Une petite halteCela faisait d�j� plusieurs haltes du train r�gional que j'empruntais au quotidien que je l'avais remarqu�. Il �tait assis sur la banquette � ma droite et lisait un bouquin de Poppy Z Brite, "Sang d'encre". "C'est bien, Poppy Z. Brite. Je l'ai lue aussi. Mais, dommage, je descends ici. J'aurais aim� en discuter." La halte. Je sors du wagon et me retrouve sur le quai. Triste. Le train repart et je me retrouve dans le halo blafard de l'ampoule unique de la halte. Au loin, passent les voitures sur l'autoroute, impersonnelles et bruyantes. Je vais me payer un cafard, c'est s�r. "Tu veux parler du bouquin ? Pourquoi pas ?..." Je me retourne. Il est l�, sur le quai de gare, avec un sac de trekking sur l'�paule. Plus petit que je ne l'imaginais. Il doit faire un m�tre septante et j'en vais quinze de plus. Je n'avais pas vu qu'il avait �galement un anorak bordeaux. "Ok pour discuter. Viens, on va s'asseoir sous l'ampoule, dans la salle d'attente." Nous entrons dans le petit local, pas vraiment chauff�, et prenons place sur la banquette. "Tu l'as tout lu ?" me demande-t-il ? Il s'avance soudain vers moi et me prends le paquet � travers mon pantalon. "Je vois que rien d'en parler te passionne." Je lui soup�se de ma main droite le sexe pour constater que je ne suis pas unique � y �tre sensible. Il a une jolie queue qui grossit imperceptiblement, sans doute de plus gros diam�tre que la mienne. Je passe sa main gauche dans ses cheveux, qu'il a doux et fins. Rapidement, il d�fait son catogan. Ses cheveux tombent sur son dos. Il me caresse les seins, Mes t�tons durcissent � travers la chemise. "Tu d�marres bien" me dit-il. A cette phrase, j'�crase ma bouche contre sa bouche. Nos langues dansent "le Lac des Cygnes", entrechats et jet�s. Nos mains ne restent pas inactives. Les miennes entrent dans son jean par derri�re et les siennes me tiennent la t�te coll�e contre sa t�te. Je descends dans son slip jusqu'� sa rosette. Il �carte l�g�rement les jambes, ce qui facilite ma visite digitale. Un frisson de sa part montre que j'ai atteint le but de mon majeur. Nos bouches se s�parent. J'ai chaud et je bande comme un ob�lisque. Presque � avoir mal dans mon string. Il se met � genou sur le froid b�ton et ouvre ma braguette. Ma queue jaillit de celle-ci comme un sprinter au d�part d'un 100 m�tres. Imm�diatement, il l'engloutit, tout en l'honorant de coups de langue qui me font grimper les murs. Ce type suce comme un Dieu. Et je l'encourage de mes deux mains pos�es dans ses cheveux. Il me gobe, me happe, me lappe, m'engloutit toute ma hampe. Puis il passe aux couilles, qu'il avale comme un affam�. Je me tiens difficilement debout, tant tout tourne alentours. Ouat�, j'entends le bruit de l'autoroute. Je me fous du temps. Je suis enti�rement dans la bouche de cet inconnu. De sa main, le voil� qui explore ma raie. Je descends mon pantalon et mon slip que j'�te d'un coup de pied volontaire et brusque. Il a l'air surpris. "Voil�, je suis l�, maintenant. Si tu veux en faire autant, tu peux et j'aimerais." Il enl�ve ses habits, qu'il d�pose pourtant d�licatement et avec soin sur la banquette. Pour la premi�re fois, je vois son schibre qui, comme je le supposais, est plus gros que le mien. Je dirais 18 x 5, � premi�re vue. Je le fais asseoir sur le banc, puis m'insinue entre ses cuisses. J'approche sa queue et ouvre la bouche pour me l'approprier. A vrai dire, j'ai un peu de peine car elle est vraiment imposante. D�s que je l'avale, mon compagnon a un spasme nerveux. Puis, il commence � onduler du bassin � mesure que je le suce. Je l'observe. Il a les yeux mi-clos et sa bouche laisse �chapper un petit r�le discret. Je continue ce que j'ai commenc�. Sa bite a bon go�t et ses mouvements de va-et-vient l'incite � entrer plus profond dans ma bouche. Le temps ne compte plus. Je le fais lever pour que mes mains puissent trouver son fion et l'explorer. Il le fait volontiers. Je trouve son trou et j'y insinue deux doigts, qui entrent sans aucune r�sistance. "Continue comme �a" anonne-t-il. Je veux que je vais continuer. Ma queue est dure et je l'entretiens � coup de main. J'ai l'impression que je pourrais le sucer jusqu'� demain. Je sens sa bite dans toute ma bouche et je pr�serve la plus grande �nergie � le pomper. En m�me temps, mes doigts de mon autre main disponible sont plus qu'actifs dans son cul. Peu � peu, je sens que la pipe n'est plus ce qu'il d�sire. Je mets plusieurs doigts et son sphincter est totalement dilat�. "Viens sur moi", lui dis-je. Je m'installe sur la banquette, la queue dress�e � 90°. Lentement, me faisant face, il m'enjambe. Je crache sur mes doigts pour pr�parer son cul, que j'humidifie sans h�te, mais pr�cautionneusement. Il me regarde, puis s'empale lentement sur mon dard. A un rictus de souffrance, bref, succ�dent des r�les de bonheur. Tendrement, il me chevauche, s'activant sur mon dard, lentement, pour profiter des sentiments des tr�fonds de son �tre. Puis, prenant appui sur moi, il acc�l�re la cadence. Ses mains pos�es sur mes �paules me font presque mal, mais ma queue en lui me procure le plus grand plaisir. Sa bite, toujours aussi dure, est secou�e au rythme de ses chevauchements et de mes coups de boutoir. La banquette est � la limite du point de rupture, mais nous sommes toujours l�, moi dans lui, lui sur moi. Nous baisons comme des fous. Je sens que je vais venir. Lui continue � �prouver ma hampe. Je lui fais mod�r�ment les seins et lui dit: "J'exp�die." Je me l�che. J'ai l'impression de d�gager des litres et que �a dure des heures. Il se retire avec un grand sourire de ma bite flacide. Je d�cide de le finir � la main. Je le branle tranquillement, lui me passant la main sur le dos, puis acc�l�re la cadence progressivement pour le voir se tendre et �jaculer jusque sur sa poitrine un sperme adorable, que je l�che jusqu'� la derni�re goutte, � mon grand rassasiement. "T'as �t� bien." Et c'est ce qu'il fit, � mon grand dam. maglau
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |