Le fils du paysanJe m'appelle Xavier j'ai 32 ans, je suis avocat, c�libataire et pas tr�s press� de rompre cet �tat. J'ai de nombreux amants et je suis parfaitement heureux de la situation, je verrais plus tard comment la vie se d�roulera. La grande battisse en pierre �tait situ�e � 1 km de la premi�re ferme et outre la beaut� du lieu le cot� sauvage avait �t� longtemps le plaisir de la famille. Mais les choses �voluent et il fallait quitter ce paradis de verdure. Il faisait tr�s beau et depuis deux jours en short et tee shirt je m'activais. Il fallait me rendre � l'�vidence pour transporter les vieux rebus � la d�charge j'aurais besoin de la remorque de Mr Fr�mont le paysan que nous connaissons bien. Deux heures apr�s mon appel t�l�phonique Jean arrive avec son tracteur et sa remorque ? C'�tait un g�ant chauve b�ti en armoire � glace, sympathique en diable et surtout expansif comme peut l'�tre un homme du sud. " Salut Xavier alors au boulot ? Tu as de quoi faire ! Je t'apporte la remorque et m�me de l'aide. Tu connais mon fils Erik ? Il est en cong�s aussi et viens te donner un coup de main. " En effet je connaissais Erik de 10 ans mon cadet. Mais j'avoue ne pas me souvenir beaucoup de ce gamin. Je vis descendre du tracteur un jeune mec athl�tique d'un bon m�tre quatre vingt dix, cheveux blond fris�s, peau mat et barbe naissance ras�e de la veille. Un visage fin et deux merveilleux yeux bleus qui per�aient ce visage empreint de s�r�nit�. Je me souvins tout d'un coup que Jean �tait mari� avec une hollandaise. Il sauta prestement du tracteur et viens me pr�senter une poign�e de main vigoureuse. Un sourire �clatant, encadr� par deux l�vres minces et fines, sur une dentition parfaite, barrait le beau visage d'Erik. Je me dirigeais avec ma statue grecque toujours souriante vers le grenier � vider. " Pendant tout le reste du temps ou nous avons travaill� ensemble, je ne pouvais m'emp�cher de d�tailler mon comp�re. Sa salopette trop grande laissait entrevoir lorsqu'il se baissait ses pecs dessin�s, son torse lisse et des abdos traduisant les nombreuses heures de natation. Mais ce qui me troublait le plus c'�tait la vision panoramique sur son slip DIM blanc, que j'apercevais chaque fois que je me trouvais en surplomb d'Erik. Je me surpris � plusieurs reprises de faire expr�s de me trouver a proximit� pour tenter de voir la forme de ce qui �tait dans le slip. Mais le tissu de la salopette �tait tellement ample que je ne voyais que le blanc du sous v�tement. Ponctuellement, mon fantasme me prenait et une �rection tendait mon short. Je cachais soigneusement cet �v�nement � ma statue grec. Vers 13h nous d�cidons d'arr�ter et de manger. Lorsque nous sommes arriv�s en pleine lumi�re nous nous sommes d�couvert mutuellement couvert de poussi�re qui avait coll�e sur nos corps. " Et bien Erik, nous sommes propres ! Avant tout une douche s'impose ! " mes parents avaient construit une tr�s grande salle de bain avec WC, baignoire et une douche ouverte de plein pied face � un mur de glace d'un cot� et une baie vitr�e donnant sur la campagne....mon p�re architecte sait faire des merveilles. Nous p�n�trons avec Erik qui s'extasie devant cette belle installation. " Bon Erik si tu veux, tu commences � te doucher ou prendre un bain, lorsque tu as termin� tu m'appel ! " " Mais, nous avons largement la place pour deux, me r�pondit- il, tu sais en natation les vestiaires collectifs sont de misent moi c'a ne me g�ne pas ! " je ne pouvais r�ver de meilleur moment, mais ma crainte �tait mon �rection instantan�e. Erik qui me tournait le dos, fit glisser sa salopette sur ses chevilles et je d�couvrais de dos un athl�te au corps lisse avec de longues jambes aux muscles longilignes. Puis il baissa son slip blanc (objet de mes fantasmes du matin) offrant � ma vue deux fesses rondes. Je m'approchais de la baignoire pour tenter de me glisser dedans avant que ma statue grecque ne se retourne. Mais ce qui devait arriver arriva il fit demi tour face � moi, qui �tait � 1 m�tre de lui. A ma surprise je d�couvrais sa bitte l�g�rement plus petite que la mienne plus fine, aux couilles pendantes comme les �ph�bes, le tout enti�rement ras�, mais surtout en �rection maximum ! Je ne pouvais d�tacher mon regard de cette bitte qui avait �t� l'objet de tout mon phantasme du matin. En levant la t�te je croissais le regard malicieux d'Erik qui d�taillait mon corps en s'attardant sur ma queue toujours tendue. Il rompit le moment de trouble. " Tu sais Xavier, je ne suis pas niai, j'ai bien vu ton man�ge de ce matin, � me mater toute les 5 mn, de plus, m�me si tu ne t'en rendais pas compte tu n'arr�tais pas de me fr�ler, me poser ta main sur l'�paule pour me dire quelque chose, je n'ai rien dit parce que j'aime qu'un mec me d�sir, mais m�me tes �rections �taient dr�les." Puis, doucement il m'embrassait tendrement sur la joue, les yeux, le torse, les t�tons, puis s'agenouillant, s'attardait sur mon nombril et bient�t sur ma queue humide. Il embrassait le bout de ma pine et doucement portait de grands coups de langue. Enfin, sentant mon plaisir, enfourna ma pine dans sa bouche chaude. J'�tais aux anges. Apr�s cette fellation d'enfer faisant attention de ne pas jouir trop t�t, il se retourna et se mit � quatre pattes. Je profitais de la situation pour l�cher la rondelle de ma statue grecque. Et, le voyant se tr�mousser, je compris que je pouvais tenter ma chance en pressentant ma queue devant cette entr�e rose. Je pr�sentais ma bitte qui tr�s rapidement glissa dans les tr�fonds d'Erik. La fa�on dont ma queue le p�n�trait sans effort, je compris qu'il n'en �tait pas � sa premi�re sodomie. Apr�s une bonne s�ance de limage qui allait se terminer par ma jouissance imminente, Erik m'arr�ta. D�s que je senti la pression arriv�, il se colla contre ma queue pour pr�senter son visage a l'arriv�e de mes cinq flots de sperme. Son visage �tait luisant mon sperme d�goulinait sur ses paupi�res, sur son nez et lui couvrait la l�vre sup�rieur. Erik, tout en me souriant l�chait les traces de semence autour de sa bouche, puis vint me nettoyer le pr�puce encore gluant ? Apres son nettoyage termine il partagea avec moi cette semence dans un long baise tendre. Puis, il me demanda de me mettre sur le dos pour me jouir dessus. Je vis mon jeune mec s'astiquer la queue � califourchon sur moi. Quelques minutes apr�s de long trait de sperme blanc laiteux et �pais me couvraient le torse. Comme j'attrapais un mouchoir pour m'essuyer il me reteint la main. " Laisse c'est pour moi ! ". Et consciencieusement, lentement � petit coup de langue il bouffait sa semence sur mon corps. De temps en temps il me fixait de son regard bleu en souriant malicieusement. D�s la derni�re goutte finie, il s'approcha de ma bouche et partagea avec moi son jus dans un bais� d'enfer. Apr�s une nouvelle douche, nous reprenions le travail, mais cette fois avec des caresses fugaces lors de nos passages � proximit�. Je n'ai pas de nouvelles d'Erik depuis, mais je sais que d�s notre prochaine rencontre la tendresse reprendra le dessus. LulR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |