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La Chambre.

C'�tait un matin de tr�s bonne heure. Il pleuvait des cordes et j'�tais bien content de sortir de la voiture d'une amie qui m'avait raccompagn�e le parapluie � la main.
Mais � peine je recherchais la cl� dans ma poche que j'entendis des bruits au loin. Ce qui n'�tait que murmures devint bient�t un �cho dans mes propres oreilles. Je connaissais cette personne, le son de sa voix, le rythme, l'insolence. C'�tait Maxime. Ses deux mains se pos�rent sur mon ventre, je sentais tout le devant de son corps, je croyais planer car rarement j'eus ressenti une telle sensation, tant empreinte de sensualit�.

Un baiser dans les oreilles et je croyais m'endormir. En fait, avec tout l'alcool que j'avais pris, je me demandais comment je faisais pour tenir encore debout. En fait, je me laissais aller tranquillement et bient�t, je me retrouvais dans la voiture de Maxime.
Il semblait avoir conscience de mon �tat. Je ne disais pas non mais je me demandais tout de m�me o� il comptait m'emmener.
Lorsque la voiture s'arr�ta, je jetai un coup d'oeil au dehors. C'�tait une autre rue. J'entrai bient�t en sa compagnie dans un immeuble, puis dans un appartement, que je supposais �tre le sien.
A ma plus grande surprise, deux gars sortirent de la cuisine et un troisi�me d'une autre pi�ce voisine. Je ne les connaissais pas et ils n'�taient pas non plus ceux que j'avais c�toy�s au Parking, il y a une dizaine de jours d�j�.
E plus surprenant encore, d'autres mecs �taient derri�re nous et attendaient de rentrer � leur tout. Maxime me dit alors:
"Voici de nouveaux amis � moi. Je t'avais dit qu'on allait faire encore plus fort que la derni�re fois, voici Max et Luc (les deux gars qui venaient de la cuisine), Paul (celui de l'autre pi�ce) et les cinq autres (les mecs derri�re nous) Phil, F�lix, Antoine, Claude et Lyn (tous �taient blancs ou bronz�s, mais lui on voyait tr�s bien qu'il �tait d'origine chinoise). Et voici encore Mike (un am�ricain qui s'est expatri� en France, quand il me dit bonjour, son accent ne pouvait prouver le contraire, � moins qu'il ait fait expr�s)."

Nous nous assey�mes tous sur les canap�s et nous nous servions des ap�ritifs et des boissons qui regorgeaient sur la table basse.
Maxime mit, pour notre plus grand plaisir, une vid�o gay pornographique. Tous nous �tions accol�s � nos si�ges, les deux mecs qui �taient assis � mes c�t�s me caressaient instinctivement les cuisses, je ne pouvais qu'en frissonner de plaisir. Je bandais fort, pour s�r. Et je ne pensais alors qu'� retirer mon jean, pour r�veiller davantage le plaisir qui sommeillait en moi.
Un grand sourire parcourut mon visage. Luc m'ouvrit la fermeture �clair et sortit d�licatement mon sexe de mon slip. Il n'eut pas trop de mal, je bandais comme un phoque et mon sexe sortait d�j� partiellement du slip.
Luc se mit � la sucer si fort que j'en prenais un malin plaisir, j'enfon�ais davantage sa t�te. La mienne ne mesurait que 15 centim�tres, car je ne passais pas mon temps � me branler, mais je n'avais aucune honte, simplement car j'avais un sexe et cela me suffisait.

D'une de ses mains, Luc ouvrit sa braguette et descendit compl�tement son jean, laissant entrevoir parfaitement ses cuisses toutes poilues et un sexe d'une dimension faramineuse que j'estimais � 26 centim�tres, entour� de poils noirs bien denses et bien touffus.
Il se mit � branler la sienne et � murmurer des r�les en m�me temps que de me sucer, c'�tait grandiose, je ne demandais qu'une seule chose, que cela ne s'arr�te pas. Max se campait derri�re le canap� et je sentais les mouvements de son sexe qui drainait ma t�te, puis il sauta sur le canap�.
Le canap� se renversa vers l'arri�re, de sorte � ce que je me retrouve allong� sur le sol, la bite de Maxime dans ma bouche qu'il me faisait faire sucer, et boire les quelques gouttes qui commen�aient � sortir de l'extase. Luc ne me su�ait plus mais alors qu'il bandait toujours tr�s fort, il prit le cul de Maxime et s'en allait dans des va-et-vient qui ressortaient comme des �chos de la bouche de l'un comme de l'autre. De toute �vidence, ils se connaissaient bien, car aucun dans la pi�ce ne mettait de pr�servatif.

A dire vrai, nous �tions chacun dans notre coin � nous envoyer en l'air. Mais cela n'�tait vraisemblablement que le d�but.
Le go�t amer du foutre de Maxime ne faisait que rajouter � mon mal de ventre, mais je le bus ; finalement je trouvais que c'�tait un d�lice.
La vid�o continuait � tourner. Les bruits nous faisaient tous rire, sans exception. Dans les autres recoins de la pi�ce, je m'arr�tais sur le chinois et l'am�ricain, qui �tait tous deux comp�res. Mike prenait Lyn qui �tait braqu� contre le mur, les mains trouvant � peine une force d'appui, tellement la force des va-et-vient de Mike �tait grande, car largement plus muscl� que Lyn. Je les rejoignis en h�te. Mike sortit sa bite du cul de Lyn et admirait mon corps, tout autant que Lyn, tr�s maigre � mon go�t, ce qui n'emp�chait pas son sexe d'�tre �pais d'au moins 5 centim�tres et long d'une vingtaine de centim�tres au moins. D'ailleurs ce fut le premier qui se cramponna � moi, m'embrassa et me caressa le sexe et mes fesses, alors que Mike se tenait d�j� derri�re moi et lubrifiait les 5 centim�tres d'�paisseur de sa pine. Il me p�n�tra d'un coup brusque et sec, un bruit sourd sortit de ma bouche, les yeux ouverts par la douleur, j'avais l'impression de me r�veiller d'un long r�ve.

Puis Le sexe de Mike ressortit d'un coup sec puis reprit son �lan en me p�n�trant une nouvelle fois, d'un coup sec. Et plusieurs fois ainsi, de telle sorte que ma rondelle soit bien �largie. Il laissa ensuite la place � Lyn qui lubrifiait son sexe � son tour avant de me p�n�trer tout aussi, voire plus, brusquement que Mike qui s'en �tait all� au devant de moi, m'embrassant le visage, joignant sa langue � la mienne, puis d�vorant mon sexe.
Lyn restait plong� finalement en moi et fit ses mouvements de va-et-vient, en posant ses mains sur mes �paules et en d�livrant plusieurs doux baisers sur ma nuque. Ses r�les devenaient de plus en plus intenses et, bient�t, il jouissait, sans pr�servatif, car je devais me tenir � leur r�gle, la Confiance.
Aussi tout le liquide qu'il m'avait vers� je le sentais bien fort en moi, cela avait un effet si apaisant que je me retirais dans les toilettes, j'avais besoin d'y voir aussi plus clair, car c'�tait aussi un peu le fouilli dans ma t�te.
Quelqu'un sonna � la porte. Cela eut pour effet de me faire revenir � moi, car j'�tais presque sur le point de m'endormir. Je n'�tais pas crev� mais c'�tait comme si j'avais aval� quelque somnif�re. Toutes ces boissons alcoolis�es que j'avais pris au restaurant Lille avec mes coll�gues et les boissons bues ici y �taient forc�ment pour quelque chose.

A peine je sortis des toilettes que je tomba net � net avec le grand black (haut d'au moins 1m90) qui avait d� sonner � la porte. C'�tait le fianc� de Maxime, un anneau � son doigt me ramenait � cette r�alit�. Il s'appelait Herv� et il m'amena dans une pi�ce voisine, qui n'�tait autre que la chambre � coucher.
J'�tais compl�tement nu maintenant, les v�tements tra�naient sur le sol et quand Herv� sortit sa pine de son froc, je m'aper�us qu'elle �tait vertigineuse. A peine plus large que celle de Lyn et plus longue surtout, je lui donnais bien trente centim�tre, bien que cela me parut impossible. Ceci �tant, il ne se fit pas attendre, je m'�tais d�j� allong�, les bras droits et les mains appuy�es sur le lit et le cul en l'air. Ma rondelle �tait d�j� bien pr�par�e mais je redoutais tout de m�me, avec un certain plaisir, ce dard empoisonn� qui allait probablement jeter tout son foutre en moi. Ne parlons pas trop vite.

Herv� avait � peine rabaiss� son jean qu'il enfila son sexe d'un pr�servatif. Aussi doucement qu'il e�t pu me forcer le trou, c'�tait avec des gestes tr�s brusques et violents qu'il me limait de sa pine, avec des r�les qui en disaient long sur ses fantasmes. Plusieurs minutes s'�coul�rent et ses deux mains se tenaient fermement sur mes hanches. C'�tait la joie d'un travail bien fait, autant pour lui que pour moi. Je regrettais toutefois am�rement de ne pas avoir re�u ce jus qui m'�tait si cher.
A peine sortait-il sa pine de mon sac que tous les mecs de l'autre pi�ce nos rejoignait et m'observait avec un regard qui en disait long. Herv� d�campa du lit, moi je m'allongeais sur le dos, un courant d'air traversait mon visage, ce qui me faisait oublier un peu la forte empreinte qu'Herv� avait laiss� en passant, tr�s forte m�me, si forte que j'avais du mal � croire qu'il soit sorti de moi.
Mais tout allait reprendre � nouveau. Max me branlait � forte allure tandis que deux autres, Phil et Luc me levaient chacun une jambe en la su�ant et la caressant, si bons que j'en frissonnais. Les jambes lev�es si hautes que mes fesses se soulevaient d'elles-m�mes. Et Claude avec qui je n'avais pas encore fait connaissance, commen�ait � se lubrifier le sexe.

Son nom me coupait un peu l'app�tit sexuel. Mais physiquement, je ne pouvais demander mieux. Son torse �tait bomb� de poils. Il �tait bien mat. Et il �tait peut-�tre bien le plus muscl� de la troupe. Son sexe �tait l�g�rement bancal mais la peau visiblement humide par les anciens jets de sperme qu'il a du recevoir et des poils le recouvraient l�g�rement sur la base.
Il ne mit aucun pr�servatif et je ne me rendis m�me pas compte de l'acte m�me de la p�n�tration, je sentais tout simplement qu'il me limait profond�ment de l'int�rieur. Son sexe n'�tait pas tr�s �pais. Mais la mani�re dont il s'y prenait �tait tout � fait originale, et ses mouvements de va-et-vient faisaient taper ses couilles sur mes fesses car il allait jusqu'� la base, aussi longue fusse-t-elle.
Un arr�t brutal. Puis un jet, deux jets, trois jets, c'�tait le lot pour m'�tre fait encul� une nouvelle fois, sans pr�servatif.
Ensuite je me trouvais debout contre le lit, Max sur le lit me faisait une pelle. J'aimais me laisser entra�ner dans leurs propres fantasmes, peut-�tre � l'image d'un instrument �rotique.

Je sentais les bites de deux mecs derri�re moi qui tapaient � belle allure sur mes fesses et cherchaient par fantaisie mon trou. Les deux pines �taient grosses, je le sentais par le bout de leur dard. Ils ne cherch�rent m�me pas � lubrifier leur sexe, le premier s'enfon�a dans mes entrailles apr�s plusieurs tentatives, c'�tait presque d'un coup sec et les gestes s'ensuivait � forte allure, afin d'�largir le tunnel et laisser passer la pine du deuxi�me, tr�s lentement au d�part, car la douleur �tait atroce, m�me � ce rythme.
Puis bient�t les deux bites se faisaient un passage entre mes fesses. La sueur montait � mon visage, la douleur s'�vanouissait petit � petit. Les al�as de ces deux membres virils, les r�les bruyants des deux comp�res ne me faisaient que davantage g�mir. J'aimais �a. Tellement fort que j'en finis par �jaculer.
Il n'y avait pas de doute, je saignais l�g�rement. Et mon trou s'�tait �largi grandement en une seule soir�e. Un jour, peut-�tre j'aurais la chance de recommencer. Mais je n'ai jamais plus revu Maxime et les autres. Ils m'avaient consomm�. Et maintenant cherchaient-ils d�j� sans doute une autre proie.
A bient�t, peut-�tre.
Ecrivez moi sur , je suis tout ouvert � vos commentaires, impressions ou autres.

Lyano

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