Cyrillo

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Le Speed de ma vie.

Le pire de ce qui m'est arriv� va suivre.
C'�tait � mon arriv�e � Paris. Je vivais chez une tante (soeur de ma m�re, je pr�cise) en lointaine banlieue.
Cot� boulot, je d�butais au sein d'une �quipe dans laquelle je m'�tais fait pas mal de pote vu que je ne suis pas le genre timide. Un jour je fus invit� par un coll�gue � une soir�e chez lui dans le 9eme. J'acceptais avec joie d'autant qu'il y avait pas mal de gens que je ne connaissais pas; une bonne aubaine pour se faire des amis.

La soir�e se passa tranquille et lorsque minuit et demi sonna, une bonne partie des convives d�cid�rent de quitter les lieux afin de ne pas rater le dernier m�tro.
J'avais demand� � mon h�te de m'h�berger vu l'�loignement de mon habitation, ce qu'il accepta pour moi et deux autres gars.
C'est ainsi que nous retrouv�mes � quatre, deux coll�gues de bureau et un autre d'un bureau voisin avec qui on buvait souvent le caf�, � une heure du mat.
Les uns et les autres ne souhaitant pas se coucher, un tour de table commen�a pour trouver une occupation.
Je vous rassure, aucun d'eux n'est ni homo ni bi. Ca, c'�tait �crit sur leur visage. Pour autant, l'un d'entre eux proposa de faire un pouilleux d�shabilleur.

L'id�e ne me plaisait qu'a moiti�, d'abord parce que quand je vois un mec � moiti� � poil, je bande et en plus parce que je savais pertinemment que leur but �tait de voir si j'�tais un vrai ou faux rouquin, comme bon nombre de mec et de nana que j'ai rencontr� dans ma vie.
(Finalement le fantasme des vraies blondes doit exister avec les vrais rouquins).
Bref, je n'�tais gu�re emball� par l'id�e mais mes trois comp�res s'�taient d�j� install�s autour de la table du salon, carte en main. Du coup, je me r�signe.

A mesure des parties, ce qui devait arriver arriva, et je m'�pluchais de mes habits bien plus vite que mes comparses.
Je me suis m�me demand� si il ne s'agissait pas l� d'un bizutage professionnel en bon et due forme.
Finalement je me retrouve en slip, mon petit paquet aux yeux de tous alors que l'un avait perdu une chaussette, l'autre une chemise. Je sauvais ma t�te une partie encore mais le couperet fini par tomber et je me retrouvais une ultime fois avec le maudit valet de pique entre les mains...
L'air con, surtout face � des coll�gues de bureau, je me devais de d�voiler ma ridicule teub.
J'avalais cul sec le reste de whisky au fond de mon verre et je retirai, rouge de honte, mon slip pour laisser appara�tre, � leur grand bonheur ma petite queue surmont�e de sa touffe rousse claire.
Waooooooo firent ils en coeur.
Bien sur, le jeu m'avait quand m�me excit� et ma bite �tait raide comme un cierge pascal. Alors que je pensais que le "jeu" s'arr�tait ainsi, vu que je n'avais plus rien � virer, ils distribu�rent encore les cartes. Je ne manquais pas de faire remarquer ma tenue mais l'un d'eux r�pondit du tac au tac, "c'est pas grave le premier qui finit ses cartes te file un gage si tu perds".
Bizarrement je ne le sentais pas trop, et je voyais d�j� le "tout nu dans l'escalier".
A bien y r�fl�chir, un immeuble bourgeois du bon 9eme � 2 heures du mat : je risque assez peu. Le tour suivant, � peine remis de mes �motions, me re voila le valet de pique � la main. Le moins connu des trois devait m'infliger son gage. Il se leva, se dirigea vers la fen�tre et me demanda de m'approcher. Je craignais d�j� d'arriver sur le balcon. Tous les quatre debout devant la fen�tre, moi l'air archi con � poil entour� de trois mecs quasi enti�rement sap�, il commen�a � m'expliquer :
"Tu vois la rue juste en bas ? Apres il y a le square et de l'autre cot� une rue. Bien. Si tu descends cette rue sur la gauche sur 100 m�tres maxi, tu trouves une cabine t�l�phonique.
On te file une carte de t�l�phone, le num�ro d'ici, tu nous appelles et tu reviens.
Facile non ?". Je ne suis pas sur d'avoir r�ussi � dire quoi que ce soit.
L'id�e me faisait flipper et m'excitait en m�me temps. Mais quelques secondes plus tard, je me trouvais � poil, bite � l'air sur le palier de la porte avec une carte t�l�phonique (sur laquelle je ne savais m�me pas s'il restait des unit�s) un micro bout de papier avec un num�ro griffonn� dessus et j'entends derri�re moi la clef dans la serrure qui fait un double tour. Franchement je me suis demand� ce que je foutais l�.
Je descends donc les escaliers, ouvre la porte d'entr� de l'immeuble, passe timidement ma t�te pour contr�ler qu'il n'y a personne. Ouf la voie est libre.
Devant moi des voitures gar�es, une rue puis des voitures gar�es sur l'autre trottoir et enfin le square ou je pourrais me planquer sous les arbustes.
Je sors, me planque derri�re les voitures, un scooter pizza machin chose passe � vive allure, je traverse la route bite � l'air et pied nu (j'en reviens toujours pas aujourd'hui) et fonce vers la petite porte du square : ferm� au cadenas. Ah les vaches !
Le grillage n'est pas haut je passe dessus en faisant gaffe � mes couilles qui pendent : j'ai pas envie d'en laisser une l� !!!
Alors que je suis encore debout, une voiture passe au ralenti. Je m'abaisse, elle s'arr�te puis recul un peu. Je suis coinc� entre le grillage et les arbustes, je flippe � mort. La voiture avance puis fini par faire un cr�neau � 50 m�tres de moi maxi. Je n'ose bouger, le conducteur pourrait me voir dans le r�tro avec la lueur des lampadaires. La voiture s'arr�te, un mec descend c�t� chauffeur, une nana c�t� passager. S'ils viennent vers moi, je suis mort. Ouf ils traversent la rue.

