Une soir�e de r�visions.Salut j'ai 19ans et je vais vous faire part d'une soir�e exceptionnelle � laquelle j'ai particip�... Mais pour bien comprendre le pourquoi du comment, il faut que je commence par vous parler de l'apr�s-midi pr�c�dent cette soir�e qui restera grav�e � jamais dans ma m�moire : � l'�poque j'avais 18ans et j'�tais encore puceau niveau mecs sauf dans mes r�ves car de nombreux hommes accompagnaient mes nuits depuis les premiers �mois de l'adolescence et l'apparition de cette v�rit� qui m'avait boulevers�e : j'aime les hommes, et en particulier leurs bites !! J'�tais avec mon meilleur ami, Jonathan 18 ans aussi lui � l'�poque, ce mercredi apr�s-midi soi-disant pour travailler � l'approche du bac (on �tait au mois d'avril), mais en fait on passait notre temps � discuter, � jouer � la PlayStation, ou encore � regarder des films. C'est un tr�s tr�s joli gar�on : brun, bronz�, grand (1m90), avec de beaux yeux bleus et pas un poil de graisse, ni de "vrais" poil non plus sur son corps d'ailleurs. Il �tait au courant de mon homosexualit� et aussi de mon amour pour lui, mais n'�tait pas du tout, mais alors mais du tout tent� de faire quoi que ce soit avec un gar�on. Ce jour-l�, on s'est pos� devant la t�l�, mais comme il n'y avait rien de tr�s int�ressant (on �tait un mercredi apr�s-midi donc cela n'�tait pas vraiment �tonnant.), on a plut�t parl� et peu � peu le sujet de la conservation a �t� le sexe. En effet il n'�tait pas tr�s satisfait avec sa copine car cette derni�re n'�tait pas du tout branch�e cul, donc ils ne baisaient pas aussi souvent qu'il le souhaitait ; de plus sa copine refusait le moindre contact entre sa bite et ses l�vres (alors que moi amoureux comme un fou de lui, j'aurais tu� p�re et m�re pour pouvoir le faire jouir entre mes l�vres). Bref il me racontait ses pauvres malheurs d'h�t�ro � moi qui l'aimait et fantasmait sur lui depuis plus de deux ans sans rien recevoir de sa part hormis son amiti� bien s�r. : Mais il avait raison car sa m�re est tr�s vite rentr�e du travail. Toujours est-il que je ne savais pas s'il avait dit �a s�rieusement et donc s'il envisageait vraiment que l'on fasse quelque chose ensemble, ou si ce n'�tait que sa �ni�me tentative de me frustrer ; cette derni�re possibilit� �tant la plus vraisemblable au vu du plaisir qu'il �prouvait quand il me laissait croire � des trucs avant de briser tout espoir. Cependant, je constatais avec �tonnement que son sourire �tait toujours l� ; �tait-ce � cause du mauvais tour qu'il m'avait jou�, ou �tait-ce � cause d'une id�e germante dans son esprit ? Je n'en savais rien. L'avanc�e de nos devoirs �tant moins spectaculaires que pr�vu, il me proposa sur les coups de sept heures du soir de rester manger chez lui et de finir nos devoirs apr�s le repas. Ravi de pouvoir passer plus de temps en sa compagnie, je m'empressais d'accepter sa proposition. Le coup de fil indispensable � ma m�re pour la pr�venir �tant pass� et cette derni�re ayant accept� devant l'argument infaillible du travail scolaire que je reste tard chez un copain une veille d'�cole, on se mit lui, sa m�re et moi autour de la table. Nous d�gustions nos p�tes, tout en discutant de tout, des cours, de sa maudite note de maths, du travail de sa m�re. A la fin du repas, chacun d�barrassa son assiette et sit�t le caf� engloutit, il �tait alors d�j� huit heures, Jonathan m'emmena dans sa chambre pour poursuivre notre travail car sa m�re souhaitait regarder la t�l� dans le salon et on ne pouvait donc pas finir dans des conditions acceptables continuer de travailler sur la table du salon � cause du bruit. Et c'est une fois la porte de sa chambre franchie que ce que j'ai appel� plus haut "une soir�e exceptionnelle" commen�a vraiment... Au d�but ce fut une soir�e tout ce qu'il y a de plus studieuse. On avan�ait vite car on en avait tous deux vraiment marre de bosser. Son bureau �tait peu large, c'est pourquoi nos genoux se fr�laient sous la table, mais rien n'indiquait qu'il avait envie d'un contact plus rapproch� ; au contraire, quand j'entrepris de lui caresser la cuisse avec mon genou, il me dit que si j'�tais l� pour �a, �a ne servait � rien que je reste plus longtemps chez lui. Devant cette menace, j'ai d� cesser aussit�t mon petit jeu et calmer mes ardeurs, et j'ai pens� avoir la r�ponse � ma question de tout � l'heure : Il n'avait jamais song� � me faire l'amour, mais il s'�tait une fois de plus bien amus� � mes d�pends. Evidemment, il se trouva que ce dernier fut le plus compliqu� et le plus long de tous, mais rien n'arr�tant notre soif de le vaincre comme tous ses pr�d�cesseurs, il d� lui aussi abdiquer devant notre force de caract�re exceptionnelle (lol), pour nous donner une victoire indiscutable : John/Alex 10 exos-- Physique 0. Mais il �tait d�j� dix heures. Il me proposa alors de rester dormir chez lui ; je n'aurais qu'� passer chez moi le lendemain matin, ma maison �tant sur la route du lyc�e. Nouveau coup de fil chez moi (" tu comprends, on a pas encore fini de travailler, et l� on est tous les deux tr�s motiv�s. Donc ce serait bien si on pouvait continuer pendant qu'on a encore envie de le faire. "), et lui sort � peu pr�s le m�me blabla � sa m�re. La chose est entendue : je pouvais rester et je dormirais dans un sac de couchage dans sa chambre ! (yes !!!). On installa donc ce sac de couchage et pour donner le change � sa m�re, on resta dans sa chambre pour "travailler". En r�alit�, on s'�tait install� sur son lit pour pouvoir mieux jouer � la PlayStation. Puis il m'a dit que je pouvais prendre ma douche, et que lui irait apr�s. Je pris donc ma douche, puis lui la sienne. J'approchais doucement ma main de son torse en attendant le moment o�, comme toutes les autres fois, il me dirait d'arr�ter. Ma main n'�tait plus qu'� cinq cm de son t�ton gauche et toujours rien. Plus que deux cm. Je devinais � pr�sent une bosse sous sa serviette, sensation confirm�e lorsque j'ai pos� ma main dessus. Il d�fit alors sa serviette et laissa appara�tre une bite de r�ve : longue (19 cm), �paisse, belle comme peu de bites le sont. Nous bandions tous les deux durs, mais moi j'�tais encore en pyjama. Pendant que je pris en bouche sa verge turgescente, il me d�shabilla et prit mon sexe entre ses doigts. Puis, au moment o� je m'y attendais le moins, je sentis une langue sur le bout de mon gland. Une langue qui n'en resta pas l� puisqu'elle parti tr�s vite � la d�couverte de chaque centim�tre carr� de ma bite. Je n'en pouvais plus : J'�tais en plein 69 avec l'homme de ma vie !!!! Je fus autoris� � m'endormir cette nuit-l� non seulement avec lui, dans son lit, mais aussi dans ses bras. J'�tais quand m�me bien heureux d'avoir v�cu ce que j'avais v�cu. R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |