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Le mec du stade

Dimanche apr�s-midi, il fait beau : c'est le moment o� les mecs font du sport et se foutent torse nu, je vais faire un tour des terrains de sport des environs pour mater.

Je commence ma tourn�e par le terrain o� des mecs font du hockey tous les dimanches apr�s-midi : il y en a un seul qui joue torse nu, mais il est beau et bien muscl�, le torse imberbe sauf une touffe de poils entre les pectoraux. Je me rince l'oeil un moment, puis j'encha�ne pour aller voir au stade d'� c�t�.

L�, rien : tous les mecs qui jouent au basket et au foot sont en t-shirt ou en marcel ; pourtant il fait chaud, ils transpirent et ils n'ont pas de couleurs distinctives : dans ces cas-l� il y a souvent une �quipe qui joue torse nu, mais l�, rien. Et puis, je finis par voir un type torse nu qui fait des tours de piste en courant. Il est de dos, baraqu�, il court bien, sans se presser, mais il transpire bien. Puis, il prend le virage et l�, je vois que non seulement il est torse nu et super baraqu�, mais il a le torse couvert de poils noirs : plein la poitrine et le bas de l'abdomen.

Je le mate deux tours de plus, mais il s'arr�te. Je m'approche sous pr�texte de lui poser n'importe quelle question. Je demande si n'importe qui peut venir au stade, comment il faut faire pour s'inscrire pour les activit�s sportives etc. Pendant ce temps, je reluque son torse. En le voyant courir de loin, j'avais ador� voir ses pectoraux rebondir � chaque foul�e ; de tout pr�s, je suis frapp� par sa carrure : je n'ai jamais vu de mec aux pectoraux aussi d�velopp�s. Ce mec fait forc�ment un max de muscu, pourtant il ne para�t pas gonfl�, juste super baraqu�.

Pendant qu'on cause, j'ai les yeux riv�s sur son torse, comme il ne me regarde pas dans les yeux, je peux d�tailler chaque boucle de poils coll�s par la sueur, les t�tons larges et bruns qui pointent � l'extr�mit� du muscle, juste avant le d�crochement impressionnant tellement ses pectoraux sont bomb�s. Il fait de grands gestes pour me montrer o� est l'entr�e principale du stade : j'aper�ois ses aisselles tremp�es qui m'envoient de belles effluves de sueur. Je pourrais le toucher, le caresser, le l�cher ; je bande � mort. J'admire sa pilosit� abondante qui couvre tout le haut du torse, jusqu'aux �paules et � la clavicule sur le c�t�, jusqu'� la limite de la barbe au milieu : �a doit �tre incroyable, quand ce mec-l� porte une chemise, de voir cette toison pointer par l'�chancrure et lui remonter jusque dans le cou.

Mais toutes les bonnes choses ont une fin : je dis merci, je me casse et je file vers le parc o� il y a des terrains de sport et o� �a drague. Sur les terrains de sport je rep�re tout de suite un beau match de foot avec toute une �quipe qui joue torse nu. Coup de bol, c'est les torse nu qui sont les plus beaux : jeunes, sportifs, il y a des pectoraux qui s'agitent, des abdos qui se dessinent, de la sueur qui ruisselle, des mains qui passent sur des torses en nage. Il n'y en a qu'un de poilu, mais c'est le plus muscl� : cr�ne d�garni et ras�, peau mate et poil ras, il en a jusque sur les �paules. Je reste un moment en tchatchant avec le goal, qui se caresse l'aisselle, la nuque, la poitrine tout en me parlant. Je suis tellement chaud, il faut que j'aille l� o� �a drague.

J'arrive dans les all�es bois�es. C'est pas la foule, mais il y a quelques mecs qui r�dent. Deux ou trois sont torse nu : �a m'excite bien. Mais personne qui me donne envie d'aller vers lui. Alors je me dis que c'est � moi d'attirer les autres : je me fous torse nu, me caresse la poitrine, histoire de faire ressortir ma belle toison, me flatte les t�tons... Ca manque pas : un mec s'approche de moi et commence � me caresser le torse, puis un deuxi�me qui me met une main au paquet. Je glisse une main dans une �chancrure de chemise pour t�ter une poitrine bien ferme et je passe l'autre sous une ceinture pour aller chercher une queue qui commence � durcir.

Et c'est l� que je crois halluciner en voyant se pointer au bout de l'all�e, toujours torse nu, le mec du stade : tous les regards se tournent vers lui � mesure qu'il avance et personne n'a l'air d'oser l'aborder, tellement il en impose avec cette carrure incroyable. Il est l�, tous poils dehors, et il me rep�re, se dirige vers moi et mes deux comp�res. On se jauge un peu du regard : c'est � qui fera le premier geste. Pas question de faire le fier : un colosse velu de ce calibre, c'est pas tous les jours ; je tends une main vers son torse, soup�se un de ses pectoraux couverts de poils, passe une main sur son ventre ruisselant de sueur : c'est chaud, c'est doux, c'est ferme ; ma trique est � son comble. Et l�, surprise, c'est lui qui se penche vers mon torse, pour aller me l�cher le t�ton et perdre son nez dans mes poils, puis il descend, descend. Comme entre temps, le mec qui m'avait saisi le paquet m'avait d�fait la braguette pour t�ter ma queue, le mec du stade se jette dessus, la l�che puis la gobe.

Pendant que les deux autres gars continuent � me caresser, me l�cher, m'embrasser, je masse l'imposante musculature de mon athl�te - �paules, cou, bras, poitrine - et je perds mes doigts dans sa fourrure. Heureusement qu'on avait choisi un bosquet un peu touffu, parce qu'on m'a � pr�sent d�barrass� de mon short, je suis totalement � poil avec trois mecs qui s'occupent de moi. Une langue fouille les recoins de ma bouche, une autre parcourt mon torse, mon ventre, mon cul, tandis que la troisi�me, celle de mon grand poilu muscl�, continue � s'affairer sur ma gaule. Je n'ai pas assez de mains pour caresser tous ces bras, ces ventres, ces torses, alors je me concentre sur la musculature et la toison les plus g�n�reuses des trois. Il ne me manquerait plus qu'une bite l� o� je pense pour que ce soit le bonheur total... on jurerait que le gars qui s'int�ressait au d�part � mon paquet lit dans mes pens�es, car je le vois empoigner son dard, l'�quiper d'un caoutchouc et se placer derri�re moi.

Je n'ai pas le temps de dire ouf, qu'il est d�j� en moi : de toute fa�on, je suis tellement excit� que c'est entr� comme dans du beurre et, pendant ce temps, mon l�cheur de torse s'est mis � me mordiller les t�tons, le cou, les oreilles : �a a fait diversion ! Pendant que l'un me bourre consciencieusement, les deux autres ont invers� les r�les : le l�cheur vient me sucer et le mec du stade se redresse pour m'embrasser. C'est impeccable, comme �a je peux le reluquer, le toucher � mon aise. Son torse puissant fr�le le mien, sa fourrure caresse mes poils et mes t�tons, j'en ai des frissons sur tout le corps. Tandis qu'il se paluche tranquillement le braquemart, je m'agrippe � ses �paules puissantes � chaque coup de bite dans mon cul. Mon bas ventre est en feu gr�ce aux deux acolytes qui me sucent et me fourrent : le gland, le fion, les boules, la prostate, tout est incroyablement excit�. Je saisis un instant le dard band� � mort du poilu du stade : il est �pais et vein�, je ne le vois pas mais je sens que le gland est �norme et d�borde de la hampe ; un instant je regrette que ce ne soit pas lui qui me ramone ; mais comme �a, j'ai la vue de son torse magnifique et le contact de sa superbe toison.

D'ailleurs, je sens que les coups de bite s'acc�l�rent dans mon cul et les coups de langue s'intensifient sur mon dard : je l�che la queue du mec du stade pour revenir � son torse, que je caresse et p�tris ; le muscle est volumineux et ferme, la fourrure douce et drue ; je m'attarde sur ses larges t�tons durcis, perdus au milieu de cette for�t de poils noirs. Puis je sens que �a se dilate s�rieusement par derri�re, je re�ois un premier paquet de sperme chaud sur les chevilles : mon suceur vient de jouir ; � l'instant o� le grand muscl� velu pousse un g�missement et m'envoie un deuxi�me jet de foutre sur le ventre, mon enculeur me cramponne les pectoraux et d�charge. Caress� par l'un, suc� par l'autre et embrass� par le troisi�me, une bite dans le cul, du sperme plein le corps et les mains perdues dans une musculature et une fourrure prodigieuses, je crache mon foutre en caressant les muscles, les t�tons et les poils du grand baraqu� du stade.

Gill

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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