Cyrillo

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Le Fils d'un Soldat - 4EME partie

Quelques jours plus tard, quand je rentrai � la maison, je vis la fum�e du barbecue dans l'arri�re-court. L'odeur de la viandre grill�e m'enchentait au plus haut point. J'allai jusqu'au patio o� je trouvai mon p�re, visiblement ravi d'avoir rallum� le barbecue. Il portait un short en jean et son habituel d�bardeur blanc. Je pouvais le voir alterner entre la bi�re qu'il tenait de la main gauche et la pince qu'il lui servait � retourner les pi�ces de viande. Je d�posai mon sac de cours au pieds de la baie-vitr�e.

" Ahhh te voil� " interpella mon p�re

" Je reviens tout de suite. Je vais me doucher tr�s rapidement " lui r�pondis-je.

" Ok mais d�p�che-toi. C'est bient�t pr�t ".

Je montai � l'�tage, me d�shabillai et ouvrai le robinet de la douche. Je m'approchai de la fen�tre de la salle de bain et regardai en direction de mon p�re. Je pouvais le voir se frotter l'entrejambe, comme un mec en aurait l'habitude. D'en haut, ses �paules paraissaient encore plus larges et plus muscl�es. Je sentis du mouvement sous mon cale�on. Je baissai les yeux et m'aper�us que ma queue grossissait lentement. Je la pris m�caniquement dans la main et je m'amusai � tirer sur mon gland. Elle commen�ait s�rieusement � devenir raide. " Contente-toi de te laver, tu n'as pas le temps pour te branler " me suis-je alors dit � moi-m�me. Sous le jet chaud de la douche, je d�pla�ai vigoureusement le savon entre mon torse et mes dessous de bras, prenant ainsi soin d'effacer toute trace de sueur et des salet�s r�colt�es � l'entra�nement de ce matin. Je d�pla�ai ma main vers le bas, jusqu'� mon �rection. Je l'entourai de deux doigts fermes et je commen�ai � les faire glisser le long de mon manche. En pliant l�g�rement les jambes, j'en vins finalement � me caresser les fesses avec un doigt savonneux. Plus mon doigt passait sur mon sillon, plus je me sentais m'ouvrir. Je fermai les yeux et je commen�ai � m'enfoncer un doigt.

" D�p�che-toi Edouard ! Le d�ner est pr�t ! " se mit � crier mon p�re au travers de la porte entrouverte.

" Merde " m'�criai-je alors en laissant tomber le savon � mes pieds, surpris de l'arriv�e de mon p�re.

" Je descends tout de suite " lui r�pondis-je.

De l'autre c�t� de la porte, mon p�re pouvait me voir de dos dans le reflet du miroir.

" Est-ce que tout va bien ? "

" Oui, oui, tr�s bien. " lui r�pondis-je nerveusement, en prenant soin de lui tourner le dos pour cacher mon �rection. Je n'avais pas besoin d'�tre pris � nouveau sur le fait.

" Okay, dans ce cas descends ! "

Je me s�chai rapidement, m'habillant simplement en enfilant un cale�on et un t-shirt. Alors que je me dirigeai vers le patio, mon p�re m'arr�ta et me tendit une bouteille de bi�re. " Joyeux Anniversaire ! "

" Pourquoi une bi�re ? "

" Pour boire "

" S�rieusement ? " lui ai-je alors demand�.

" Eh bien oui. C'est une occasion sp�ciale. "

" Cool. Merci. " Je portai alors le goulot jusqu'� mes l�vres. Me d�lectant de ma premi�re gorg�e de bi�re. �a n'avait pas vraiment bon go�t en r�alit� et j'esquivai une grimace.

" Ouaooh, c'est vraiment bon. " dis-je alors � me p�re qui paraissait visiblement ravi.

" C'est une bi�re brune. �a va te prendre un moment pour t'y habituer. "

Je me d�cidai � en reprendre une gorg�e, d�termin� � m'habituer au go�t. Je m'assis avec mon p�re autour de la table sur la terrasse, alors que le soleil commen�ait � se coucher. Le ciel changeait graduellement de teinte pendant que mon p�re et moi avions une premi�re vraie discussion depuis l'accident de ma m�re.

" As-tu d�j� pens� � te remarier Papa ? "

Mon p�re continuait de fixer du regard la bouteille luisante qu'il tenait en main. " Ta m�re n'a toujours pas cess� de me manquer fiston. Mais oui, il y a des tas de choses qui me manquent. Vraiment beaucoup de choses. " m'a-t-il alors r�pondu.

" Comme quoi ? " lui ai-je demand� calmement avant de mieux m'installer dans ma chaise et d'appuyer ma t�te sur le dossier pour regarder quelques secondes la lune.

" Comme d'avoir quelqu'un � qui parler, quelqu'un avec qui partager des choses. Sentir quelqu'un dans son lit. " Sa voix s'essouffla soudain. Nous �tions tous les deux assis l'un en face de l'autre et je me mis soudain � penser � mon p�re, seul dans son lit. Je m'�tais mis � r�ver ces derniers temps que je me glissais sous les draps le rejoindre avec l'envie irr�sistible de me blottir contre lui pour sentir la chaleur et la force de son corps contre le mien. J'�tais certainement sous l'effet de l'alcool � cet instant.

" Papa " ai-je dit nerveusement, craignant ce qui pourrait ressortir des probl�mes que je m'appr�tais � d�terrer. " Je sais que tu m'as demand� de ne plus en parler, mais cette nuit l�... dans la cuisine... "

Aucune r�ponse

" Je suis d�sol� de ce qui s'est pass�. Je ne sais pas ce qui m'a pris. Enfin, je n'ai jamais... " poursuivais-je en tentant de me faire pardonner. " Je n'ai jamais pens� � un autre homme avant cela, mais te voir tel que tu �tais, Papa, c'en �tait trop. Papa ? " J'attendais une r�action de sa part apr�s cela. Je regardai finalement vers mon p�re et je m'aper�us qu'il avait la t�te inclin�e vers son �paule. La bi�re lui avait certainement mont� � la t�te...

" Papa, papa ? " Je m'�tais lev� et je le secouais en vain.

Je d�cidai alors d'ouvrir la baie-vitr�e pour amener mon p�re � l'int�rieur. " Allez ! L�ve-toi ! Aide-moi un peu � te soulever. "

Je pla�ai mon �paule sous son bras et mis un long moment avant de r�ussir � le d�placer. Monter mon p�re dans sa chambre et passer par les escaliers �tat hors de question. Je traversai alors le salon pour le laisser s'�crouler dans le canap�. Je m'assis alors sur le fauteuil du salon, sous la mince lumi�re d�gag�e par l'une des lampes. Je me sentais moi aussi un peu bouscul� par la bi�re.

Je regardai le torse statique de mon p�re et ma queue se mit instantan�ment � se r�veiller. Je pressai alors ma main sur mon d�but d'�rection. Mon inhibition �tait quasi inexistante.

Je me levai du fauteuil pour me mettre � genoux et me rapprocher du canap� o� �tait �tendu mon p�re. Je pla�ai ma main d�licatement sur son front et commen�ai � replacer vers l'arri�re, les courts cheveux noirs qui lui tombaient sur le front. Il ne bougeait pas. Plusieurs fois j'ai murmur� � ses oreilles, mais rien ne se passait. En continuant de regarder son visage, je pla�ai mes mains sur son torse. J'attrapai doucement ses solides pectoraux. A travers le coton de son d�bardeur, je pouvais sentir leur contraction sous le passage de mes mains. Je rempla�ai rapidement ma main par ma bouche. Je commen�ai � l�cher le coton. La mati�re �tait s�che, mais rapidement elle devenait de plus en plus humide. Je pouvais voir l'aur�ole de ma salive se former sur le d�bardeur de mon p�re.

A ce moment, mon �rection me semblait d�j� maximale. Je me relevai et laissai tomber mon cale�on � mes pieds avant de l'�carter sur le c�t� de la pi�ce avec mon t-shirt. Nu, je m'agenouillai de nouveau. J'attrapai ma queue de ma main gauche et commen�ai � la manier pour en faire sortir le lubrifiant. De ma main droite, j'essayai de d�boutonner le short en jean de mon p�re. Incapable d'y arriver d'une seule main, j'arr�tai de me branler pour utiliser ma main gauche.

D'un geste pr�cis, j'ouvris le jean de mon p�re et je commen�ai � descendre sa braguette. Mon p�re ne bougeait pas. Il semblait compl�tement hors-jeu.

Glissant une main par l'ouverture, je retirai son d�bardeur de son short pour laisser appara�tre son abdomen puissant et velu. Il apparaissait plus solide que jamais apr�s ses ann�es d'entrainement � l'arm�e. Ses pectoraux �taient humidifi�s par ma salive qui avait transper�ait le tissu. Je d�cidai cette fois de les l�cher directement. Je laissais alors ma langue glisser entre les poils de son torse alors que ma main gauche regagnait mon �rection battante.

