je l'ai entendu dire : "J'ai r�v� ou quoi ?", et il ne m'en a jamais reparl�... La derni�re fois, �a �t� carr�ment catastrophique, car l�, m�me s'il bandait au maximum, lorsque j'ai voulu le sucer, il m'a repouss� et m�me s'il n'a rien dit le lendemain je n'ai jamais recommenc�. Je lui ai fait mon coming-out il y a un mois. Bizarrement il a �t� tr�s �tonn�. Nous restons tr�s bons amis et j'ai arr�t� de fantasm� sur son corps (enfin presque), je ne sais pas s'il a envie de s'expliquer avec moi sur cet �pisode. (Qui j'en suis s�r n'a pas �t� oubli�) Tout ce que je sais c'est qu'apparemment il ne veux pas essayer avec les mecs. LocoR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |