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Idylle sous les tropiques

A l'�poque j'�tais cadre dans une grande entreprise � Lyon. L'�t� approchait et j'�tais tr�s heureux car j'avais travaill� comme un dingue toute l'ann�e ! Enfin les vacances ! J'avais d�cid� de partir tr�s loin de la France pour un d�paysement total. Je partis donc vers un archipel du Pacifique.
D�s la descente de l'avion, je fus accueillis par de jolies jeunes filles qui mettaient des colliers de fleurs autour du cou de chaque touriste. Un vent chaud et doux venait caresser mon visage, c'�tait trop cool. Seul ombre au tableau : je pensais que dans ces �les je n'allais pas trouver un ou des mecs sympas, comme � Lyon...

Le premier jour, je restai au lit pendant pr�s de 20 heures � cause du d�calage horaire. Idem le deuxi�me. Et cela dura une bonne semaine !!!!
Apr�s cette semaine � roupiller, on frappa � la porte (comme tout les matins d'ailleurs, mais je n'avais jusque l� jamais r�pondu !).
-Entrez ! Fis-je, avec une voix de d�terr�. Et l�, je restai bouche b�e. Un magnifique m�tisse entra. Il devait faire au moins 1m90 pour 80kg. Il semblait avoir tout juste 20 ans. Sa peau �tait somptueuse, ses yeux �tait d'une noirceur impressionnante. Il �tait admirablement bien muscl�.
D'une voix virile, mais douce, il me dit :
-Bonjour Monsieur, je vous apporte le petit d�jeuner. Il est 9h30.
Je lui souris pour le remercier, et il me rendit un tendre sourire. Il sorti. J'�tais sous le charme.

Apr�s ce copieux p'tit d�j., je me d�cidai � aller vadrouiller dans l'�le pour trouver une p'tite plage tranquille.
Le temps �tait clair, et il devait faire au moins... 40°C � l'ombre !!!! Il �tait presque 11h00 quand j'arrivai dans une crique d�serte. J'installai une serviette sur le sable fin et br�lant et me pr�cipita dans l'eau claire, pure et chaude. Je fis quelques brasses... et me calmai. IL n'y avait aucun bruit. On entendait � peine l'oc�an aller et venir. Cependant, derri�re des rochers que je voyais � une centaine de m�tre de moi, des rires se faisaient entendre. Je me rapprochai et les rires se changeaient parfois en mots incompr�hensibles. Ce devait �tre s�rement un dialecte local.

J'�tais coll� enfin tout pr�s des rochers quand les bavardages cess�rent et laiss�rent place � des bruits... douteux. Des r�les. Des grognements !
Doucement, je sortis de l'eau et grimpai sur les rochers. Stupeur ! Derri�re les rochers, il y avait une toute petite plage sur laquelle un beau black �tait en train de sodomiser un autre mec. Le black allait et venait de plus en plus fort et l'autre mec g�missait.

Que faire ? Ca faisait des jours que je n'avais pas bais�, mais d�ranger ces deux jeunes hommes serait d�placer de ma part... ah, j'avais tellement envie de me faire prendre part ces mecs !!!
Tant pis ! Je d�cidai d'y aller, au risque de me faire rejeter.
Je m'allongeai � c�t� d'eux, comme si de rien �tait et je m'aper�u que le mec qui se faisait d�foncer �tait le jeune m�tisse de l'H�tel !!!! Les mecs s'arr�t�rent dans le feu de l'action.
-Tu veux quoi, toi ? demanda agressivement le black. T'as un probl�me ?
Le jeune m�tisse dit alors :
-Il veut p't-�tre participer...
J'acquies�ai. Le black se retira du m�tisse. Je fus tr�s impressionn� : le mec avait un sexe �norme ! Au vue de nez, il devait faire au minimum 30 cm !!!! Et il �tait si large que lorsque je me mis � le branler je n'arriver pas � refermer ma main !!!!!!! J'enlevai mon maillot de bain et mon sexe se redressa d'un coup. J'�tais si excit� qu'il �tait dress� et dur comme du b�ton.
Le beau black me pris alors violemment la t�te et me for�a � le sucer. Le sexe �tait trop gros. J'avais du mal � l'avaler. C'est tout juste si j'arrivai � avoir son puissant gland fonc�. Au m�me moment, je sentais le m�tisse qui me l�cher l'anus. C'�tait divin.
Le black devenait de plus en plus violent. Je faisais mon possible pour le satisfaire. Et l'autre commen�a une douloureuse p�n�tration. Le m�tisse aussi avait un sexe impressionnant. Il devait �tre long et gros comme un bras d'adulte !!!!! Heureusement il commen�a, apr�s de douloureux va-et-vient, � mouiller. Ce qui servit de lubrifiant et la douleur se transforma en plaisir intense. Je me demandais toutefois comment mon petit cul pouvait supporter cet �norme engin qui me d�fon�ait.

Un long moment apr�s, le black d�versa dans ma bouche de grosses gicl�es de sperme. Je sentais les jets �pais, gluant et chaud taper au fond de ma gorge. Il me trait de salope, de chienne, et en m�me temps il �tait en train de vider ses �normes testicules poilus. Il retira sa queue d'�l�phant de ma bouche et continua � d�verser se semence sur mon visage. Ces couilles �taient si grosses qu'il aurait pu remplir une canette enti�re avec son foutre. Il y eu au moins 6 ou 7 longs et puissants jets sur mon d�licat visage de jeune fran�ais.
Quand au m�tis je sentais qu'il allait jouir. Je le supplia de se retirer avant l'�jaculation, mais il n'en fit qu'� sa t�te et cracha son foutre br�lant dans mon intestin ! Il y en avait tellement que �a d�goulinait et je sentais le sperme gluant couler le long de mes cuisses.

Le soleil tapait. Tous les trois nous transpirions comme des boeufs ! L'odeur de la sueur se m�lait � celle du sperme. C'�tait trop bon. J'�tais pris en sandwich entre un jeune m�tisse et un puissant black trop bien mont�. Mon corps �tait couvert du produit de leur testicules.
Le black m'ordonna alors :
-Met-toi sur moi, esp�ce de salope ! Je veux t'd�foncer ton sale cul de blanc !!!
Je m'ex�cuta. Son corps d'�b�ne �tait allong� sur le sable blanc. Et son p�nis gigantesque se dressait et semblait monter jusqu'aux cieux. Le gland brillait et un liquide transparent coulait encore le long de sa verge. Je pensais que tout � l'heure il avait d�verser l'�quivalent de ce que produit un homme normal pdt un an et qu'il �tait rassasi�, mais apparemment non. Il en voulait encore.

Je me mis au-dessus de lui et me mis � descendre ma croupe. Je sentais son gland fr�ler mon trou qui commen�ait � se refermer. Et doucement je descendis de plus en plus. J'avais plus de 30 cm en moi !!! Je commence un d�licat va-et-vient. Il commen�ait � g�mir de plaisir et insista pour que j'acc�l�re.
En face de moi, le m�tis me pr�senta son beau cul que je mis � l�cher. Ma langue s'engouffrait parfois dans son trou fonc�.
En m�me tps, le grosse queue du black me faisait mal. Il m'insulta et me dit d'arr�ter. Il se releva, me retourna et me culbuta violemment. La douleur �tait atroce. Et je continuais � l�cher le trou de balle du jeune m�tis qui prenait son pied et se branlait en m�me temps.
Le black me d�fon�ait si fort que les larmes et les cris me venaient. Il m'insulta et m'ordonna de me taire. Pour que je ne crie plus, son complice m'obligea � lui bouffer le cul. Je ne pouvais presque plus respirer. Et je sentais l'odeur "d�licate" de son anus... Le m�tis �jacula alors sur le sable.

Le gros black me plongea alors le visage dans le sable, sur la semence encore chaude. Je sentais qu'il allait jouir. Il se retira et je sentis de longs jets de sperme gluant atterrir sur mon dos.

C'�tait fini. Les deux comp�res s'en all�rent en me laissant couvert de foutre sur le sable.
Je n'en pouvais plus. J'�tais si fatigu� que je ne sentais plus mon corps...

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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