Je d�pla�ais ma main droite sur ses abdominaux jusqu'� atteindre la fermeture �clair entrouverte de son short. Je finis de l'ouvrir et je m'aper�us alors que mon p�re ne portait pas de sous-v�tement. Les poils pubiens semblaient de plus en plus denses � mesure que je m'aventurai plus loin sous le short. J'atteignis soudain la queue d�j� dure de mon p�re et j'entrepris de la d�placer jusqu'� passer le gland par l'ouverture du short.

Je progressais nerveusement. J'�tais de nouveau all� trop loin. Je devais m'arr�ter. Je me reculais sur mes genoux et m'aper�us qu'un long filet transparent s'�chappait de la pointe de mon �rection pour venir s'�craser sur la moquette du salon. Mes mains rejoignirent les jambes de mon p�re et j'attrapai le bas de son short afin de le glisser vers le bas. Lentement je vis appara�tre un, puis deux, puis trois centim�tres de plus de l'�rection de mon p�re. Une fois pass� la taille de son fessier, je pus retirer le short plus facilement. Mon p�re �tait maintenant parfaitement nu sous mes yeux.

Je me penchai vers l'avant pour approcher mon visage de son �rection. Je regardais avec curiosit� et envie ce large membre � quelques centim�tres de mes l�vres. Je baissai un peu plus encore la t�te pour regarder les deux gros testicules qui pendaient loin sous son membre. Je pla�ai mes mains en dessous des deux poches et j'explorais du bout des doigts leur douceur et les petites veines les recouvrant. J'amenai ma main sous mon nez et me saoulais de cette odeur de musc et de sueur. J'en avais la chair de poule. Je pla�ai mon visage plus proche qu'il ne l'avait jamais �t� du membre de mon p�re afin d'en respirer l'odeur qui s'en d�gageait. Une chaleur infinie commen�ait � envahir mon ventre. Ne parvenant plus � r�sister, j'entourai son gland d�calott� de mes l�vres bouillantes. Le go�t me paru amer mais incroyablement enivrant. Je glissais lentement et de fa�on r�guli�re mes l�vres autour de son gland, en veillant � ce que mon p�re ne se r�veille pas.

J'�cartai les l�vres, amenant le gland jusqu'� mon palais. Je comptai jusqu'� trois et j'enfon�ai aussi loin que possible ce membre virile jusque ma gorge. J'enserrai le plus fermement possible mes l�vres autour de sa base et je profitais du liquide qui commen�ait � s'�couler � la pointe de sa queue. Revenant � son sommet, je jouais avec ma langue autour de son gland pour savourer le go�t de ce membre viril plus que jamais r�ceptif � mes caresses.

A mesure que le mouvement de mes l�vres s'intensifiait, je pouvais sentir des filets de liquide pr�-�jaculatoire impr�gner ma bouche jusqu'� suffoquer. Je trouvais impressionnant la quantit� qui s'en �coulait, au point m�me de me demander si mon p�re n'avait pas atteint la jouissance trop vite. J'�tais tellement excit� � l'id�e de faire bander mon p�re que m�me s'il �tait alors venu � reprendre connaissance, je ne me serais pas arr�t�.

Tenant fermement son membre � la base, j'entrepris de le pomper d'un mouvement plus r�gulier afin d'accro�tre son plaisir. Je le su�ais, encore et encore, enfon�ant sa bite jusqu'aux limites de mon palais. J'aspirais litt�ralement sa queue en esp�rant finalement que cela finirait par le r�veiller. Dans le mouvement infernal de ma t�te du haut vers le bas, mes cheveux blonds ne cessaient de retomber sur mon front. Je sortis quelques secondes le gland de ma bouche pour glisser un doigt pr�cis sur celui-ci. Je voulais r�cup�rer un maximum de ce lubrifiant naturel. Puis je repris le travail de mes l�vres sur son membre tout en glissant mon doigt souill� entre mes fesses. Je caressais du bout des doigts le trou qui s'ouvrait sous chaque passage. Mon corps semblait alors m'appeler � de nouvelles sensations. Une envie irr�sistible se faisait sentir dans le bas de mon dos. Ce qui me motiva � redoubler d'effort sur la queue longue et large qui me transper�ait les l�vres. Les yeux ferm�s, je sentis alors quelque chose de diff�rent. J'ouvris les yeux et je m'aper�us que les l�vres de mon p�re semblaient se mouvoir avec une expression de contentement. Je ralentis alors le mouvement de ma bouche autour de sa virilit� et je compris que son membre continuait seul � me limer. Mon p�re �tait entrain de prendre son pied, consciemment ou pas.

Ce revirement m'excita tellement que j'allai plus loin avec mon doigt en commen�ant � l'enfoncer au creux de mon sillon. Mon p�re �carta les jambes, laissant tomber un peu plus loin encore ses deux couilles pleines. Il me paraissait plus viril et plus d�sirable que jamais.

Surpris par ce mouvement et sans l�cher ma prise, je d�tournai mon regard pour m'apercevoir que le visage de mon p�re �tait tourn� vers moi, les yeux toujours ferm�s. Mon coeur battait tr�s vite. J'avais besoin de calmer mon angoisse avant de poursuivre ma t�che. Je coulissais donc ma main ferme le long de sa hampe, confirmant � chaque passage la rigidit� et l'ardeur de son membre.

Ma propre queue n'en pouvait plus. Je d�cidai d'abandonner la pression que j'exer�ais sur ma rondelle pour entourer la base de mon manche et commencer � me branler furieusement.

Je sentais la queue du soldat s'animer entre mes l�vres, prise de spasme, alors que mes propres couilles commen�aient � bouillir. J'emprisonnais plus fermement que jamais le gland de mon p�re entre mes l�vres et � mesure que je l'enfon�ais au fond de ma gorge, je pouvais sentir les longues veines parcourant sa hampe, vibrer nerveusement. Un premier jet �pais et abondant vint s'�craser directement au fond de ma gorge. Un second recouvra mon palais et un troisi�me finit de remplir ma bouche. D�cid� � savourer la semence de mon g�niteur, je pr�f�rais abandonner son membre tendu. Un quatri�me et un cinqui�me jets auxquels je ne m'attendais pas vinrent alors s'�craser autour de mes l�vres et jusque dans mon cou. Ce n'est qu'ensuite que je vis mon p�re les yeux ouverts, la bouche tordue dans une expression de tension extr�me. Ses poings �taient agripp�s � la toile du canap�, de chaque c�t� de ses jambes tendues. Il haletait nerveusement, frapp� par le coup d'une jouissance longtemps attendue. Il restait crisp� et abasourdi, g�missant maintenant sans retenue.

" Annnnh... merde... Merde ! "

Sa t�te tomba vers l'arri�re, ses muscles le l�chant sous l'effet du choc de la jouissance.

" Annnhhhh. "

Il frotta ses yeux de ses mains, comme pour mieux se r�veiller d'un r�ve qu'il avait du mal � r�aliser. Je n'osais pas bouger, retenu par la peur, la satisfaction, et le go�t d�licieux du sperme de mon p�re qui impr�gnait encore mon palais et que je sentais lentement glisser en moi. Apr�s quelques secondes de grognement de contentement, mon p�re me fit de nouveau face. Je voyais � son visage que le plaisir avait laiss� place � une col�re encore teint�e des restes d'alcool.

" Qu'est-ce que t"as foutu ? " questionna-t-il en insistant sur un ton de reproche. " C'est quoi ce bordel ? "

Il valait mieux pour moi de garder le silence, mais j'�tais trop fier de ce que je venais d'accomplir.

" Je voulais juste te faire plaisir ! T'aider � oublier maman... " r�torquai-je en essuyant les restes de sa d�charge sur mon visage.

" Comment tu peux t'imaginer que j'en avais envie ? Rien de tout cela n'aurait du se produire. C'est mal. Vraiment mal Edouard ! Tu m'entends ? "

Il n'avait pas tord, mais je ne comprenais pas pourquoi je devais freiner mon envie. Je savais que je voulais aller plus loin, pousser mon p�re � faire ce qu'il avait v�ritablement envie de faire. M'aimer, me poss�der...

" Qu'est-ce que tu cherches en faisant �a ? Qu'est-ce que t'attends de moi ? " demanda-t-il en s'avan�ant brusquement et en saisissant mon poignet d'une main ferme, comme pour me provoquer.

" Je veux �tre � toi... Rien de plus... " r�pondis-je d'un bruit �touff�, soumis � cette masse de muscle qui se montrait agressive.

Et alors sans qu'il ne m'ait laiss� le temps de r�agir, mon p�re se releva du canap� et m'attrapa par le bras. Sans m�nagement, il me poussa vers le canap�. Les mains contre le dossier, les genoux sur l'assise, je sentais sa main large et ferme contre ma nuque. Il m'emp�chait de me relever ou de me retourner. Je ne savais pas � quoi m'attendre. Je craignais qu'il ne me frappe ou qu'il me punisse pour ce que je venais de faire. Mais sans que j'y sois pr�par�, je commen�ai � sentir sa virilit� aux portes de mon intimit�. Il se tenait l�, droit derri�re moi, les muscles band�s, sa prise fermement tenue. Je l'entendais grogner... Comme une b�te ne r�pondant plus de ses actes.

" Est-ce que c'est �a que tu veux ? " cria-t-il alors que je sentais son gland forcer mon intimit�.

" Est-ce que c'est �a que tu veux ? " r�p�ta-t-il encore plus fort. " Parce que je vais t'en donner, fiston. Je suis loin d'en avoir fini si c'est vraiment �a que tu veux. "

Je ne r�agissais pas. Je ne me d�b�tais pas, mais je ne l'encourageais pas pour autant. J'avais peur. Peur de ses gestes brusques, peur de ce membre bien trop gros, peur de ne jamais pouvoir revenir en arri�re et de commettre un acte qu'il me reprocherait toute ma vie.

Il for�a de plus en plus. Je le sentais gagner centim�tre par centim�tre. Il allait vite, il n'agissait pas en pensant � mon plaisir. Il �tait band� � l'extr�me, tendu de tous ses muscles. Je sentais son torse velu venir � la rencontre de mon dos. Sa main droite me tenait toujours par la nuque, alors que sa main gauche �tait pos�e sur mes reins. Il commen�ait les assauts, pr�cis, r�guliers, rapides. La sueur ne tarda pas � perler dans mon dos et sur son torse, de sorte que nous nous retrouv�mes rapidement tremp�s l'un comme l'autre. J'�tais compl�tement d�pass� par la sensation euphorique de cet amour viril. Il me transper�ait plus loin � chaque coup de butoir et sa queue noyait mon sillon d'un lubrifiant chaud et gras. Mon p�re s'accrocha plus fort � moi, son corps s'�tendant alors totalement contre le mien, de son torse jusqu'� ses cuisses qui continuaient d'imposer aux miennes un mouvement de balancier violent.

" RrrrrHhh ! Oui... Ouiii... Ouiiii " laissait-il �chapper � chaque mouvement de p�n�tration qu'il appliquait en moi.

" C'est �a que tu veux fiston. Je le sais. Tu veux que je te baise. Que je te montre que tu es � moi ! "

Ses mots �taient durs, mais ils ne me blessaient pas. J'esp�rais au fond de moi qu'il cachait sa v�ritable envie derri�re une apparente violence. Il �tait sans doute plus acceptable pour lui de faire passer cet acte comme un ch�timent.

Je sentis soudain sa m�choire contre ma nuque. Il tenait mes hanches de ses deux mains pour insister avec plus de force sur ses assauts. Il respirait fort, son nez finissant par caresser mes cheveux. Son geste �tait moins violent � pr�sent. Il s'impr�gnait de mon odeur pour redoubler de vigueur et �tre certain de bien me poss�der en cet instant.

Sans que rien ne m'y ait pr�par�, il acc�l�ra plus encore, alors que je le pensais d�j� � son paroxysme. Dans une s�rie de chevauch�es brusques et intenses, il se vida en moi. Il ne s'arr�ta pas pour autant. Je le sentais poursuivre son mouvement d'animal. Il me f�condait aussi longtemps qu'il le pouvait. Jouissant d'autant plus que ses premiers jets venaient lubrifier son manche encore fi�rement dress� en moi.

Les r�les se poursuivaient, je sentais son souffle haletant contre ma nuque et les poils de son torse h�riss�s par la jouissance. Apr�s quelques minutes o� il n'en finissait plus de se vider en moi et de marquer son mouvement bestial d'avant en arri�re, je le sentis ralentir, jusqu'� s'arr�ter. Je pr�f�rais ne pas bouger, ni m�me parler. J'�tais terriblement excit� par ce qui venait de se passer et je savais que je ne tarderai pas � jouir, mais je pr�f�rais ne pas me toucher, ne pas rappeler � l'homme contre moi que c'�tait son propre fils qu'il venait de baiser sans retenue.

Je sentis sa queue toujours raide me lib�rer, entra�nant sur son passage un flot impressionnant de sperme et de sueur, puis un l�ger baiser qu'il d�posa sur ma nuque.

Je l'entendis ramasser son jean et son d�bardeur et ce n'est que quand le son de la douche en haut me parvint que je me d�cidai enfin � me redresser. Mon dos me faisait mal, mes reins �taient endoloris et ma m�choire br�lait. Cela ne m'emp�cha cependant pas de bander comme un dingue et de me finir en repensant � cet assaut aussi d�sir� qu'inesp�r�.

Jagger

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