Moi j'en profite pour me barrer. Le square est d�sert, �videmment, et je le traverse � grande enjamb�, longe les arbres en direction de la cabine. Merde des clochards ont squatt� les bancs, je suis oblig� de passer sous les arbustes. Ca me pique le dos, le cul, les pieds.
Me voil� face � l'autre rue avec sur le trottoir oppos� la cabine. Pas une voiture de garer ni d'un cot� ni de l'autre (c'est interdit apparemment) et la cabine est largement � d�couvert : le plus dure reste � faire.
D'un coup une sir�ne de flic retenti non loin, je m'allonge � plat ventre sous les arbustes sans r�fl�chir, � moiti� dans la terre humide : j'ai le ventre, les genoux, les couilles et la queues plein de terre.
Un camion de pompier passe � toute allure � cot� de moi ouf. Si pr�s du but je saute le grillage et cours comme un d�rat� vers la cabine. J'ouvre la porte et m'engouffre dedans et l�, ce qui n'arrive jamais dans Paris, le n�on de la cabine se met en marche. Trop con pour me foutre � poil dans la rue, maintenant j'ai un spot sur la gueule. J'enfile la carte, je compose le num�ro f�brile puis j'�coute : premi�re sonnerie, deuxi�me sonnerie, troisi�me sonnerie, quatri�me sonnerie. Les b�tards me font marin�s, ils esp�rent sans aucun doute que je me fasse chopper.
Il faut pourtant qu'ils me r�pondent parce que dans la bagarre, j'en ai oubli� le digicode pour rentrer. De l� ou je suis, je les vois � travers les arbres sur le balcon. Ils r�pondent enfin dans un �clat de rire.
"C'est bon je rentre, euh le code c'est quoi ?".
"Ben comme tout � l'heure, pas de code, pas d'ouverture de porte".
J'en passe, ils me font carr�ment marin�. L'affaire se corse, au bout de la rue j'aper�ois un mec qui se rapproche. Il est encore tr�s loin mais l� je flippe.
Ils me filent enfin le code, je m'arrache de la cabine (non sans mal, la panique n'aidant pas � ouvrir ses putains de portes), je retraverse la rue et saute par dessus le grillage pour me planquer sous les arbustes.
Je suis archi crade et bon pour une douche.
J'avance en me planquant, mes clochards semblent �tre toujours l� puis je d�cide de retraverser le parc au m�me endroit que tout � l'heure. L�, un probl�me se pose. Un clodo c'est assis sur un banc juste devant moi. Je suppose qu'il doit �tre fait comme un rat parce qu'il ne m'a pas entendu.
Ceci dit je peux difficilement traverser � son nez et � sa barbe, il risque d'ameuter le quartier. Je r�fl�chi, je flippe un peu. Soudain, un bruit derri�re moi, je n'ai pas le temps de me retourner, une main me choppe une fesse et l'autre fait le tour et me choppe ma bite.
Je suis � genoux mais sous le poids je me retrouve � moiti� allong�, un mec sur le dos. Le clodo devant n'a rien entendu, je suis au bord de la crise cardiaque.
D'un coup, l'homme me retourne et je me retrouve allong� sur le dos, face � un grand black � califourchon sur moi qui me tient en respect.
Je suis terroris�. Le speed de ma vie.
D'une grosse voie et avec un l�ger accent il me dit : "on aime se promener � poil dans les parcs blanc bec".
Instinctivement je fais un chuuuuut en mettant un doigt sur ma bouche. En penchant ma t�te en arri�re, je vois le clodo sur le banc qui ne bouge pas. Mon coeur bat � mille � l'heure. J'ai la gorge s�che.
Si je me fais chopper ici dans cette tenue par les flics je suis ridicule � vie, d�j� que je ne suis pas sur de retourner au boulot demain matin.

Le black me prend une main et la met � son paquet. "T'aime �a hein ?". Je ne sais pas s'il bandait ou pas mais je suis sur qu'il �tait cheval ascendant Taureau.
Tout � coup, un mec surgit de derri�re moi. Il est visiblement pass� pr�s du clodo sans que ce dernier ne dise rien ou simplement c'�tait lui le clodo.
Je le regarde un peu affol�. D�j� le gros black ne m'inspire pas confiance mais celui l� pas plus.
Je ne le vois pas bien dans la p�nombre mais il semble que ce soit un beur.
De toute fa�on, beur, turc, grec ou autre j'�tais dans une sale position.
"Alors c'est un ptit p�d� ? On va sle faire ! Tu vas voir ton petit cul ce qu'il va prendre.".

La voie n'est pas franchement amicale. Je flippe un max, mes potes doivent forc�ment se demander ce que je fous. J'esp�rais qu'ils viendraient me sortir de l�.
D'un coup, le grand noir se rel�ve, me chope par le bras et m'emm�ne par dessus le grillage. On traverse la rue, l'autre nous pr�c�de et compose un code, sur un immeuble ancien, juste en face.
Je sens que je vais passer un sale quart d'heure. J'esp�re une ultime fois, avant de m'engouffrer dans le porche que mes amis me verront du balcon.
Au moment o� j'entre, il me met la main sur la bouche pour que je ne crie pas. Il marche d'un pas rapide et j'ai peine � marcher devant lui, ma posture n'est pas des meilleurs.
Arriv� au pied d'un grand escalier, le beur essaye d'ouvrir une porte. Sans doute celle de la cave.
Le black me serre contre lui, la main sur la bouche. Dans mon dos, je sens sa queue qui doit bander.
J'ai la sensation qu'elle est �norme. Un instant je me dis que tout peu bien finir, une sodomie douloureuse certes, mais qui vaut mieux qu'un couteau sous la gorge.
La porte ouverte, il me lance "avance sale p�dale" en me poussant.
Je descends un escalier des plus glauques. La lumi�re est tr�s faible. En bas, le sol est en terre et moi je suis � poil, bite et cul � l'air, le corps macul� de terre.

Je crois que je tremblais de partout. D'un coup, le black me pousse brusquement dans une cave dont la porte �tait entrouverte, une petite lumi�re ancienne accroch� au plafond. Rapidement, je fais le tour de la pi�ce d'un oeil furtif. Je vois mon calvaire.
Une table avec des lani�res en cuir et des �triers, sur une �tag�re des godes de toutes tailles, des boites de pr�so et des tubes que j'imagine �tre du gel.
Je flippe. Au moment o� l'arabe referme la porte derri�re lui, elle se rouvre et un troisi�me larron nous rejoint. Il a la peau mate et des yeux bleus tr�s clair. Une sorte de gitan. Je trouve qu'il fait moins peur que les deux autres. Je le regarde et cherche � lui inspirer la piti�.
"Si tu cris, tu t'en souviendras longtemps". Me dit il. Finalement il n'a pas l'air cool.
Le black et le beur me saisissent et m'allongent sur la table assez �troite.
Rapidement j'ai les mains attach�es aux pieds de la table par des lani�res en cuir. Mes jambes sont maintenues en l'air par des �triers type sale d'accouchement.
Me voil� dans une cave sordide, allong� sur le dos, l'anus offert � la premi�re bite qui passe.

Je regarde partout alors que mes agresseurs bricole dans la pi�ce.
Eux aussi me font mariner. D'un coup le beur s'approche et commence � me parler. "T'aime �a les grosses bites. T'es un ptit p�d� hein ?".
Je ne r�ponds pas. "Vas y dit le que t'es un sale p�d�". Je l�chais un petit "oui".
"Oui monsieur on dit".
"Oui monsieur". "
Tu vas nous faire du bien alors, tu vas faire de ton mieux.
Tu aimes sucer salope ?
A mesure qu'il me parlait, il se caressait le sexe qui bandait sous son jean.
J'avais la t�te � 15 cm � peine de sa braguette. Il commen�a � se d�boutonner, d�grafa sa ceinture et ouvrit grand son pantalon. Sans le baisser, il sorti de son slip une queue tr�s �paisse et assez longue. Je n'avais d'autre choix que de la sucer.
"Vas y doucement. Si tu me fait mal tu t'en souviendra".
J'avais beau �tre � quinze centim�tre, quand il me la rentra dans la bouche elle atteint le fond de ma gorge. J'ai cru que j'allais �touffer.
Je commen�ais � le sucer en faisant du mieux que je pus et surtout en rentrant les dents.
Je pense qu'il commen�ait � prendre du plaisir. D'un coup, une main me pris par les cheveux et me tourna la t�te de l'autre cot�.
C'�tait le gitan. Je me retrouvais avec une seconde queue plus �paisse mais moins longue devant la bouche.
"Laisse moi en un peu !". "Vas y partage.".
Du coup je me retrouvais � regarder le plafond, deux gros glands dans la bouche que je l�chais comme je pouvais.
J'avais toujours les mains attach�es au pied de la table. Alors que je continuais � leur donner du plaisir et que je commen�ais seulement � en prendre, je sentis un liquide me couler le long des fesses puis une main me les �carta pour laisser appara�tre ma rondelle encore vierge.
Je senti quelque chose me p�n�trer.
Ce n'�tait pas tr�s gros, probablement un gode mais pour un d�pucelage je le sentais passer. J'avais � peine le temps de me remettre de cette p�n�tration que mes deux glands me rappelaient � l'ordre. "Suce salope, te laisse pas distraire".
Je reprenais de plus belle quand soudain l'un jouit dans ma bouche.
Je ne savais pas trop quoi faire vu que j'avais les mains attach�es.
"Avale sale pute, avale j'te dis".
Je m'ex�cutai et d�glutissais le foutre chaud et gluant puis passai ma langue autour de ma bouche pour ramasser l'exc�dent que j'avais sur le visage, histoire de faire plaisir.
A l'autre bout, le black retira le gode qu'il avait fait aller et venir quelques minutes.
"A mon avis retire ta queue de sa bouche si tu veux pas te faire mordre" dit il avec son accent. L'autre se recula.
Je me demandais ce qu'il se passait.

D'un coup je senti le monstre du black gliss� entre mes fesses. Il fit couler du gel sur son gland qu'il passa trois ou quatre fois dans ma raie.
J'essayai de me d�tendre un maximum. Soudain, il poussa de toutes ses forces et son �norme membre rentra en moi dans une douleur indescriptible.
Je poussai un cri �touff�.
"Putain il est bon son cul bordel. Bien serr�. "
Il resta ainsi quelques secondes et commen�a � ressortir.
La douleur �tait intense, j'�tais au bord des larmes.
Le gitan me remit aussit�t sa queue bien raide dans ma bouche.
Apr�s quelques minutes, il jouit � son tour.

Ils continu�rent ainsi � me violer durant des dizaines de minutes. Je commen�ais � prendre mon pied m�me si mes liens me blessaient quelques peu.
Tour � tour ils me sodomisaient, m'obligeaient � les sucer sans jamais toucher � mon corps.
La seule chose qu'ils faisaient, �tait de vider les pr�servatifs qu'ils se servaient pour la sodomie, sur mon ventre.
J'avais du foutre partout, sur le visage, dans les cheveux. Il n'aurait pas fallu que ma m�re ou un autre proche me voient dans cet �tat.
Surtout pas les coll�gues du bureau dont je n'avais pas de nouvelles.
Peut �tre avaient ils pr�venu la police.

Alors que la s�ance durait bien depuis une heure et demi, je demandais au gitan de me d�tacher les mains afin que je puisse saisir sa queue et mieux la sucer.
Ils se regard�rent tous les trois, et pris de confiance, me d�tach�rent les mains mais pas les jambes.
Le black �tait retourn� � mon petit cul, alors que je su�ais de nouveaux le beur et le gitan.
Une queue dans chaque main, je pus me rendre compte que le beur �tait le moins bien mont� des deux mais bien mieux que moi.
J'avais du jouir une fois ou deux quand m�me et je su�ais de plus belles ces magnifiques queues.
Je me sentais un peu plus en s�curit� m�me si je n'avais pas id�e de l'issue.
Soudain la porte grin�a et une t�te apparu. C'�tait mon coll�gue de bureau suivi de ses deux comparses. Je ne bougeais plus, la bite du gros noir dans le cul, le corps couvert de sperme, une bite dans chaque main autour de la bouche et le visage et les cheveux macul� de foutre. Putain, l'air con intersid�ral. J'�tais rouge de honte.


Ils s'approch�rent tous les trois et l'un dit.
"Et ben, belles amours. Je ne pensais pas �a de toi".

J'essayais de me d�fendre. "Aidez moi c'est eux.".
Le beur me coupa la parole : "tu parles une vrai fiote, il avale tant qu'il peu, il bande comme un turc quand on lui met une bite dans la bouche et il en redemande quand on l'encule".
Mon coll�gue de bureau : "J'ai toujours su que t'�tais une petite p�dale, �a se voit � ta gueule". "Tu vas retourner dans ta banlieue � poil".
"Non on le garde quelques jours, il est trop bon son cul."
Pendant ce temps, les deux autres coll�gues avaient baisser leur froc et s'�tait approcher pour que je les prennent en bouche.
Ce que je fis sans protester.
Le black repris "Vous devriez essayer son cul, il est extra.
Enfin, il �tait avec ce que lui ai mis c'est les grottes de Lascaux maintenant"
Ils rigolaient tous en ce moquant de moi.
"T'as vu cette petite bite, m'�tonne pas qu'il se fasse mettre.".
Rire encore. Je me retrouvais avec cinq queues autour du visage qui se battaient pour entrer dans ma bouche.
Certains se masturbaient et faisaient gicler leur sperme chaud sur mes joues, mon nez et mes cheveux. J'en avais partout. Je crois qu'ils m'ont tous �jacul� deux ou trois fois � la face ou dans le fion.
Je ne ressentais plus de douleur anale, m�me lorsque le gros black m'enfilait son monstre. Alors que je trouvais une ultime fois avec une foret de queues majestueuses devant la bouche, je senti une pr�sence chaude autour de ma queue.
Le gitan me commen�ait une fellation d'un d�lice absolue.
Le black d�tacha mes jambes et les reposa sur la table entre les �triers. J'�tais libre. Je vis un coll�gue approcher une chaise du gitan qui mit un pied dessus, d�gageant ainsi son anus. L'autre se pencha, lui l�cha un peu puis remonta et lui enfila sa queue.
Il g�mit un peu en continuant � me sucer. Je joui et me levai rapidement pour me mettre le long d'un mur et contempler cette sc�ne surr�aliste.

Ils �taient tous homo. Maintenant j'assistais � une big partouze de six mecs.
Le gitan s'approcha de moi, me mit la main dans les cheveux et me parla doucement.
"On t'a fait peur ?" "Oui pas mal".
Je promenai ma main sur son torse. Il �tait enti�rement nu, comme moi.
Il posa ses l�vres sur les miennes puis introduisis sa langue dans ma bouche.
Je l'ai embrass� comme un fou, partout. J'�tais plaqu� contre le mur, �cras� par son corps, je sentais sa queue raidie par l'envie.
Je descendais le long de son corps et lui fit une ultime pipe, volontaire celle la.
Elle dura longtemps, sans doute parce qu'il avait d�j� beaucoup joui puis finit par cracher son miel dans ma bouche, que je mit un point d'honneur, � avaler.

Vers 5h30 nous quitt�mes cette cave sordide pour retraverser le parc, moi compl�tement � poil, couvert de sperme et mes coll�gues habill�s.
Je pris une douche, nous nous couch�mes une petite heure et le lendemain nous nous rencontrions au bureau, moi un peu penaud.
Une coll�gue f�minine, qui nous avait quitt� vers minuit et demi, me demanda comment c'�tait fini la soir�e :
"heu, ben apr�s votre d�part on s'est couch�, on �tait un peu naze".
Les autres, qui m'entendaient, affich�rent un rictus qui me mit mal � l'aise.
J'avais des valises sous les yeux qui me trahissaient sans doute mais elle �tait loin de se douter de mon �pop�e.

Evidemment cette histoire n'est pas vraie, mais je l'ai r�v� mille fois.
Je m'en excuse, et que celui qui n'a pas jouit en la lisant m'envoi un mail, je serai son d�biteur d'une �jaculation selon son mode op�ratoire.

Nico

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