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�pisode 1 ici Jouissance anale 4Titre de l'�pisode : Vengeance Puis je commence des mouvements de va et vient, lents et profonds, pour appr�cier toute la longueur du gode. J'imagine que c'est mon bel inconnu Maghr�bin qui s'active dans mes boyaux. J'ai la queue raide pr�te � exploser. C'est juste � ce moment l� que l'on frappe � la porte. - Merde ! Le bruit � la porte me ram�ne aussit�t � la r�alit�. Je m'aper�ois alors qu'il est plus de 22h25. Je n'ai pas vu le temps pass�. Je m'affole. Je suis � poil, le cul bourr� par un gode, l'esprit �chauff� par l'excitation anale et par le tarp�. Dr�le d'�tat pour recevoir un inconnu... m�me s'il a d�j� eu un aper�u de mes go�ts... J'attrape mes godes, le plug, la graisse, le string et balance le tout sous le lit. J'enfile un peignoir, essaie de me donner une contenance et je vais ouvrir, le coeur battant � tout rompre. - Putain qu'est-ce que tu fous ;grosse conne ! Je ne t'avais pas dit 10h !! L'accueil est chaleureux, �a me met tout de suite dans l'ambiance. Je le laisse entrer chez moi sans vraiment comprendre ce qui m'arrive. Je sens son regard de fauve parcourir l'appartement, m'inspecter de haut en bas. Je suis terriblement g�n�. Je n'ose pas le regarder. - C'est quoi cette robe ? Je ne r�ponds pas. Il me regarde bizarrement. Il sent quelque chose mais que peut-il comprendre ? J'essaie de faire diversion. - Tu veux prendre un verre ? - T'as gueule ! Je t'avais dit � 22h. Ca fait vingt minutes que je t'attends en bas. Tu crois peut �tre que c'est � moi d'attendre ? - Excuse-moi, je n'ai pas vu l'heure pass�e... - Tu te fous de ma gueule en plus ? - Je vais te chercher une bi�re... Bouge pas ! qu'il me gueule comme un veau. Je tremble. Pourquoi donc ai-je ouvert la porte. Je n'avais qu'� faire comme si je n'�tais pas l�. Il serait reparti et je serais bien plus tranquille en ce moment... surtout avec mes godes.... Quel con je suis ! - Tu faisais quoi ? - Euh... rien. Je regardais la t�l�. Je commen�ais � m'endormir en fait... - Et cette odeur, c'est quoi ? - J'ai fum� un peu, j'ne savais pas quoi faire - Et tu fumes en robe ? - Mais euh, ce n'est pas une robe.... - Vas-y bouge. Fais voir si elle te va bien ? Sa blague le faisait rire. Il �tait assis dans le canap�. J'�tais en face de lui, debout. Je ne savais plus o� me foutre. Je me sentais ridicule et je ne savais vraiment pas comment sortir de cette situation. C'est lui qui menait la danse, posait les questions, me regardait sous toutes les coutures comme si quelque chose en moi clochait ? J'avais l'impression qu'il voyait quelque chose sur moi je ne voyais pas. Je suis parti dans la cuisine. Au passage, je me suis arr�t� dans la salle de bain pour v�rifier ma gueule et ma tenue. Je n'ai rien vu de choquant. Soulag�, je suis revenu avec deux bi�res. J'ai pris mon courage � deux mains et je me suis assis � c�t� de lui sur le canap�. Je lui tends une bi�re. - Alors on n'est pas ob�issant ? Je vais vite te mater crois-moi ! Je n'osais plus bouger. J'attendais qu'il parle � nouveau pour savoir quoi faire. Je sentais que le moindre de mes mouvements pouvaient l'irriter. J'�tais mal � l'aise, c'est peu de le dire. La t�te baiss�e, j'en ai quand m�me profit� pour jeter un oeil sur la bosse de son pantalon. Son jean paraissait bien rempli. Le souvenir des r�jouissances d'hier au soir m'est revenu � l'esprit. Je commen�ais � bander. Je l'entendais d�glutir. J'ai fait un mouvement pour d�capsuler ma bi�re � mon tour et boire moi aussi. - Tsss tsss. L'alcool est interdit aux gonzesses ! - Arr�te, j'aime pas que... Il me prends alors par le menton et me regarde doit dans les yeux - Qu'est-ce que tu n'aimes pas ;petite p�dale ? - Rien... juste que... - Que quoi ? - que j'aime pas que... Je n'ai pas le temps de finir ma phrase qu'il me retourne une baffe. - Aie ! putain merde ! C'est pas dr�le ! - Quoi ? Quelque chose te d�range ? Je t'ai demand� si t'�tait l� pour donner ton avis sur ce que tu voulais ou sur ce que tu aimais ;faire ? - Euh... quand m�me... Il me retourne deux baffes suppl�mentaires bien appuy�es. J'essaie de me relever. - Tu fais encore un geste et je t'allonge mon poing dans ta gueule de p�d�. Je suis rest� immobile en r�p�tant que j'�tais le roi des cons. Faire entrer un mec comme �a chez soi, ce n'�tait pas bien malin... Je pouvais en trouver d'autres des mecs et des plus aimables. J'ai mat� sa braguette � nouveau. Mon excitation est revenue, je ne pouvais pas m'en emp�cher. Ce type avait une attitude d�testable et pourtant il m'excitait au plus haut point. Il posait l� devant moi sachant tr�s bien qu'il me faisait baver d'envie...Il profitait de la situation. Il voulait savoir ce que je serai capable de supporter. En fait je voulais qu'il parte mais avant j'aimerais tant la voir, sa queue, la sentir encore une fois au fond de mes entrailles, la sentir me labourer les muqueuses, la sentir me ramoner dans tous les sens jusqu'� l'extase anale finale. Oui encore une fois, juste une fois. J'avais � nouveau le cul qui palpitait, mes muscles vibraient. Je devais mouiller sur mon peignoir. J'ai eu envie de me caresser la rondelle pour v�rifier. J'ai avanc� ma main entre mes jambes mais je n'ai pas eu le temps de soulever mon peignoir. - Donne-moi ta bi�re et roule-moi un p'tit oinj, �a va t'occuper. Tu materas autre chose que ma braguette. Son ton s'�tait l�g�rement radouci. Je me sentais un peu mieux. La violence, ce n'est pas trop mon trip. Je suis all� dans la chambre pour rouler son p�tard. Je l'ai entendu me suivre. Il est rest� debout contre la porte en me regardant. Histoire de voir, j'ai dit : - J'vais peut �tre m'en rouler un, moi aussi... - Tsss tsss. Tu vas avoir autre chose � faire. C'est alors que son regard s'est d�tourn�. Il fixait quelque chose sous le lit. J'ai regard� � mon tour et j'ai aper�u le bout de mon string. J'ai fini le tarp� en vitesse et me suis approch� du lit pensant r�cup�rer le string vite fait. Il a compris ma manoeuvre et s'est approch� lui aussi. - T'as pas eu le temps de faire le m�nage avant que j'arrive ma poule ? Il s'est baiss� pour attraper le string. - C'est quoi ce bordel ? On laisse tra�ner ses petites culottes ? - Non, hier soir j'ai d� l'oublier... - Elle est toute mouill�e. Elle n'a pas eu le temps de s�cher depuis hier au soir ? - J'euh... je sais pas... Il a port� mon string sous son nez puis sous le mien. - Ca sent la chatte non ? C'est cette odeur que je sens depuis que je suis entr� ici ? - Je sais pas... Il s'est baiss� � nouveau mais cette fois-ci il a regard� sous le lit. - Et bien ma salope. Toi au moins tu n'es pas la moiti� d'une cochonne... Il a pris la graisse, le plug et les godes et a tout remont� sur le lit. Son ton redevenait � nouveau plus violent. - C'est quoi ces trucs de d�prav� ? Il m'a align� � nouveau deux baffes bien senties. Je me sentais humilier au plus haut point. Je n'osais m�me plus r�pondre ni expliquer quoi que ce soit. Tout �tait l�, � sa vue. Il savait tout de mes fantasmes, d�lires, envies. Que pouvais-je ajouter d'autre ? Il a brandi le plus gros gode. Il faisait 22 cm. - Tu t'enfonces �a dans le cul !! - ... - R�ponds quand je te parle ! Dis, tu t'enfonces �a dans le cul !! Que pouvais dire ? J'ai pris ma t�te entre les mains pour me cacher. Il m'a attrap� par les cheveux. - Vas-y suce-le ! - Non, non, je ne peux pas...je t'en prie - Sale petite chienne. Tu t'astiquais le cul en m'attendant. C'est �a, hein ? - Non, non... - Et tu pensais � moi quand tu te bourrais le boule ? - Non, non... - Suce-le je t'ai dit... Ca va te chauffer... Il a allum� son tarp� et m'a regard�. Ses yeux noirs remplis de haine m'ont fait c�der. J'ai compris que si je n'ob�issais j'allais encore me prendre une ou deux mandales dans la gueule. J'ai pris le gode et je l'ai port� � ma bouche. Il s'est approch� et me l'a enfonc� au maximum. J'ai d�gluti avec difficult�. - Suis-moi Il est revenu dans le salon. Il a d�fait sa ceinture et a juste baiss� son jean. Il s'est assis sur le canap�. - Approche toi. T'es bien chaude maintenant ? - Euh... - Tu vas te faire un plaisir de me sucer, ch�rie. Et d�p�che-toi, je n'ai pas que �a � faire ! Il a sorti son engin par l'ouverture de son cale�on. Il ne bandait pas. Je me suis accroupi devant lui. - Rien qu'avec la bouche, t'as compris ? Je ne veux pas sentir tes mains ! Il alors fum� son joint tranquillement en me regardant oeuvrer avec son air narquois. J'ai l�ch� son gland qui reposait sur le tissu du cale�on. Avec le bout de ma langue, je l'ai bien titill�. Il n'a pas �t� longtemps � prendre forme et a band�. J'ai alors pris tout son gland en bouche. J'ai tr�s vite band� � mon tour. J'ai voulu me caresser la bite. Il m'a align� une nouvelle baffe. - Tu es l� pour travailler, pas pour t'amuser ! J'ai continu� ma tache avec un certain plaisir. Sa queue �tait vraiment belle quand il bandait. Mais tr�s vite, il en a voulu plus. Il m'a attrap� par les oreilles et a commenc� � me limer la gueule sur sa tige. Comme si, une nouvelle fois, je n'�tais qu'un trou. - T'aime bien les sentir bien raides les pines, hein ma poule. T'aime �a les pines d'Arabes ? Hein, dis-moi que tu aimes �a ? Je ne pouvais �videment pas parler mais il lui, � l'�vidence, �a l'excitait de me parler ainsi, de me traiter de chienne et de faire de moi son objet sexuel. Il n'arr�tait pas de parler pendant qu'il m'astiquait la bouche. J'avais les commissures des l�vres qui me faisaient mal. Sa queue �tait maintenant au maximum de sa splendeur. 18 cm, probablement, de muscles bien durs qu'il devait entra�ner r�guli�rement. J'�touffais sous ses coups. Avec ses grosses mains qui s'agrippaient � mes oreilles, il commen�ait � mener une cadence d'enfer. Je ne pouvais plus sucer, juste tenir ma bouche grande ouverte et lisser ma langue sous son gland � chaque passage de son membre veineux. Son comportement macho m'excitait. Par pur reflex, j'ai tent� de glisser une de mes mains sous mon peignoir pour me caresser le cul. Il m'a repouss� et m'a regard� droit dans les yeux. - Qu'est-ce que je t'ai dit ? Il m'a crach� sur la gueule puis a repris sa position en me pistonnant � une cadence infernale. - T'aurais aim� que je te pine la chatte hein ? Entre deux coups de boutoir, je n'ai pu m'emp�cher d'�mettre un grognement approbateur. - Oui, je sais, t'aurais aim� �a, petite fiote de mes deux. Je sais, tu ne r�ves que de �a. Te faire reluire la rondelle par des bites d'Arabes. Et bien, tant pis tour toi. La prochaine fois tu te tiendras pr�t et tu m'attendras. Je n'aime pas les grosses putes en chaleur qui ne peuvent pas se retenir. Sur ce, il a enfonc� ma t�te, comme jamais jusqu'� pr�sent, sur sa queue et a jut� brutalement en poussant un r�le de satisfaction. J'ai aval� de travers sa premi�re gicl�e qui arrosait tout mon gosier. Je m'�touffais et commen�ais � recracher malgr� moi. Ca ne l'a pas perturb� pour autant. Il me maintenait la gueule toujours aussi fermement. Ses gicl�es suivantes ont descendu direct dans mon estomac. Je ne pouvais toujours pas boug�. Quand enfin il a commenc� � ramollir, il a desserr� son �treinte. Je lui ai nettoy� le chibre comme il me l'a demand� puis il s'est relev� et a remont� son jean. Je n'ai pas pu voir ses couilles, ses cuisses, son torse comme j'aurai aim�. - La prochaine fois, tu sais ce qu'il te reste � faire ? Il est parti sans plus d'explication. Fin de l'�pisode 4. N'h�sitez pas � me faire part de vos commentaires et vos suggestions. D'autres �pisodes � venir bient�t. La suite iciR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |