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Soumission / Domination 170

Acquisition ZX10R, Emma,

Comme je l'avais d�cid�, j'ai chang� mon Monster 1100S par un ZX10R dont je confie la pr�paration � C�dric. Toutes les concessions ne se ressemblant pas, je n'envisage rien avec le vendeur de chez KAWASAKI, jeune mais c'est tout.

D�s que je r�cup�re la moto, je la d�pose au garage du p�re de C�dric, pour que ce dernier (C�dric) me la d�bride entre autre (changement des freins, pot d'�chappement....).
J'y rencontre alors un mec d�but 40aine, tr�s ressemblant � son fils (ou l'inverse) mais mod�le au dessus question taille et carrure. D'ailleurs ce ne serait pas le p�re de C�dric, j'aurais tent� ma chance !
C�dric l'avait pr�venu et il n'est pas �tonn�, tout juste essaye t-il de savoir un peu avec qui traine son fils qui semble avoir d�sert� le toit familial ces derniers temps.
Je reste �vasif quand il me parle d'un groupe de motard. Mais quand il me fait part de ses craintes qu'il vire voyou ou d�linquant, je me vois dans l'obligation de le rassurer. De plus si C�dric se met � la modification des motos de tous les potes, son p�re risque de voir passer un peu de monde chez lui.
Je lui explique que nous sommes juste une bande de copains de tous �ges et de tous horizons avec des �tudiants, des professions lib�rales ... M�me si C�dric est le plus jeune et � cause de cela, tous nous le prot�geons.
Est-ce mon ton ? La fa�on que j'ai eu de le dire, ou la perspicacit� d'un p�re inquiet ? Toujours est il que la question suivante � �t� " et y'en a pas un qui le prot�ge ;plus ? ".
Sa question me surprend et je lui demande ce qui lui fait penser � cela. Il me r�pond que son fils ne tari pas d'�loge pour un professeur d'auto-�cole au pr�s de qui il compte passer son permis A1 et d'un copain qui l'entraine dans un club de muscu.
Comme C�dric ne lui a pas demand� d'argent et que ce n'est pas avec son salaire d'apprenti qu'il peut se payer tout cela, il commence � se poser des questions. Je le rassure et lui dit que c'est notre groupe qui s'en charge. D'un coup je me demande si �a le rassure vraiment. Je suis oblig� de pr�ciser qu'Eric lui donne les cours de pilotage moto gracieusement et que c'est moi, pour le remercier d'entretenir et modifier mes motos qui lui offre le club de muscu et ce qu'il faut pour son d�sir de modeler son corps.
C'est � ce moment que C�dric rentre de son taf. M�me alors qu'il savait que j'allais passer, il rougit. Rapidement avant qu'il n'y ait de malentendu, je r�sume ma conversation avec son p�re.
Dans le silence qui suit, je le vois prendre une grande respiration, me regarder dans les yeux puis se tourner vers son p�re et faire son coming-out.
Sans entrer dans les d�tails sexuels, il lui explique que pour lui c'est plut�t les mecs que les nanas, qu'il s'est trouv� un groupe d'amis avec qui il est � l'aise avec �a et aupr�s d'un plus particuli�rement.
L�, j'ai admir� le paternel. Apr�s un long silence pass� � dig�rer les nouvelles, il a pris C�dric dans ses bras (je n'ai pu m'emp�cher de mater ses biceps se gonfler, on ne se refait pas !) et en le serrant fort contre son torse, lui a demand� s'il �tait s�r de lui. R�ponse �touff�e mais positive. Le p�re tourne la t�te vers moi et me demande, " c'est toi ? ". Je lui dis que non, m�me si cela aurait pu �tre, mais que c'est Eric qui a eu la chance d'�tre choisi par son fils.
Une fois sorti des bras de son p�re, C�dric s'est approch� de ma nouvelle moto pour qu'on voit ensemble ce qu'il y allait avoir � changer. Je demandais alors � son p�re s'il pourrait au nom de son garage se charger de commander les pi�ces, acceptation de sa part.

Je les quitte sachant que la soir�e allait �tre longue en explication pour C�dric.

Quand je rentre � la maison, Marc est d�j� arriv�. Il me demande o� j'�tais. J'explique en lui disant que je me serais bien fait le p�re de C�dric si justement il ne l'avait pas �t�. En disant cela, je me suis coll� � mon homme, ma main droite sur son paquet. Il me prend par le cou et me roule une pelle. Sa langue imp�rieuse p�n�tre ma bouche et attaque la mienne. Sous ma main je sens sa bite grossir.
J'attend qu'elle soit bien raide et alors je glisse � genoux. Je d�fais vite son jeans et le tire � mi cuisses. Avec mes mains je tends encore plus le tissus de son slip contre sa tige et pose ma bouche sur son gland ainsi d�voil�.
Je l�che, mouille, suce par dessus la barri�re. Mais je veux le contact de sa peau.
Le slip rejoint de pantalon et sa bite se dresse, bien droite au dessus de ses couilles ras�es.
D'ailleurs c'est par elles que je commence. Je fais rouler l'une puis l'autre dans ma bouche (elles sont trop grosses pour que je puisse prendre les deux ensembles).
Je remonte doucement les 22cm qui les s�parent du gland, la pointe de ma langue suivant le gonflement de l'ur�tre.
Arriv� � l'extr�mit�, ma bouche vient couvrir son gland uniquement. Dans un premier temps, je joue de ma langue sur la surface violac�e, titillant le frein, r�pant la couronne avec les dents jusqu'� ce qu'il n'y tienne plus et m'enfonce brutalement sa bite au fond de ma gorge.
L�, je sais ce qu'il me reste � faire. Je le pompe de mes l�vres pos�es sur l'extr�mit� de son gland jusqu'� les coller sur son pubis, logeant alors son gland au plus profond de ma gorge.
Je m'applique bien, j'ajoute des d�glutitions rapides quand il est au plus profond de moi. �a le fait g�mir grave. Je sais qu'en faisant cela, son gland est mass� par le mouvement de mon larynx et que �a l'excite un maximum.
Je continu jusqu'� sentir couler son jus jusque dans mon estomac. Miam ! il se retire juste pour d�poser sa derni�re gicl�e sur ma langue. Je la garde en bouche car effectivement, il me rel�ve et nous la partageons dans un baiser br�lant.
Il ne d�bande pas. Je le pousse dans un canap� et � ses pieds, reprends son d�shabillage. Les chaussures volent au travers du salon, le jeans est arrach� avec le slip. Il se d�fait de son polo le temps que je mette � poil moi aussi.

Je suis chaud ! je me place sur lui, et un genou de chaque cot�, m'assois sur ses cuisses, nos sexes coll�s l'un contre l'autre. Je reprends notre baiser m�me s'il n'y a plus de sperme � partager.
D'un main je fouille de fond du canap� et trouve coinc� entre les coussins un flacon de poppers (il y en a un peu partout dans la maison, histoire d'en avoir toujours sous la main quand on en a besoin !).
Je me sature les narines, cela ach�ve d'assouplir mon anus d�j� moite d'excitation.
Je me redresse, d'un mouvement de bassin place le gland de Marc sur mon anus et m'assois d'un coup.

Malgr� mon excitation je la sens bien passer et je r�le. Sans avoir l'anus d'un puceau, mes exercices r�guliers de serrage de sphincter sur un plug �troit portent leurs fruits.
Marc en rajoute en poussant sur mes hanches histoire que d�s le premier coup je m'ouvre totalement.
Je reste quelques instants sans bouger le bassin. Je me contente de me pencher et de lui rouler un patin.
C'est Marc qui donne l'ordre de mouvement quand je sens ses mains essayer de me soulever.
Je prends tout mon temps, j'adore Marc et j'aime faire durer quand nous faisons l'amour. Mes mouvements sont lents mais complets. A chaque fois je le sors compl�tement de mon cul avant de me m'asseoir � nouveau dessus. Lui comme moi, nous savourons chaque va et vient. Son bras sur mon cou, pour retenir mes l�vres contre les siennes, me transmet chaque �volution de son excitation par la contraction de son biceps.
Il me bascule sur le cot� et je me retrouve dos sur le canap�. Je rel�ve mes jambes pour les poser sur ses �paules et ainsi bien d�gager ma rondelle. Marc les pieds call�s contre l'accoudoir me laboure le cul avec efficacit�. Cette position lui permet de plus grandes vitesses de limage quand il le d�sire.
Mais c'est quand m�me en levrette qu'il se finit dans mon cul. Ses mains sur mes �paules, il m'attire � lui en m�me temps que son bassin pousse vers moi. Les chocs entre nos deux corps sont violent mais nous aimons �a tous les deux !
Il se fige bien plant� au fond et je ressens en moi ses �jaculations. Trop bon ;de pouvoir se baiser sans kpote !

J'attends qu'il me branle avant de quitter mon cul pour lui juter dans la main. Je sais qu'il va me la faire l�cher ensuite.
�a ne manque pas, je vois arriver sous mes yeux ma production. Blanche, �paisse, je plonge ma langue dedans, miam ! Je lape, l�che ses doigts pour ne pas laisser un spermatozo�de m'�chapper.
Il d�cule enfin, me tourne sur le dos et couch� sur moi, nous nous roulons un tendre patin. Il est vraiment trop bon mon mec !!

Samir d�boule avec deux peignoirs sur le bras pour nous annoncer le diner.
Notre baise ap�ritive nous a ouvert l'app�tit et nous faisons honneur � leur cuisine.
Apr�s diner, je prends un moment avec Samir pour voir avec lui comment se passe les " conduites " d'Ed et Jimmy. Il me dit que mes clients sont maintenant habitu�s � ce que ce soit lui qui fasse les conduites et il me dit que je vais avoir une remise de ch�ques � faire sur le compte de ma soci�t� d'Escort. Nous examinons ensemble le cahier des rendez vous, le montant des ch�ques et le liquide de la quinzaine pass�e.
Il me transmet aussi la demande de DGSE pour une nouvelle s�ance "garde � vue " mais uniquement avec Ric. Je verrais avec Andr� mais je ne pense pas que cela pose de r�elles difficult�s vu que la derni�re fois il a r�cup�r� un fils adepte de " l'�lectricit� ".

Ma petite affaire fonctionne bien et me permet de financer tr�s largement les salaires de Samir et Ammed, sans compter l'approvisionnement du compte de Jimmy.

Le jeudi qui suit, je d�boule chez Emma.
Vu le temps que nous avons actuellement, je la retrouve aupr�s de la piscine, toutes les baies donnant sur le jardin grandes ouvertes.
Je me d�fais vite de mes v�tements et enfile un maillot pour la rejoindre (je compte cette ann�e encore garder mes fesses blanches).
Elle est en train de lire, je me couche sur elle. Elle me crie de d�gager. Je lui enl�ve son livre de ses mains et �crase ma bouche sur la sienne. Cela coupe court � ses r�criminations. Et je sens ses t�tons durcir sous le tissu de son deux pi�ces. ;Je frotte mes pecs contre ses seins. Ils durcissent encore plus. J'envahi sa bouche avec ma langue et elle r�pond enfin � son excitation.
Je bande, ma queue sort du maillot dont je n'avais pas serr� le cordon et vient bitter contre le tissu qui couvre sa chatte. Sans cesser de l'embrasser, je glisse une main sur sa culotte, tire le rebord et d�gage l'entr�e de sa grotte. Ma bite plonge dedans. Elle est mouill�e et brulante. Ma main remonte pour d�faire son soutient gorge et es t�tons viennent frotter directement mes pecs.
Je quitte sa bouche et me penche pour sucer ses t�tons l'un apr�s l'autre. Elle g�mit de plaisir. Je profite d'un mouvement plus ample de mon bassin pour, �tant sorti de sa chatte' retirer sa culotte. Je r�investi aussit�t la place.
Ses jambes viennent ceinturer mes hanches et je sens ses talons appuyer au creux de mes reins pour bien m'enfoncer au fond de son vagin.
Je reprends ses l�vres et ma langue revient jouer avec la sienne. De temps en temps elle d�colle sa bouche pour me murmurer que c'est trop bon, que je la rends folle.
Il est temps de passer aux choses s�rieuses. Je sors ma bite bien lubrifi�e de son vagin et pose mon gland sur sa rosette. Je retire ma langue de sa bouche, on sait jamais si dans un mouvement reflexe elle risquerait de me la mordre, avant de a sodomiser.
C'est chose faites quelques secondes plus tard. J'enfonce mon gland d'un sec coup de rein avant de faire glisser lentement mais sans arr�t mes 20 cm dans son cul.
J'adore �tre bien serr� par un anus. Quand il est bien " entretenu ", il serre beaucoup plus fort que n'importe quel vagin et il transmet de fa�on plus violente les contractions dues aux orgasmes.
Foin de ces consid�rations ! Je la cloue sur le matelas � grand coup de bite dans le cul. Emma prend du plaisir sans que j'aie � m'occuper en plus de sa chatte ou de son clito.
Je ne me retiens plus et acc�l�re les va et vient. Deux mordillements de t�tons plus tard, elle prend son pied et, ce faisant, bloque ma queue dans son cul. A la troisi�me compression, je ne tiens plus et �jacule tout le contenu de mes couilles au fond de son trou.
Je roule sur le cot� et me retrouve sur le dos, Emma couch�e sur mon ventre. Nous restons ainsi quelques instants avant qu'elle me dise que la m�re de Pierre n'allait pas tarder � venir se baigner.
Je ronchonne un peu car cela veut dire que nous ne pourrons pas refaire l'amour avant que je parte.

Sonnette, je renfile mon maillot mais un zeste de rebellitude me fait laisser le lacet d�nou� et donc laisser mon sexe, par son poids, tirer le tissu vers le bas, jusqu'� laisser entrapercevoir la naissance de ma hampe.
Quand apr�s avoir d�clench� le portillon d'entr�e je lui ouvre la porte, h�l�ne est surprise de me voir et surtout dans une telle tenue.
On s'embrasse et elle me dit qu'� me voir comme cela, �a lui ferait presque regretter de m'avoir fait rencontrer Emma !
Je lui roule un patin en souvenir de notre br�ve relation. Elle me repousse en me disant que si on continuait, elle finirait par me violer sur place. C'est en riant de cela que nous rejoignons Emma.
Quand cette derni�re nous demande la raison de notre hilarit�, je lui rapporte les regrets de son amie.
Nous passons une fin d'apr�s midi agr�able. J'ai des nouvelles fraiches de Pierre et de son mec Olivier.
Et les deux amies de papoter de leurs deux fils homos ! Pierre fini son ann�e d'architecte en t�te de la promo et son mari et elle sont enchant�s de l'influence b�n�fique d'Olivier. Pendant un moment, ils avaient craint que le fait que Pierre s'installe chez lui, occasionne trop de distraction par rapport � ses �tudes mais ce n'�tait pas le cas. Je le lui confirme en lui disant que depuis qu'ils s'�taient trouv� tous les deux, c'est � peine si nous les revoyons une fois par trimestre.

Jardinier

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