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Nathan, ;mon tendre parisien.

Je l'ai d�couvert un beau matin d'�t�, il venait en vacance chez sa grand-m�re. Un beau parisien, ch�tain clair, yeux marron, tr�s sportif. On avait que deux ans de diff�rence et les affinit�s se sont vite cr�es. Apr�s le repas, nous sommes partis � la plage. Quand il s'est d�shabill�, j'ai d�couvert un corps athl�tique, des pectoraux tr�s pro�minent, une tablette de chocolat en guise d'abdos. Son corps pale faisait ressortir son slip de bain rouge qui paraissait tr�s bien fournit.
Moi qui m'�veillais au d�sir des gar�ons, je fut �merveille de voir cet apollon qui me tombait du ciel. Apr�s une semaine � se c�toyer tous les jours je d�cidais de passer � la vitesse sup�rieure. Je l'invitais donc � venir jouer dans ma chambre un apr�s-midi pluvieux du mois de juillet.

Apr�s maintes parties de jeux vid�o, je lui proposais de mater un bouquin de cul que j'allais piquer dans l'armoire de mes parents. Au fur et � mesure que l'on tournait les pages je pouvais deviner sa queue enfler dans son petit short de jeans.
Moi j'en pouvais plus ma queue allait exploser tellement je bandais d'esp�rer toucher cette bosse qui me tendait les mains.

" Alors tu bandes ?" Lui dis-je tout en envoyant ma main vers sa bosse. Mes doigts atteignirent l'objet de mes d�sirs sans qu'il proteste et ce f�t l� mon premier contact avec un autre sexe en �rection que le mien. J'ai � peine appuy� dessus, je ne voulais pas trop m'avancer ne sachant pas comment il allait r�agir.
" Ben oui, r�pondit-il, pas toi ? "
Evidemment, rouge comme j'�tais devenu � sa question, ma r�ponse fut inutile.
Le bouquin de cul fini, il se leva et je pus admirer une grosse barre en travers de son short qui atteignait la hanche. " Quelle merveille " me dis-je ! Il fallait absolument que je trouve un moyen pour m'en emparer. C'est alors que je me suis jet� sur lui, je le ceinture et lui attrape le paquet � pleine main.

" Allez, siffle ! " Bon pr�texte que ce jeu d'adolescent pour profiter de l'occasion. Je n'osais pas serrer trop fort de peur de faire mal et surtout pour essayer de bien mesurer le volume qui �tait sous ma main. Du coup il se d�fit facilement de mon �treinte et me bascula au sol. Apr�s quelques minutes de lutte, il avait pris le dessus et � son tour me tenait le paquet. Beaucoup moins tendrement que moi d'ailleurs mais il ne pu s'emp�cher de constater que je bandais toujours. " �a te plait on dirait" me dit-il. Je ne r�pondis pas. Et on en resta l� pour cette fois ci.
Les apr�s-midi qui suivirent � la plage furent des plus banales, lui flirtait avec toutes les filles qu'il pouvait et moi je l'admirais.

Je d�cidais de l'inviter � dormir � la maison, j'avais ma chambre dans les combles et mon p�re avait mont� un matelas pour lui. Apres la soir�e familiale nous sommes donc mont�s nous coucher. Comme il faisait plus de 30° on �tait en maillot, apr�s quelques parties de jeu vid�o, il n'avait pas sommeil et moi certainement pas non plus.
-" t'as pas un autre bouquin comme l'autre jour ? demanda Nathan
-non, mais je l'ai encore je ne l'ai pas remis dans sa cachette
-Am�ne ! "
Nous revoil� partis dans la contemplation de ce porno des ann�es 80. Enfin je regardais plus son maillot se gonfler que la nana qui se faisait tringler sur la photo.
Au fur et � mesure qu'il tournait les pages je voyais son maillot s'�tirait et progressivement de la chair appara�tre. Son maillot ne contenait pas suffisamment son engin.

Ludo finit par s'apercevoir de mon man�ge et dis
- Tu veux la voir ?
- Pourquoi pas !
Imm�diatement il se leva du canap� et baissa son slip devant mes yeux. J'ai cru que mon coeur allait exploser. J'avais sa bite de 20cm � 10cm de ma bouche et je n'osais bouger. Elle �tait l� devant moi, formant un angle droit avec son pubis, tr�s droite, son gland violac� d'excitation.
Apr�s quelques secondes, les yeux riv�s sur ce reptile, je levais les yeux, il me regardait de haut et au moment o� j'allais dire " wahou ! ", il me sais�t la t�te et d'un coup de rein avance son pieu vers mes l�vres :
"Suce ! "

Il n'eut pas le temps de finir son ordre que j'avais d�j� son gland qui butait au fond de ma gorge. Ce premier contact avec un sexe m'�merveille encore. J'allais et venais sur ce dard de chair tout en malaxant ses couilles � peine poilues. Il essaya de s'enfoncer enti�rement mais le haut-le-coeur lorsqu'il heurta ma luette le fis reculer. Je ne pouvais accueillir enti�rement sa queue de par sa longueur. ; Il se branlait dans ma bouche et allait et venait � son plaisir. Je sentis son gland enfler et tressaillir. J'inondait de salive cette masse de chair, pour qu'elle glisse mieux entre mes l�vres. Au bout d'une vingtaine de minutes, j'avais mal � la m�choire, je n'avais pas encore l'habitude de rester aussi longtemps la bouche ouverte et ne voulant pas racler cette bite de mes dents. Il me mis sa main derri�re ma t�te pour m'emp�cher de reculer et de l'autre il s'astiquait le manche, laissant son gland � l'ouvert de ma bouche, ses r�les s'amplifiaient, ses gestes plus rapides
;et d'un coup je sentis des gicl�es chaudes envahir ma bouche et une forte odeur m'emplit les narines. A cet instant je sentis les m�mes gicl�es inonder mon maillot. Il se renfon�a au fond de ma bouche en me tenant la t�te � deux mains. Une fois qu'il eut l�ch� tout son jus, il me laissa recracher son foutre dans un mouchoir.
" Ca t'as plu, hein ! " me dit-il

Je ne r�pondis simplement " et si on dormait ? "
Il se coucha sur son matelas et moi dans mon lit avec ce go�t particulier de la s�ve de gar�on dans la bouche.
Au petit matin, je d�cidais de le r�veiller de la mani�re la plus douce qui soit.
Ma main caressa sa queue � travers son lycra, d�s que le gland sortit du maillot, j'avalais l'engin et commen�ais mon travail, Nathan se r�veilla et par des coups de rein me signifia de continuer.

Encore une bonne gicl�e au petit d�j !
" Bonjour, ma bouche � lait, me dit-il, dor�navant, chaque fois que je dormirai ici, tu me r�veilleras de cette fa�on, p'tit p�d� ! " et il partit se doucher sans un autre regard.
Ce fut, � partir de ce soir l� le d�but de nombreuses aventures que je raconterai plus tard...

Bambix

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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