Cyrillo

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formation -3

Certains ricanent et un grand gaillard un peu meneur s'approche et me demande o� j'�tais cet apm.
Je lui r�ponds que j'�tais en cours avec eux, mais que j'ai �t� distrait et que je n'ai pas suivi. Il me dit : " oui tu �tais chez le directeur et ensuite chez le toubib. Tu as appr�ci� ? " et, " Pourquoi as-tu un traitement de faveur ? ;Une chambre � part ? ".

D�contenanc� je rougi et de rage je quitte la pi�ce.
Une fois dans couloir quelqu'un m'appelle. Je me retourne. Un gars vient vers moi avec une liasse de papier � la main. " Je m'appelle Paul ! ".
" Moi Marc ! ".
" Oui je sais ! ".

Paul est plus petit que moi, un visage juv�nile, petit blond comme un angelot, tout en rondeur, avec un regard tr�s doux et un peu d�sempar�.

Tiens voil� le cours de cet apm. " Merci ! ".
Il me dit qu'il pense qu'il y �tait avant moi chez le m�decin. Je lui demande si c'est lui que j'ai entendu g�mir. Il me r�pond qu'il ne sait pas s'il a g�mi mais il est s�r d'avoir dormi. Il trouve cela bizarre et il est inquiet. Il me relate des attitudes et des regards, voire des gestes bizarres � son encontre. Je lui dis qu'il peut venir me voir dans ma chambre quand il le veut. Il me remercie et me demande de me m�fier du grand qui m'a envoy� pa�tre dans la chambr�e. Ce mec est d�j� venu ici et � cette �poque il �tait le favori. A part �a il ne voulait pas dire autre chose, mais ce qui est certain, c'est qu'il est jaloux. Il ajoute qu'il se pr�nomme Richard.
Je le remercie de nouveau et nous nous s�parons. Je regagne ma chambre avant le diner.

Monsieur Jean, appelle Monsieur Aim� et lui demande de me faire changer de chambre le soir m�me.

Le diner se passe dans le calme et pour moi sous l'oeil inquisiteur de Monsieur Jean et de Monsieur Daniel.

A la sortie du r�fectoire Monsieur Aim�, me demande de le suivre. Que va-t-il encore m'arriver.
Monsieur Aim� ouvre une porte et me fait entrer dans un salon. " Ceci est ton nouvel appartement ! ". Je suis sid�r� tant c'est confortable. Il pousse une autre porte et me dit " Ta chambre ! ", une autre porte " ta salle de musculation ! ", une autre encore, " ta salle de bain ! ".
Je lui demande " Et mes affaires ? ". Monsieur Aim� me r�pond que pendant que je dinais le personnel les a transf�rer ici.

Monsieur Aim� sort et ferme la porte � cl�.

Je pr�f�re ne pas penser et je commence � lire les notes de Paul. Paul qui devait venir me rendre visite, mais il n'a peut-�tre pas conscience que cet appartement existe. L� je me rends compte que mon formateur voulait me voir et que j'ai compl�tement zapp�. Au bout d'un moment mon attention est attir�e par quelque chose qui bouge au plafond. C'est une cam�ra et on m'observe. Je fais le tour de l'appartement et je constate qu'il y en a partout.

Je me douche et je vais me coucher. Heureusement car la lumi�re s'�teint brusquement. Il n'y a pas de r�veil lumineux et je n'ai aucune id�e de l'heure qu'il est, de plus j'ai l'impression d'avoir perdu mon portable.
Dans mon demi-sommeil, je me rends compte que mon anus est un peu douloureux. Je m'endors enfin et dans la nuit je r�ve aux moments pass�s dans le car, puis dans le bureau de Monsieur Jean et la visite m�dicale du docteur Alexandre m'excite, mais je ne sais pas pourquoi. Je me r�veille � cause d'une grosse �rection et je fini par jouir dans mes draps.

Au matin, je suis r�veill� par la lumi�re qui vient de s'allumer.

Je vais ma toilette et je m'habille. La porte est ouverte. J'ai faim, je sors de ma chambre, et je tombe sur Monsieur Aim� qui me dit que Monsieur le directeur veut me voir. Je lui dis : " apr�s le petit d�jeuner ? ".
Il me r�pond : " non de suite ! ".


Qu'est ce qu'il va encore m'arriver, j'en ai la chaire de poule.

J'arrive � sa porte, je frappe et un sonore " entrez ! " se fait entendre.
"Bonjour Marc !, comment vas-tu ce matin ?, en forme ? ton appartement te plait-il ?, j'ai pens� que ce serait plus confortable pour toi ! ".
Monsieur Jean s'est lev�, il est en robe de chambre. Il me demande de m'asseoir. " Il n'y aura pas de petit d�jeuner pour toi ce matin, j'ai pens� que tu avais besoin de vitamines ! " et ce disant, il s'approche et �carte un pan ;de son peignoir.
Sa queue encore molle pend presque jusqu'� son genou.
Les couilles sont tr�s grosses et extr�mement pendantes.
" Prend la dans ta main ! " j'h�site et je re�ois une baffe qui me tire les larmes des yeux. " EXECUTION ! " hurle-t-il. Je m'ex�cute donc. Je me dis que le mieux que j'ai � faire c'est de me montrer un peu z�l�, m�me si j'ai tr�s peu d'exp�rience en sexe.
Je prends donc cette trompe dans une main qui n'arrive pas � en faire le tour, et de l'autre je soul�ve les deux boules.
" C'est bien ! " me dit-il.
" Tire la peau en arri�re doucement ! ". Je m'ex�cute. Je queue commence d�j� � durcir. Le m�at appara�t comme un oeil qui me regarde. Je d�calotte encore un peu un long filet de mouille s'�pandre du m�at. Monsieur Jean le recueille sur un doigt et me le donne � sucer. " On ne va pas perdre de la si bonne marchandise ! " dit-il.
Maintenant le gland est presque enti�rement d�calott�. L'�rection de Monsieur Jean est presque enti�re. Le gland �norme se pousse en avant et le pr�puce glisse de lui-m�me derri�re l'ourlet. Je dois reconna�tre que cette �rection est magnifique et que cette bite est superbe. " tu sais ce qu'il te reste � faire ? " me dit-il.
Je picore le gland, l�che la mouille maintenant ;abondante. J'essaie d'ouvrir la bouche le plus grand possible et Monsieur Jean enfonce son gland dedans. Il pousse ensuite sa queue le plus loin possible.
J'ai des hauts le coeur, mais ce n'est pas pour autant qu'il se retire. " Respire par le nez ! " me dit-il.
Les hauts le coeur se calment. " Ta luette est entrain de me chatouiller le m�at ! C'est g�nial ! " me dit-il.
Puis, apr�s un petit moment Monsieur Jean me prend par les oreilles et me baise la bouche pendant un bon quart d'heure. De nouveau je sens sa queue vibrer et je vois ses couilles remonter. Dans un rugissement Monsieur Jean m'envoie six ou sept jets de jus copieux et odorants que je ne peux qu'avaler. La dose est tellement copieuse qu'un de sperme coule � la commissure de ma l�vre et t�che le col de mon polo noir.
Monsieur Jean se retire et me donne une petit tape sur la joue. " Tu vois bien que �� se passe mieux quand tu es docile ? Nous allons faire quelque chose de toi ! ". Il me pince le menton et m'embrasse sur les l�vres.
" D�sormais ce sera ton petit d�jeuner quotidien ! ".

Rolex59

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